A découvrir prochainement!

OneLife lancera bientôt un nouveau produit: le contrat de capitalisation à destination des personnes morales finlandaises. Du fait des répercussions engendrées par les règles fiscales en matière de succession en Finlande, en règle générale, les contrats de capitalisation ne sont recommandés qu’aux personnes morales alors que les contrats d’assurance-vie, tels que Wealth Finland, s’adressent aux particuliers.

 

Le contrat Capitalisation Finlande est conforme au droit finlandais tout en bénéficiant des avantages offerts par le Luxembourg en termes de flexibilité et de protection. Ce contrat de capitalisation en unités de compte permet des investissements sous-jacents dans plusieurs catégories d’actifs, y compris des actions et des obligations inscrites ou non à la cote. Ce nouveau produit possède une architecture ouverte impliquant plusieurs banques dépositaires et plusieurs gestionnaires d’actifs ainsi qu’une autogestion. Toutefois, le titulaire de la police ne doit pas participer à la gestion ou aux activités commerciales des investissements sous-jacents. La police peut être nantie et sa propriété transférée à un nouveau titulaire après acceptation par OneLife. Les primes peuvent être payées en numéraire ou en nature en transférant un portefeuille d’investissements existant à la police.

 

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Capitalisation Finlande permet aux personnes morales de consolider les investissements et de reporter l’imposition des revenus générés par des activités d’investissement. Ce produit peut également être utilisé dans le cadre de mécanismes d’incitation des dirigeants (Management Incentive Schemes ou MIPs). Cela permet ainsi un investissement passif dans des actifs cotés ou non cotés, par exemple des actions, des obligations et différents types de fonds, tant que les actifs sont librement cessibles et que les autres obligations légales et internes sont remplies.

 

En Finlande, le traitement fiscal des contrats de capitalisation a été clarifié grâce à la publication d’orientations écrites par les autorités fiscales. Sur le plan légal et fiscal, plusieurs récentes décisions sont également susceptibles de rendre attractifs les investissements via des produits d’assurance basés au Luxembourg, par exemple les fonds de capital-investissement et les fonds immobiliers créés sous la forme de sociétés en commandite. De plus, suite à une récente décision de la Cour administrative suprême de Finlande, il est possible de bénéficier d’un allégement de la retenue à la source sur les dividendes finlandais versés au titre de la police Capitalisation Finlande.

 

Actualités juridiques – évolutions de l’imposition des successions et des donations en Finlande

Le 1er janvier 2017, la législation en matière d’imposition des successions et des donations en Finlande a été amendée, entraînant ainsi des changements en matière de police d’assurance- vie dont voici les principaux :

  1. Les taux d’imposition applicables aux successions et aux donations ont baissés (pour la première catégorie d’héritiers/bénéficiaires, le taux de la première tranche des droits de succession est passé de 20 à 19 % et de 20 à 17 % pour les donations).
  2. L’abattement standard pour le conjoint a augmenté, passant de 60 000 à 90 000 € tout comme celui pour un enfant mineur qui passe ainsi de 40 000 à 60 000 €.
  3. L’abattement de 35 000 € sur le capital décès pour les proches est supprimé à compter du 1er janvier 2018.
  4. L’abattament de 50 % sur le capital décès pour les veufs/veuves est supprimé à compter du 1er janvier 2018.

 

En elle-même, la future suppression de l’abattement de 35 000 € pour les proches va augmenter l’incidence fiscale pour les bénéficiaires. Toutefois, l’abaissement global des taux d’imposition applicables aux droits de succession est, dans certains cas, susceptible de compenser ce phénomène et pourrait même entraîner une baisse de la charge fiscale pour les bénéficiaires.

 

La suppression de l’abattement de 50 % pour les veufs/veuves touchera les polices d’assurance-vie dont les époux/épouses sont désignés comme bénéficiaires. Pour ces polices, il est notamment recommandé d’analyser la situation avec un conseiller local afin de déterminer si la désignation des bénéficiaires reste pertinente. Sachez que cette désignation peut être modifiée sur demande écrite signée par le titulaire de la police mais que la modification du bénéficiaire irrévocable exige également le consentement de celui-ci.

 

Quand la génération Y tire son chapeau à l’assurance-vie.

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Saviez-vous que 66 % des HNWs de moins de 35 ans ont souscrit un contrat d’assurance vie ?

Parmi les 604 HNWI que nous avons interrogés dans le cadre de notre toute nouvelle enquête intitulée « Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine », plus de la moitié a investi dans l’assurance vie. Les personnes interrogées ont ainsi indiqué que l’assurance vie était un investissement particulièrement pertinent dans le cadre de leurs stratégies de transfert de patrimoine.

Il est toutefois intéressant de noter que ce sont les membres de la génération Y qui ont décelé le plus rapidement les nombreux avantages offerts par l’assurance vie puisque 66 % des personnes interrogées de moins de 35 ans indiquent avoir souscrit un contrat de ce type.

Grâce à sa capacité à s’étendre au-delà des frontières nationales, l’assurance vie permet à ses utilisateurs de bénéficier d’une optimisation fiscale, d’une planification patrimoniale et d’une planification successorale.

 

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Découvrez-en plus sur ce que les HNWs attendent de leur relation avec un gestionnaire de patrimoine. Téléchargez notre nouvelle étude« Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine ».

 

 

Belgique : entrée en vigueur d’une nouvelle réglementation en région flamande (VLABEL)

Depuis le 1er janvier 2015 et le transfert vers VLABEL des compétences fiscales concernant les droits de succession et une partie des droits d’enregistrement, les intermédiaires et compagnies d’assurances, les avocats et les planificateurs financiers, ainsi bien entendu que les citoyens flamands désireux de structurer leur patrimoine, vivaient au rythme des décisions publiées par l’administration fiscale flamande. Si ces avis ont eu le mérite de clarifier la position de l’administration flamande sur les sujets traités, les points de vue pris par VLABEL ont pour le moins surpris et suscité de vifs remous dans le secteur, allant jusqu’à geler certaines solutions couramment utilisées et admises jusque-là par l’administration fédérale. Bien que VLABEL ait édité son nouveau code général en consolidant les codes des droits de succession et d’enregistrement, aucune modification de loi n’était intervenue et ne pouvait donc justifier ces avis contradictoires. En mars 2016, Assuralia montait même au créneau en introduisant une plainte auprès du Conseil d’Etat contre l’administration fiscale flamande. Le monde politique ne pouvait par conséquent plus rester insensible à cette problématique.

A l’approche de Noël 2016, un nouveau décret nous est né. Publié le 30 décembre, son application à dater du 1er janvier 2017 dans sa majeure partie a rendu le sourire à certains et a permis de démarrer l’année nouvelle avec un peu plus d’optimisme. Deux thématiques liées au contrat d’assurance qui étaient dans le collimateur de VLABEL ont ainsi été revues.

 

  • Donation du contrat d’assurance par cession de tous les droits

La décision de VLABEL de taxer le don d’assurance malgré le paiement des droits de donation avait ouvert les hostilités en novembre 2015. Plusieurs amendements à la position initiale avaient été publiés sans permettre au cessionnaire-donataire d’éviter que la prestation qui lui était payée au moment du dénouement du contrat ne soit soumise aux droits de succession. Le décret du 23 décembre 2016 a mis fin à cette pratique en soumettant uniquement la plus-value du contrat aux droits de succession. Par plus-value, il faut comprendre la différence entre la valeur du contrat d’assurance au moment de la donation et la valeur du contrat au dénouement par décès du donateur. La fiscalité applicable a donc été allégée pour les citoyens par l’arrivée de ce nouveau décret en comparaison avec le point de vue de l’administration flamande. Il ne faut cependant pas perdre de vue que cette fiscalité flamande n’est pas en ligne avec les principes juridiques qui sous-tendent la donation du contrat d’assurance. La cohérence entre raisonnement juridique et fiscalité reste par contre bien ancrée dans les autres régions du pays.

 

  • Souscription conjointe

La position prise par VLABEL dans le cadre d’un contrat souscrit conjointement par deux preneurs, également assurés, avec un dénouement au second décès a généré une énorme controverse qui n’est pas encore apaisée en raison des cas non résolus à ce jour.

La décision visait à taxer les bénéficiaires en vertu des droits de succession alors que ces derniers n’avaient perçu aucune prestation et n’étaient par ailleurs pas certains d’en recevoir une un jour (pour rappel, le preneur a le droit de révoquer à tout moment la clause bénéficiaire, pour autant que le bénéficiaire n’ait pas accepté le bénéfice. En vertu d’une clause d’accroissement entre les preneurs dans la structure de contrat précitée, ce droit de révocation revient au preneur survivant au décès du premier).

 

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Selon le décret désormais en vigueur, la taxation s’opèrera lors du paiement d’une prestation, qui peut être issue d’un rachat ou du dénouement du contrat. En d’autres termes, le rachat partiel ou total du contrat par le preneur survivant génèrera une taxation aux droits de succession, qui ne pourra intervenir que par l’intermédiaire d’une déclaration de succession complémentaire. La perception de droits de succession au dénouement du contrat dans le chef des bénéficiaires reste inchangée.

 

Ce décret n’est pas la panacée et n’est pas un remède miracle aux décisions très critiquées prises par VLABEL durant ces deux dernières années. S’il soulage les donataires-cessionnaires de contrats existants, ainsi que les bénéficiaires de contrats souscrits conjointement, il n’amène aucune solution pour les preneurs dont l’objectif était d’optimiser fiscalement la transmission de patrimoine entre eux. Il met également fin à toute discussion concernant les preneurs mariés sous un régime de communauté. Le décret aborde d’autres points que nous avons choisi de ne pas traiter dans cet article et dont il faut bien entendu tenir compte pour l’élaboration d’une solution de structuration patrimoniale. Dès lors, nous recommandons aux clients de contacter leur conseiller avant de prendre une quelconque décision en la matière et nous nous tenons à leur disposition pour toute information qu’ils souhaiteraient obtenir.

 

Analyse des différentes positions juridiques en Europe

 

Que se passe-t-il en termes de droits des titulaires de police si leur décès n’entraîne pas la résiliation du contrat ?

 

Dans un contrat d’assurance-vie, le preneur d’assurance et la personne assurée peuvent être des personnes différentes. Si cette configuration peut paraître étrange et même inconnue dans certaines juridictions, il n’en demeure pas moins que cette structure est en théorie possible et peut s’avérer efficace dans une optique de transmission de patrimoine.

Le prédécès de l’assuré ne donne lieu à aucune discussion. Par contre, le débat est tout autre si le preneur vient à décéder en premier. Qu’advient-il des droits dont disposait le preneur et qui va désormais les exercer ? Qui va désormais pouvoir gérer le contrat, procéder à des rachats ou même modifier la clause bénéficiaire ?

Dans le cadre de réflexions autour de la structuration transfrontalière, nous avons opéré une analyse de nos marchés principaux.

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La Belgique et le Grand-Duché de Luxembourg ont adopté une position identique mais très complexe. Si les droits du preneur ne s’éteignent pas avec son décès, les ayants droit du preneur n’héritent pas du droit de révoquer la clause bénéficiaire, fondement du contrat attaché au preneur. En conséquence, l’exercice d’autres droits ne peut porter atteinte à la stipulation pour autrui voulue par le preneur décédé. Il en résulte que l’action des ayants droit se limite à gérer le contrat sans pouvoir en disposer d’aucune manière en attendant le dénouement du contrat. Par contre, le preneur a la possibilité de prévoir un transfert partiel ou total de ses droits à son décès vers une personne de son choix, qui pourra dès lors exercer sans restriction tous les droits cédés. Notez qu’au Luxembourg, cette cession est soumise à l’autorisation de l’assuré.

 

En France, le traitement juridique est incertain en l’absence de dispositions légales explicites. Deux doctrines s’opposent. L’une considère que les droits du contrat sont personnels et intransmissibles. En conséquence, au décès du souscripteur avant la personne assurée, les droits du souscripteur s’éteignent avec lui et le contrat est bloqué jusqu’au décès de l’assuré. D’autres considèrent la créance du souscripteur comme une créance ordinaire transmissible aux héritiers au titre de la succession comme tout autre actif successoral. En l’absence d’une position claire sur le sujet, la souscription se fait principalement voire exclusivement sur la tête du ou des souscripteurs.

 

Au Portugal, le contrat se retrouve dans une situation intermédiaire entre ce qui est appliqué en France d’une part et en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg d’autre part. Les droits du preneur décédé ne sont pas transmis à ses héritiers et le contrat est gelé, sauf si une cession post-mortem a été prévue par le preneur d’assurance.

La Finlande, le Danemark et la Suède ont opté dans cette configuration pour un transfert des droits vers les bénéficiaires qui deviennent même les nouveaux preneurs d’assurance.

Au Royaume-Uni, ce sont les héritiers du preneur d’assurance qui héritent des droits en cas de prédécès de ce dernier et qui deviennent les nouveaux preneurs. Il n’est par contre pas possible de désigner un cessionnaire en cas de décès.

 

Cette analyse démontre que les conséquences civiles d’une même structure peuvent être totalement différentes d’une juridiction à l’autre. Sans parler évidemment des impacts fiscaux qui peuvent toucher les héritiers des preneurs, les cessionnaires et les bénéficiaires impliqués parfois malgré eux dans une telle situation.

 

Notre objectif est une nouvelle fois d’attirer l’attention sur la maîtrise du fonctionnement du contrat d’assurance avant toute recherche de solution. Si un contrat peut être adapté pour être mis en conformité dans une autre juridiction, modifier le contrat qui a été mal structuré à l’origine, à cause d’une simple transposition d’une pratique existante dans un autre pays, peut s’avérer mission impossible. Le preneur n’a alors d’autres choix que de racheter le contrat et de supporter les conséquences fiscales de ce rachat.

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Entretien avec Bastien Perrine dans le cadre des tables rondes de Gestion de Fortune

Bastien Perrine

Bastien Perrine, directeur des ventes régionales de OneLife en charge du marché français, a été interviewé par le magazine Gestion de Fortune dans le cadre de sa table ronde spéciale intitulée « Les nouvelles opportunités de l’assurance vie luxembourgeoise ».

Les thèmes suivants ont été évoqués : la loi Sapin 2, le profil des clients, les atouts pour les expatriés ou les non-résidents, le Brexit, la sécurité des capitaux, les fonds d’assurance spécialisés, le private equity et la digitalisation.

Table Ronde

Outre Bastien Perrine, d’autres experts tels que Sabrina Rivière (La Mondiale Europartner) et Jean-Baptiste Pleynet (Périclès Group) étaient présents.

Les différents points de vue exprimés lors de cette table ronde sont disponibles dans un encart spécial qui est joint au numéro de mars du magazine et est envoyé avec la lettre d’informations (+-50 000 abonnés).

Vous êtes intéressé ? Consultez la version numérique en français en cliquant ici.

 

 

OneLife – ICT Team of the Year

Le 1er décembre, Eric Lippert et son équipe ont été récompensés de leurs projets et de leurs meilleures pratiques en étant nommés ICT Team of the Year (équipe TCI de l’année). Notre équipe a rencontré le CIO (directeur des investissements) d’OneLife pour discuter des grands défis auxquels il avait été confronté en 2016, parler de ses principales réalisations de son équipe et de ses toutes premières priorités pour 2017.

 

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Eric Lippert, CIO, Jean-Philippe Quin, IT Operations Department Manager, Christophe Risse, IT Development Department Manager, Marc Leoka, IT Achitect, recevant leur trophée. © Dominique Gaul

 

Deux grands défis 

Le premier grand défi a été de diriger en même temps la rationalisation de nos systèmes hérités et le développement de solutions numériques innovantes. D’une part, notre gestion de portefeuille de projets, qui est très efficace, nous a permis de construire à coup sûr des fondations solides en termes d’infrastructure TI. D’autre part, nous avons travaillé en petits groupes, avec des méthodes agiles, à des initiatives digitales, à la fois pour identifier rapidement des opportunités et prendre des décisions, et au résultat final, pour créer de la valeur ajoutée.  

Le deuxième grand défi portait davantage sur la gestion de tous les changements de manière de travailler que le nouvel environnement TI/digital introduisait chez nos différents utilisateurs.  Nous avons surmonté cela en faisant participer rapidement les utilisateurs finaux au processus.  Nous avons commencé par organiser des ateliers de sensibilisation au numérique pour faire comprendre aux gens le « pourquoi ». Nous avons ensuite fait participer les utilisateurs à nos groupes de travail souples afin d’obtenir qu’ils acceptent la transformation.  Nous avons fini par concevoir les nouveaux processus de travail de manière être prêts à chaque étape de notre transformation digitale.

 

Les principales réalisations de l’équipe TI 

Du côté de l’architecture logicielle, la mise en place d’une nouvelle architecture SOA (architecture orientée services).

Du côté réglementaire, la finalisation d’outils TI pour aider notre département financier à produire les rapports d’information financière exigés par la directive Solvabilité II.

Du côté opérationnel, d’abord, la nouvelle plate-forme d’administration des politiques internes de l’entreprise, grâce auxquelles nous avons réussi à mettre au point 11 nouveaux produits d’assurance vie pour nos marchés.  Il s’agit d’une réalisation importante, car nous l’avons fait en moins de 9 mois, alors que le délai moyen d’automatisation d’un nouveau produit dans le système TI était de 2 ans d’habitude par le passé. En deuxième lieu, le paramétrage d’un nouveau système de flux de travail lié à un nouveau système de gestion documentaire.  Tous nos processus d’entrées de données sont maintenant harmonisés et orchestrés par ces nouveaux outils, ce qui se traduit par un gain important d’efficacité et de qualité des données pour notre équipe Services Clients.

Du côté des ventes, le paramétrage d’un nouveau CRM, avec des outils supplémentaires de commercialisation en ligne et de prospection en ligne.  Ceci a fait passer l’intégralité de nos équipes de commercialisation et de vente à l’ère numérique.

La « cerise sur le gâteau » est l’application mobile qui a été lancée au sommet InsurTech en octobre et déployée en novembre chez nos partenaires.  Labels Awards-ITOne_ICTTeam2016-08

Pour en savoir plus :

LUXEMBOURG ICT AWARDS 2016 : ET LES GAGNANTS SONT… >>> Here.

ERIC LIPPERT : « METTRE AU POINT ET OFFRIR DE NOUVEAUX SERVICES À NOS PARTENAIRES » >>> Here.

 

OneLife – Digital Personality of the Year

Pour la première fois depuis 8 ans, les membres du jury du Gala Marketers ont élu la Digital Personality of the Year. C’est Christophe Regnault, Digital Marketing Manager de la société OneLife qui s’est vu remettre ce prix, le 24 novembre dernier. 

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Christophe Regnault, Digital Marketing Manager, recevant le prix. © Lorène Paquier

Le vrai challenge à son arrivée était de lancer une dynamique digitale et pour se faire il a développé un plan d’action en trois étapes, entièrement construit autour de l’HUMAIN: des workshops pour expliquer l’impact du digital aux équipes, un écosystème digital orienté utilisateur (interne et externe), au contenu convivial et pertinent, et enfin la création d’une application mobile.12.21.2016-Digital Personnality of the Year-Logo

Etape 1:

La première grande partie est d’avoir pu animer deux douzaines de workshops pour expliquer à tous nos collaboratrices et collaborateurs ce qu’était le digital et comment cela se transcrivait et transformait leur vie quotidienne tant au niveau personnel que professionnel, le tout avec aussi la dose de fun nécessaire et en travaillent l’animation en interne ! C’est important. Au final, OneLife a le meilleur SSI (Social Selling Index) de la place, dans notre secteur, sur LinkedIn.

Et c’est grâce à toutes celles et ceux qui ont ouverts des profils qu’ils n’avaient pas forcément avant, et/ou qui les ont mis à jour mais aussi grâce à tout ce que nos collaborateurs partagent et relaient.

Etape 2:

Le second grand projet est celui de notre rebranding. Nous en avons profité pour transformer ce projet en plateforme pour dérouler et intégrer tous les outils nécessaires pour doter nos équipes avec ce qu’il nous fallait pour commencer à avancer. Le rôle de nos partenaires a également été critique, d’autant que nous avons tout déroulé en même temps : un CRM lié à une dynamique de campaigning (avec la société Néréa (link) ), un nouveau site internet (avec la société e-Proseed(link)), avec tout le contenu, la partie SEO (avec l’agence Vanksen(link)), les réseaux sociaux, etc… le tout avec une nouvelle image et un ton nous permettant d’intégrer un rythme beaucoup plus digital.

Etape 3:

La troisième grande partie du plan est notre application mobile lancée officiellement à l’InsurTech Summit (link) en octobre dernier.

Là encore, OneLife a travaillé en mode très agile, c’est-à-dire à trois en interne, en lien permanent avec notre partenaire (Ainos (link)) pour livrer l’application mobile en près de 3 mois… ensuite nous avons passé beaucoup de temps à associer nos collègues pour affiner l’outil avec toutes les équipes. Tout le monde a ainsi pu tester et commenter l’App. L’équipe de Customer Services s’est beaucoup investie et a même changé ses modes de fonctionnement pour intégrer la valeur ajoutée recherchée à l’attention de nos brokers. Et ce n’est que le début… car comme je vous l’ai dit, nous avons déjà d’autres idées pour les prochaines versions et nos collègues nous en donnent d’autres !

 In fine, la dynamique recherchée a été atteinte, c’est-à-dire un vrai changement de fond qui est même allé jusqu’à modifier la façon de travailler de certaines équipes, une autre forme de valeur ajoutée ! Grâce à toutes ces actions et au travail des équipes, nous avons transformé (digitalement) l’essai !

Pour en savoir plus:

« LUXEMBOURG MARKETING & COMMUNICATION AWARDS: DÉCOUVREZ LES LAURÉATS  » >>> Here.

C. REGNAULT: « CRÉER L’IMPULSION ET LA DYNAMIQUE AUTOUR DU DIGITAL » >>> Here.

 

OneLife – Finance Team of the Year

Le 15 novembre 2016, OneLife s’est vu décerner le prix de Finance Team of the Year (équipe finance de l’année) pour la récompenser de la souplesse de la gestion de projet, de la création et de la réussite du lancement de sa nouvelle application.

12.20.2016-LFMS_2016_090 (c) Dominique Gaul

Christophe Regnault, Digital Marketing Manager, et Eric Lippert, CIO, recevant le trophée. © Dominique Gaul

 

Tout a commencé avec nos collaborateurs

Notre plan Digital Marketing de commercialisation numérique, lancé l’année dernière, a commencé par nos collaborateurs, en les encourageant à venir nous parler de toutes les idées qu’ils voyaient passer et qu’ils avaient, le numérique devant être vu avant tout et plus que tout comme un catalyseur commercial.

L’application était bien une étape essentielle pour nous, et c’est une de nos collaboratrices, Valérie Vaes, qui nous y a vraiment fait penser en évoquant un exemple qui s’imposait, et qu’elle avait vu dans une réunion avec l’un de nos partenaires commerciaux. Ceci est vite devenu une équipe de travail transversale y faisant participer plusieurs services (Structure du patrimoine, Juridique et Fiscal, TTI, services clients, etc.)

 « CR : Le numérique est un catalyseur commercial qui crée de la valeur en contribuant de manière tangible à l’ensemble de l’entreprise. La numérisation crée aussi un nouvel état d’esprit et une dynamique qui permet à une société comme la nôtre d’avancer en termes d’innovation. »

 

Une dynamique digitale…

L’adoption d’une méthode digitale a eu pour résultat de nous poser un premier défi important, la rapidité de la production. Pour finir, le business case a été validé par notre comité exécutif en une semaine. Et notre application a été finalisée en 3 mois.

Le second défi était de trouver le bon partenaire. Et nous en avons trouvé un extraordinaire. Nous avons choisi Ainos (lien) pour son implication et son engagement.. Nous avons eu l’impression de faire partie de la même équipe tout au long du projet et à mon avis, ce n’est que le début d’une collaboration très intéressante. Il nous a fallu aussi choisir la plate-forme de développement. Nous avons été convaincus par Xamarin, récemment rachetée par Microsoft, qui nous a permis de développer une application native pour chaque OS que nous avions choisi (iOS & Android).

Le moyen d’intégrer les flux de travail dans l’application a été aussi un facteur essentiel. Pour cette partie revêtant une importance critique, notre architecte, Marc Leoka, et nos équipes internes ont joué un rôle essentiel. 

« EL : L’application est l’exemple parfait qui démontre comment nous avons travaillé ensemble pour lier les flux de travail des services Web afin de faire entrer dans l’application les informations que nous voulions donner à nos partenaires commerciaux. »

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… élaborée dans une approche par phases

OneLife a adopté une approche par phases, en construisant un moment fort en interne en faisant participer les collaborateurs à la dynamique des médias numériques et sociaux.  Puis nous nous sommes mis à la mise en œuvre de l’application du CRM et à faire campagne pour les logiciels, tous liés à un site Web tout neuf et innovant, au moment où nous avons refait notre marque en juin de cette année. Puis est venue la partie mobile, axée sur le renforcement de relation avec nos partenaires commerciaux, en créant de la valeur ajoutée pour eux.

Il y a deux ans, nous avons entamé un gigantesque projet qui s’est traduit par la refonte complète de notre infrastructure et la mise en application d’une nouvelle architecture de logiciel SOA (architecture orientée services). Nous avons ainsi posé les fondations pour continuer à développer notre stratégie numérique, en lui permettant de s’appuyer sur des fondations de premier ordre. L’application est l’exemple parfait qui démontre comment nous avons travaillé ensemble – avec nos partenaires – pour lier les flux de travail des services Web afin de faire entrer dans l’application les informations que nous voulions donner à nos partenaires commerciaux.

 

 

Pour en savoir plus :

« UNE ÉQUIPE DANS LA COURSE À L’INNOVATION ET À L’IMPLICATION POUR DES CLIENTS EN CHANGEMENT PERPÉTUEL »

>>> Ici.

AVEC AINOS, ONELIFE ENCLENCHE UNE NOUVELLE ÉTAPE DÉCISIVE DE SA TRANSFORMATION DIGITALE

>>> Ici.

 

Se préparer aux DIC

Cela fait maintenant une décennie (depuis 2007 exactement) que la Commission européenne étudie la possibilité de présenter les caractéristiques des produits d’investissement complexes aux investisseurs d’une manière claire, concise et non trompeuse. Cette initiative a conduit à l’introduction des Documents d’Informations Clés pour l’Investisseur (DICI) pour les fonds dans le cadre de la directive OPCVM IV. Toutefois, le législateur européen souhaitait étendre cette notion à d’autres types d’investissements afin d’aider les investisseurs à les comparer.

 

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Il en a résulté le Document d’Informations Clés (DIC) créé au titre du règlement 1286/2014 du Parlement européen qui concerne les produits d’investissement packagés de détail et fondés sur l’assurance (« Packaged Retail and Insurance-Based Investment Products » ou « PRIIPs » en anglais). Bien que bénéficiant d’une présentation similaire aux DICI des OPCVM, les informations contenues dans les DIC relatifs aux PRIIPs sont totalement différentes en termes d’approche, ce qui a incité le secteur des fonds à obtenir une « période de grâce » au cours de laquelle les DICI (eux-mêmes récemment adoptés) peuvent être conservés avant d’être remplacés par les DIC.

 

Tout comme les autres acteurs du secteur de l’investissement, les assureurs étaient, à l’origine, aussi dans l’obligation de se conformer à ce règlement avant le 1er janvier 2017. Mais en réponse aux critiques exprimées par le secteur, le Parlement européen a exhorté la Commission à revoir les détails de la mise en œuvre du règlement, ce qui a engendré le report de son application au début de l’année 2018.

Deux modèles de PRIIPs existent : l’investissement unique et les investissements multiples (parfois désignés « MOP » pour « Multiple Investment Option »). L’approche adoptée en matière de MOP s’appliquera à des produits tels que ceux proposés par OneLife qui peuvent inclure une association de fonds externes et internes (portefeuille collectif, dédié et type).

Cela implique deux niveaux de DIC : un pour le contrat et un pour chacune des options d’investissement. Les PRIIPs imposent une transparence totale, les gestionnaires doivent donc fournir des modèles d’investissement standardisés qui utilisent ou font référence à un benchmark. Cette approche sera adoptée par tous les assureurs au Luxembourg.

 

En outre, les gestionnaires devront fournir des informations permettant de calculer les scénarios de rendement. Ceux qui collaborent avec OneLife connaissent déjà l’approche DICI puisque nous l’avons mise en place il y a maintenant plus de trois ans, confirmant ainsi la sagesse de notre choix de stratégie à l’époque.

 

Nous nous sommes également associés à Lombard International Assurance et ABN AMRO Life afin de partager les ressources et ainsi éviter que les gestionnaires et les banques dépositaires ne fournissent les mêmes informations plusieurs fois. Les trois sociétés s’appuieront donc sur l’expertise de KNEIP Communication afin d’élaborer ces DIC.

 

Nous prendrons bientôt contact avec nos gestionnaires et nos banques dépositaires afin de bien nous assurer qu’ils ont compris les obligations imposées par ce nouveau règlement européen et ce que les compagnies d’assurances attendent d’eux. OneLife aidera ses partenaires à relever ce défi qui constitue une petite révolution dans la manière dont les produits financiers sont proposés aux particuliers.

 

 

>>> Pour en savoir plus sur PRIIPs, contactez nos spécialistes juridiques et fiscaux à l’adresse suivante : 

>>> Cet article est extrait de l’édition de novembre 2016 de notre newsletter mensuelle Life Insights. Pour souscrire, cliquez ici.

La stratégie ambitieuse de OneLife : « Faire du Digital un Accélérateur »

Inspirée par la volonté d’élargir son empreinte sur le marché européen, la nécessité de s’adapter aux exigences des nouvelles générations et l’ambition de dépasser les idées reçues en matière d’assurance-vie, OneLife a fait le choix stratégique de déployer la solution eProseed FSIP, une plateforme d’intégration, d’automatisation et de supervision qui permet aux organisations d’adapter leurs modèles et leurs opérations aux exigences des nouveaux écosystèmes digitaux.

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Eric Lippert est le CIO de OneLife, acteur européen en assurance-vie à des fins de gestion patrimoniale. Spécialiste de la transformation des systèmes d’information, il partage avec nous, et en compagnie de Laurent Pulinckx, COO d’eProseed, les raisons qui ont guidé son choix et les bénéfices qui en résultent.

« Sur base des nouvelles opportunités offertes par le digital et de notre volonté d’en faire un véritable accélérateur de croissance, nous avons entrepris, voici près de deux ans, une refonte complète de nos systèmes d’information dans le but de bénéficier d’une base idéalement profilée pour assurer une transition optimale vers le numérique », explique Eric Lippert. « Nous avons donc rationalisé les systèmes existants, déployé les nouveaux éléments d’infrastructure requis – serveurs, stockage, réseau, sécurité – et mis en place de nouveaux outils d’architecture logicielle. Ce sont ces nouvelles fondations qui nous permettent d’offrir aujourd’hui des solutions digitales innovantes tant à nos clients et à notre réseau de partenaires qu’à nos utilisateurs. Nous venons ainsi de lancer une nouvelle application mobile à destination de nos partenaires qui peuvent désormais prendre connaissance du statut de leurs transactions d’assurance, à tout moment et de partout. Dans notre industrie au Luxembourg, c’est une première », fait-t-il remarquer.

 

Rationaliser les systèmes d’information

« Lorsque j’ai pris mes fonctions de CIO début 2015, les systèmes d’information de OneLife reposaient sur une machinerie lourde, complexe et surannée. La raison en est que OneLife s’est constituée par l’acquisition de différentes sociétés, sans véritable rationalisation des systèmes d’information. A titre d’exemple, en plus d’une infrastructure obsolète, nous devions gérer huit systèmes d’impression, autant de systèmes de gestion des polices, trois systèmes comptables, quatre extranets, deux systèmes de data warehouse, … L’un de nos principaux objectifs était donc de mettre en place des processus communs à tous nos portefeuilles d’assurance », explique Eric Lippert. Pour y parvenir, OneLife a déployé, en collaboration avec eProseed, une architecture orientée services, de nouveaux outils de workflow et de case management, ainsi qu’une nouvelle solution de gestion documentaire. La plateforme FSIP a apporté à OneLife des solutions techniques et architecturales pour l’ensemble de ses besoins d’intégration et d’automatisation. « Tous nos processus de gestion des transactions d’assurance sont maintenant harmonisés et orchestrés par les outils de la solution eProseed FSIP », confirme Eric Lippert. « Quant au renouvellement de notre système de data warehouse, il est à l’agenda pour 2018. »

« Je suis convaincu que la rationalisation des systèmes d’information que permet eProseed FSIP constitue un atout de grande valeur pour réussir une transformation digitale fluide, efficace et économique. » – Eric Lippert

 

Une architecture logicielle fluide et cohérente

Vu l’envergure du plan de transformation de l’entreprise, le CIO de OneLife ne voulait pas s’engager dans la voie d’un mode de sélection de solutions qui l’aurait contraint à répéter le processus pour chacun des éléments à mettre en place et à se poser à chaque fois la question de leur interopérabilité : « notre stratégie a consisté à choisir une plateforme unique à même de rencontrer l’ensemble de nos besoins actuels et à venir. Cette stratégie du one-stop-shop offre l’avantage d’une architecture logicielle fluide, cohérente et harmonieuse qui permet de concentrer les efforts sur les solutions métier plutôt que sur des questions technologiques. Même s’il nous a fallu convaincre certaines parties prenantes de la pertinence de la démarche, cette stratégie s’est avérée être le bon choix comme l’a démontré la suite des événements. » Et c’est eProseed FSIP qui a répondu le mieux aux critères de sélection ainsi définis. « Je n’ai pas retrouvé chez les autres fournisseurs consultés un niveau d’intégration et une consistance de l’ensemble des éléments d’architecture comparables à ce qu’offrait eProseed FSIP », souligne Eric Lippert.

 

Faire de l’IT un outil de création de valeur

« Les chantiers de transformation des systèmes d’information que nous menons visent à atteindre trois objectifs, communs à beaucoup de nos clients », explique Laurent Pulinckx. « Notre première préoccupation est d’automatiser les tâches récurrentes, ce qui permet de réaffecter des ressources et des compétences à des missions à plus haute valeur ajoutée, d’augmenter l’efficience et d’améliorer la qualité de service, replaçant ainsi le client au centre de toutes les attentions. Vient ensuite l’intégration avancée et en temps réel de sources de données d’une grande diversité de formats et de modèles d’interfaçage. Enfin, l’adoption d’une plate-forme orientée vers le futur telle que FSIP permet d’intégrer les systèmes hérités au fil de l’évolution des activités au sein d’une solution unique basée sur les standards du marché ».

« Cette approche fait écho à notre volonté de faire de l’IT un outil de création de valeur pour l’entreprise », intervient le CIO de OneLife. « Tout au long de l’exécution de notre plan de transformation, nous avons toujours gardé à l’esprit que, s’il nous fallait bien entendu rationaliser les coûts, nous devions aussi être novateurs, quitte à être parfois les premiers dans notre secteur à déployer certaines solutions. »

 

Quand les utilisateurs se font les avocats du changement

Si une telle transformation des processus clés de OneLife a pu aboutir, c’est parce qu’une étroite collaboration s’est établie entre les équipes informatiques de l’entreprise et les experts d’eProseed, mais aussi entre ces deux parties prenantes et les utilisateurs. « Le dialogue entre les trois parties a vraiment joué un rôle clé dans l’aboutissement du projet », témoigne Laurent Pulinckx. « Les utilisateurs n’ont pas été sollicités en bout de chaîne, au moment d’effectuer les tests, comme c’est trop souvent le cas. OneLife a su mobiliser sous un leadership unique, celui de son CIO, les différents interlocuteurs opérationnels et techniques. Je retiens également le rôle d’agent du changement qu’ont joué les gens des métiers qui ont participé au projet : ils se sont révélés les meilleurs avocats de la nouvelle solution vis-à-vis de leurs collègues. »

« De tous les projets de mise à disposition de solutions métiers auxquels j’ai participé, c’est au cours de celui-ci que les utilisateurs se sont montrés les plus enthousiastes et les plus motivés, à la fois pour obtenir une réponse pragmatique à leurs besoins et pour organiser le changement sur le terrain », ajoute Eric Lippert.

 

« OneLife a su mobiliser sous un leadership unique, celui de son CIO, les différents interlocuteurs opérationnels et techniques. » – Laurent Pulinckx

 

Une plateforme prête à aborder les prochains défis de l’économie numérique

Entre le début du projet de refonte des processus de OneLife et la livraison aux utilisateurs de la nouvelle plateforme, moins de huit mois se sont écoulés. Entretemps, plus de trois millions de pièces ont été migrées vers un nouveau système de gestion documentaire. Aujourd’hui, eProseed FSIP permet à OneLife d’optimiser ses services en continu, contribue à diminuer ses coûts et lui permet de gérer plus efficacement ses portefeuilles et ses clients, tout en offrant de nouvelles capacités de supervision et de suivi à l’IT comme aux métiers.   

« Les capacités d’automatisation et d’intégration de FSIP et l’expertise technique d’eProseed nous ont aidé à mener à bien une transformation numérique qui nous permet d’offrir aujourd’hui à nos utilisateurs une nouvelle expérience, un service entièrement dématérialisé, plus efficace, et plus rapide. La solution d’eProseed améliore non seulement notre efficacité globale mais elle nous apporte en outre un véritable suivi en temps réel des portefeuilles de transactions de nos clients et partenaires », résume Eric Lippert.