A découvrir prochainement!

OneLife lancera bientôt un nouveau produit: le contrat de capitalisation à destination des personnes morales finlandaises. Du fait des répercussions engendrées par les règles fiscales en matière de succession en Finlande, en règle générale, les contrats de capitalisation ne sont recommandés qu’aux personnes morales alors que les contrats d’assurance-vie, tels que Wealth Finland, s’adressent aux particuliers.

 

Le contrat Capitalisation Finlande est conforme au droit finlandais tout en bénéficiant des avantages offerts par le Luxembourg en termes de flexibilité et de protection. Ce contrat de capitalisation en unités de compte permet des investissements sous-jacents dans plusieurs catégories d’actifs, y compris des actions et des obligations inscrites ou non à la cote. Ce nouveau produit possède une architecture ouverte impliquant plusieurs banques dépositaires et plusieurs gestionnaires d’actifs ainsi qu’une autogestion. Toutefois, le titulaire de la police ne doit pas participer à la gestion ou aux activités commerciales des investissements sous-jacents. La police peut être nantie et sa propriété transférée à un nouveau titulaire après acceptation par OneLife. Les primes peuvent être payées en numéraire ou en nature en transférant un portefeuille d’investissements existant à la police.

 

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Capitalisation Finlande permet aux personnes morales de consolider les investissements et de reporter l’imposition des revenus générés par des activités d’investissement. Ce produit peut également être utilisé dans le cadre de mécanismes d’incitation des dirigeants (Management Incentive Schemes ou MIPs). Cela permet ainsi un investissement passif dans des actifs cotés ou non cotés, par exemple des actions, des obligations et différents types de fonds, tant que les actifs sont librement cessibles et que les autres obligations légales et internes sont remplies.

 

En Finlande, le traitement fiscal des contrats de capitalisation a été clarifié grâce à la publication d’orientations écrites par les autorités fiscales. Sur le plan légal et fiscal, plusieurs récentes décisions sont également susceptibles de rendre attractifs les investissements via des produits d’assurance basés au Luxembourg, par exemple les fonds de capital-investissement et les fonds immobiliers créés sous la forme de sociétés en commandite. De plus, suite à une récente décision de la Cour administrative suprême de Finlande, il est possible de bénéficier d’un allégement de la retenue à la source sur les dividendes finlandais versés au titre de la police Capitalisation Finlande.

 

Actualités juridiques – évolutions de l’imposition des successions et des donations en Finlande

Le 1er janvier 2017, la législation en matière d’imposition des successions et des donations en Finlande a été amendée, entraînant ainsi des changements en matière de police d’assurance- vie dont voici les principaux :

  1. Les taux d’imposition applicables aux successions et aux donations ont baissés (pour la première catégorie d’héritiers/bénéficiaires, le taux de la première tranche des droits de succession est passé de 20 à 19 % et de 20 à 17 % pour les donations).
  2. L’abattement standard pour le conjoint a augmenté, passant de 60 000 à 90 000 € tout comme celui pour un enfant mineur qui passe ainsi de 40 000 à 60 000 €.
  3. L’abattement de 35 000 € sur le capital décès pour les proches est supprimé à compter du 1er janvier 2018.
  4. L’abattament de 50 % sur le capital décès pour les veufs/veuves est supprimé à compter du 1er janvier 2018.

 

En elle-même, la future suppression de l’abattement de 35 000 € pour les proches va augmenter l’incidence fiscale pour les bénéficiaires. Toutefois, l’abaissement global des taux d’imposition applicables aux droits de succession est, dans certains cas, susceptible de compenser ce phénomène et pourrait même entraîner une baisse de la charge fiscale pour les bénéficiaires.

 

La suppression de l’abattement de 50 % pour les veufs/veuves touchera les polices d’assurance-vie dont les époux/épouses sont désignés comme bénéficiaires. Pour ces polices, il est notamment recommandé d’analyser la situation avec un conseiller local afin de déterminer si la désignation des bénéficiaires reste pertinente. Sachez que cette désignation peut être modifiée sur demande écrite signée par le titulaire de la police mais que la modification du bénéficiaire irrévocable exige également le consentement de celui-ci.

 

Quand la génération Y tire son chapeau à l’assurance-vie.

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Saviez-vous que 66 % des HNWs de moins de 35 ans ont souscrit un contrat d’assurance vie ?

Parmi les 604 HNWI que nous avons interrogés dans le cadre de notre toute nouvelle enquête intitulée « Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine », plus de la moitié a investi dans l’assurance vie. Les personnes interrogées ont ainsi indiqué que l’assurance vie était un investissement particulièrement pertinent dans le cadre de leurs stratégies de transfert de patrimoine.

Il est toutefois intéressant de noter que ce sont les membres de la génération Y qui ont décelé le plus rapidement les nombreux avantages offerts par l’assurance vie puisque 66 % des personnes interrogées de moins de 35 ans indiquent avoir souscrit un contrat de ce type.

Grâce à sa capacité à s’étendre au-delà des frontières nationales, l’assurance vie permet à ses utilisateurs de bénéficier d’une optimisation fiscale, d’une planification patrimoniale et d’une planification successorale.

 

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Découvrez-en plus sur ce que les HNWs attendent de leur relation avec un gestionnaire de patrimoine. Téléchargez notre nouvelle étude« Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine ».

 

 

Les HNWs peuvent donner le secret de leur réussite en un tour de main.

Berthold Auerbach a dit un jour « Chapeau à la main, on peut conquérir le monde. » Et, il faut le dire, il avait bien raison.

Les gestionnaires de patrimoine doivent être prêts à proposer à leurs clients une solution globale. Ils doivent donc non seulement être leur expert financier mais aussi leur conseiller, leur professeur et leur navigateur. Quelqu’un prêt à  écouter avant de donner le moindre conseil.

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Lorsque nous avons demandé à 604 investisseurs européens fortunés quels facteurs avaient eu la plus grande incidence sur leur patrimoine actuel, nous avons constaté que chaque réussite était unique. En approfondissant notre analyse, des tendances générationnelles spécifiques se sont vite dessinées.

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Alors que les clients plus âgés sont convaincus que leur réussite est liée à des facteurs personnels tels qu’une solide éthique de travail,les clients plus jeunes font au contraire appel à  un éventail bien plus large d’expériences pour atteindre leurs objectifs.

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Du fait de ces différentes approches de la réussite et de la fortune, les conseillers doivent être en mesure de s’adapter à chaque situation en un claquement de doigt.

 

Découvrez notre toute nouvelle enquête intitulée « Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine ».

 

Belgique : entrée en vigueur d’une nouvelle réglementation en région flamande (VLABEL)

Depuis le 1er janvier 2015 et le transfert vers VLABEL des compétences fiscales concernant les droits de succession et une partie des droits d’enregistrement, les intermédiaires et compagnies d’assurances, les avocats et les planificateurs financiers, ainsi bien entendu que les citoyens flamands désireux de structurer leur patrimoine, vivaient au rythme des décisions publiées par l’administration fiscale flamande. Si ces avis ont eu le mérite de clarifier la position de l’administration flamande sur les sujets traités, les points de vue pris par VLABEL ont pour le moins surpris et suscité de vifs remous dans le secteur, allant jusqu’à geler certaines solutions couramment utilisées et admises jusque-là par l’administration fédérale. Bien que VLABEL ait édité son nouveau code général en consolidant les codes des droits de succession et d’enregistrement, aucune modification de loi n’était intervenue et ne pouvait donc justifier ces avis contradictoires. En mars 2016, Assuralia montait même au créneau en introduisant une plainte auprès du Conseil d’Etat contre l’administration fiscale flamande. Le monde politique ne pouvait par conséquent plus rester insensible à cette problématique.

A l’approche de Noël 2016, un nouveau décret nous est né. Publié le 30 décembre, son application à dater du 1er janvier 2017 dans sa majeure partie a rendu le sourire à certains et a permis de démarrer l’année nouvelle avec un peu plus d’optimisme. Deux thématiques liées au contrat d’assurance qui étaient dans le collimateur de VLABEL ont ainsi été revues.

 

  • Donation du contrat d’assurance par cession de tous les droits

La décision de VLABEL de taxer le don d’assurance malgré le paiement des droits de donation avait ouvert les hostilités en novembre 2015. Plusieurs amendements à la position initiale avaient été publiés sans permettre au cessionnaire-donataire d’éviter que la prestation qui lui était payée au moment du dénouement du contrat ne soit soumise aux droits de succession. Le décret du 23 décembre 2016 a mis fin à cette pratique en soumettant uniquement la plus-value du contrat aux droits de succession. Par plus-value, il faut comprendre la différence entre la valeur du contrat d’assurance au moment de la donation et la valeur du contrat au dénouement par décès du donateur. La fiscalité applicable a donc été allégée pour les citoyens par l’arrivée de ce nouveau décret en comparaison avec le point de vue de l’administration flamande. Il ne faut cependant pas perdre de vue que cette fiscalité flamande n’est pas en ligne avec les principes juridiques qui sous-tendent la donation du contrat d’assurance. La cohérence entre raisonnement juridique et fiscalité reste par contre bien ancrée dans les autres régions du pays.

 

  • Souscription conjointe

La position prise par VLABEL dans le cadre d’un contrat souscrit conjointement par deux preneurs, également assurés, avec un dénouement au second décès a généré une énorme controverse qui n’est pas encore apaisée en raison des cas non résolus à ce jour.

La décision visait à taxer les bénéficiaires en vertu des droits de succession alors que ces derniers n’avaient perçu aucune prestation et n’étaient par ailleurs pas certains d’en recevoir une un jour (pour rappel, le preneur a le droit de révoquer à tout moment la clause bénéficiaire, pour autant que le bénéficiaire n’ait pas accepté le bénéfice. En vertu d’une clause d’accroissement entre les preneurs dans la structure de contrat précitée, ce droit de révocation revient au preneur survivant au décès du premier).

 

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Selon le décret désormais en vigueur, la taxation s’opèrera lors du paiement d’une prestation, qui peut être issue d’un rachat ou du dénouement du contrat. En d’autres termes, le rachat partiel ou total du contrat par le preneur survivant génèrera une taxation aux droits de succession, qui ne pourra intervenir que par l’intermédiaire d’une déclaration de succession complémentaire. La perception de droits de succession au dénouement du contrat dans le chef des bénéficiaires reste inchangée.

 

Ce décret n’est pas la panacée et n’est pas un remède miracle aux décisions très critiquées prises par VLABEL durant ces deux dernières années. S’il soulage les donataires-cessionnaires de contrats existants, ainsi que les bénéficiaires de contrats souscrits conjointement, il n’amène aucune solution pour les preneurs dont l’objectif était d’optimiser fiscalement la transmission de patrimoine entre eux. Il met également fin à toute discussion concernant les preneurs mariés sous un régime de communauté. Le décret aborde d’autres points que nous avons choisi de ne pas traiter dans cet article et dont il faut bien entendu tenir compte pour l’élaboration d’une solution de structuration patrimoniale. Dès lors, nous recommandons aux clients de contacter leur conseiller avant de prendre une quelconque décision en la matière et nous nous tenons à leur disposition pour toute information qu’ils souhaiteraient obtenir.

 

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Les gestionnaires de patrimoine les plus stylés !

Tous vous diront que, pour réussir, il faut savoir porter différentes casquettes. Ceux qui sont capables d’occuper plusieurs rôles sont souvent les mieux préparés à faire face aux imprévus.

Dans notre dossier intitulé « Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine », nous analyserons ce concept en détail. Nous avons commencé par interroger 604 Européens fortunés issus de six pays différents sur la confiance portée à leurs gestionnaires de patrimoine lorsqu’ils doivent prendre des décisions financières. Pour près de la moitié de ces particuliers fortunés, le gestionnaire de patrimoine est la personne en qui ils ont le plus confiance dans ceux qui ont voix au chapitre, devant leur époux ou épouse. Du fait de cette confiance, les gestionnaires de patrimoine doivent s’assurer de guider leur clients par des conseils éclairés en accord avec ce qui fait de chaque client un individu à part entière.

Quelle est donc la clé de la réussite dans la gestion de patrimoine, dans ce cas ? Le gestionnaire de patrimoine moderne doit pouvoir tour à tour porter cinq « casquettes » spécifiques, la casquette de conseiller, celle de professeur, celle d’architecte, celle de navigateur et celle de technicien.

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Restez connectés ! La semaine prochaine, nous vous dirons tout sur ces  différentes casquettes dans notre tout nouveau rapport.

 

MISE A JOUR : téléchargez notre nouveau rapport  « Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine » !

 

 

En attendant de pouvoir vous plonger dans cette enquête, consultez notre dernier dossier intitulé « Réussir sa Succession : comment transmettre son patrimoine, infographie sur l’assurance vie ».

 

 

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Quels sont les secrets de la réussite des HNWs ?

Les clients fortunés (HNWI) sont tous différents. Leurs besoins évoluent en permanence et la complexité de leurs affaires a tendance à augmenter au même rythme que leur patrimoine. Fournir des solutions de gestion de patrimoine aux particuliers les plus fortunés de la planète implique de se garder d’une approche à l’emporte-pièce. Les conseillers gérant de telles sommes se doivent de posséder plusieurs cordes à leur arc.

Pour comprendre les opinions et les comportements des clients face à l’argent et à leurs réussites financières, nous avons demandé à 604 Européens fortunés la recette de leur réussite. Il est alors devenu évident à nos yeux que leur réussite n’est pas venue sans difficulté : leurs recettes sont particulièrement complexes. Une forte implication dans leur travail est considérée comme le facteur ayant eu la plus grande incidence sur leur patrimoine actuel, mais leur caractère et leur niveau d’éducation n’arrivent pas loin derrière.

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Vous souhaitez en savoir plus ? La semaine prochaine sur ce blog : soyez prêts  pour la publication de notre nouveau dossier.

 

MISE A JOUR : téléchargez votre nouveau dossier « Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine » !

 

 

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Entretien avec Bastien Perrine dans le cadre des tables rondes de Gestion de Fortune

Bastien Perrine

Bastien Perrine, directeur des ventes régionales de OneLife en charge du marché français, a été interviewé par le magazine Gestion de Fortune dans le cadre de sa table ronde spéciale intitulée « Les nouvelles opportunités de l’assurance vie luxembourgeoise ».

Les thèmes suivants ont été évoqués : la loi Sapin 2, le profil des clients, les atouts pour les expatriés ou les non-résidents, le Brexit, la sécurité des capitaux, les fonds d’assurance spécialisés, le private equity et la digitalisation.

Table Ronde

Outre Bastien Perrine, d’autres experts tels que Sabrina Rivière (La Mondiale Europartner) et Jean-Baptiste Pleynet (Périclès Group) étaient présents.

Les différents points de vue exprimés lors de cette table ronde sont disponibles dans un encart spécial qui est joint au numéro de mars du magazine et est envoyé avec la lettre d’informations (+-50 000 abonnés).

Vous êtes intéressé ? Consultez la version numérique en français en cliquant ici.

 

 

OneLife – ICT Team of the Year

Le 1er décembre, Eric Lippert et son équipe ont été récompensés de leurs projets et de leurs meilleures pratiques en étant nommés ICT Team of the Year (équipe TCI de l’année). Notre équipe a rencontré le CIO (directeur des investissements) d’OneLife pour discuter des grands défis auxquels il avait été confronté en 2016, parler de ses principales réalisations de son équipe et de ses toutes premières priorités pour 2017.

 

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Eric Lippert, CIO, Jean-Philippe Quin, IT Operations Department Manager, Christophe Risse, IT Development Department Manager, Marc Leoka, IT Achitect, recevant leur trophée. © Dominique Gaul

 

Deux grands défis 

Le premier grand défi a été de diriger en même temps la rationalisation de nos systèmes hérités et le développement de solutions numériques innovantes. D’une part, notre gestion de portefeuille de projets, qui est très efficace, nous a permis de construire à coup sûr des fondations solides en termes d’infrastructure TI. D’autre part, nous avons travaillé en petits groupes, avec des méthodes agiles, à des initiatives digitales, à la fois pour identifier rapidement des opportunités et prendre des décisions, et au résultat final, pour créer de la valeur ajoutée.  

Le deuxième grand défi portait davantage sur la gestion de tous les changements de manière de travailler que le nouvel environnement TI/digital introduisait chez nos différents utilisateurs.  Nous avons surmonté cela en faisant participer rapidement les utilisateurs finaux au processus.  Nous avons commencé par organiser des ateliers de sensibilisation au numérique pour faire comprendre aux gens le « pourquoi ». Nous avons ensuite fait participer les utilisateurs à nos groupes de travail souples afin d’obtenir qu’ils acceptent la transformation.  Nous avons fini par concevoir les nouveaux processus de travail de manière être prêts à chaque étape de notre transformation digitale.

 

Les principales réalisations de l’équipe TI 

Du côté de l’architecture logicielle, la mise en place d’une nouvelle architecture SOA (architecture orientée services).

Du côté réglementaire, la finalisation d’outils TI pour aider notre département financier à produire les rapports d’information financière exigés par la directive Solvabilité II.

Du côté opérationnel, d’abord, la nouvelle plate-forme d’administration des politiques internes de l’entreprise, grâce auxquelles nous avons réussi à mettre au point 11 nouveaux produits d’assurance vie pour nos marchés.  Il s’agit d’une réalisation importante, car nous l’avons fait en moins de 9 mois, alors que le délai moyen d’automatisation d’un nouveau produit dans le système TI était de 2 ans d’habitude par le passé. En deuxième lieu, le paramétrage d’un nouveau système de flux de travail lié à un nouveau système de gestion documentaire.  Tous nos processus d’entrées de données sont maintenant harmonisés et orchestrés par ces nouveaux outils, ce qui se traduit par un gain important d’efficacité et de qualité des données pour notre équipe Services Clients.

Du côté des ventes, le paramétrage d’un nouveau CRM, avec des outils supplémentaires de commercialisation en ligne et de prospection en ligne.  Ceci a fait passer l’intégralité de nos équipes de commercialisation et de vente à l’ère numérique.

La « cerise sur le gâteau » est l’application mobile qui a été lancée au sommet InsurTech en octobre et déployée en novembre chez nos partenaires.  Labels Awards-ITOne_ICTTeam2016-08

Pour en savoir plus :

LUXEMBOURG ICT AWARDS 2016 : ET LES GAGNANTS SONT… >>> Here.

ERIC LIPPERT : « METTRE AU POINT ET OFFRIR DE NOUVEAUX SERVICES À NOS PARTENAIRES » >>> Here.

 

OneLife – Digital Personality of the Year

Pour la première fois depuis 8 ans, les membres du jury du Gala Marketers ont élu la Digital Personality of the Year. C’est Christophe Regnault, Digital Marketing Manager de la société OneLife qui s’est vu remettre ce prix, le 24 novembre dernier. 

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Christophe Regnault, Digital Marketing Manager, recevant le prix. © Lorène Paquier

Le vrai challenge à son arrivée était de lancer une dynamique digitale et pour se faire il a développé un plan d’action en trois étapes, entièrement construit autour de l’HUMAIN: des workshops pour expliquer l’impact du digital aux équipes, un écosystème digital orienté utilisateur (interne et externe), au contenu convivial et pertinent, et enfin la création d’une application mobile.12.21.2016-Digital Personnality of the Year-Logo

Etape 1:

La première grande partie est d’avoir pu animer deux douzaines de workshops pour expliquer à tous nos collaboratrices et collaborateurs ce qu’était le digital et comment cela se transcrivait et transformait leur vie quotidienne tant au niveau personnel que professionnel, le tout avec aussi la dose de fun nécessaire et en travaillent l’animation en interne ! C’est important. Au final, OneLife a le meilleur SSI (Social Selling Index) de la place, dans notre secteur, sur LinkedIn.

Et c’est grâce à toutes celles et ceux qui ont ouverts des profils qu’ils n’avaient pas forcément avant, et/ou qui les ont mis à jour mais aussi grâce à tout ce que nos collaborateurs partagent et relaient.

Etape 2:

Le second grand projet est celui de notre rebranding. Nous en avons profité pour transformer ce projet en plateforme pour dérouler et intégrer tous les outils nécessaires pour doter nos équipes avec ce qu’il nous fallait pour commencer à avancer. Le rôle de nos partenaires a également été critique, d’autant que nous avons tout déroulé en même temps : un CRM lié à une dynamique de campaigning (avec la société Néréa (link) ), un nouveau site internet (avec la société e-Proseed(link)), avec tout le contenu, la partie SEO (avec l’agence Vanksen(link)), les réseaux sociaux, etc… le tout avec une nouvelle image et un ton nous permettant d’intégrer un rythme beaucoup plus digital.

Etape 3:

La troisième grande partie du plan est notre application mobile lancée officiellement à l’InsurTech Summit (link) en octobre dernier.

Là encore, OneLife a travaillé en mode très agile, c’est-à-dire à trois en interne, en lien permanent avec notre partenaire (Ainos (link)) pour livrer l’application mobile en près de 3 mois… ensuite nous avons passé beaucoup de temps à associer nos collègues pour affiner l’outil avec toutes les équipes. Tout le monde a ainsi pu tester et commenter l’App. L’équipe de Customer Services s’est beaucoup investie et a même changé ses modes de fonctionnement pour intégrer la valeur ajoutée recherchée à l’attention de nos brokers. Et ce n’est que le début… car comme je vous l’ai dit, nous avons déjà d’autres idées pour les prochaines versions et nos collègues nous en donnent d’autres !

 In fine, la dynamique recherchée a été atteinte, c’est-à-dire un vrai changement de fond qui est même allé jusqu’à modifier la façon de travailler de certaines équipes, une autre forme de valeur ajoutée ! Grâce à toutes ces actions et au travail des équipes, nous avons transformé (digitalement) l’essai !

Pour en savoir plus:

« LUXEMBOURG MARKETING & COMMUNICATION AWARDS: DÉCOUVREZ LES LAURÉATS  » >>> Here.

C. REGNAULT: « CRÉER L’IMPULSION ET LA DYNAMIQUE AUTOUR DU DIGITAL » >>> Here.

 

OneLife – Finance Team of the Year

Le 15 novembre 2016, OneLife s’est vu décerner le prix de Finance Team of the Year (équipe finance de l’année) pour la récompenser de la souplesse de la gestion de projet, de la création et de la réussite du lancement de sa nouvelle application.

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Christophe Regnault, Digital Marketing Manager, et Eric Lippert, CIO, recevant le trophée. © Dominique Gaul

 

Tout a commencé avec nos collaborateurs

Notre plan Digital Marketing de commercialisation numérique, lancé l’année dernière, a commencé par nos collaborateurs, en les encourageant à venir nous parler de toutes les idées qu’ils voyaient passer et qu’ils avaient, le numérique devant être vu avant tout et plus que tout comme un catalyseur commercial.

L’application était bien une étape essentielle pour nous, et c’est une de nos collaboratrices, Valérie Vaes, qui nous y a vraiment fait penser en évoquant un exemple qui s’imposait, et qu’elle avait vu dans une réunion avec l’un de nos partenaires commerciaux. Ceci est vite devenu une équipe de travail transversale y faisant participer plusieurs services (Structure du patrimoine, Juridique et Fiscal, TTI, services clients, etc.)

 « CR : Le numérique est un catalyseur commercial qui crée de la valeur en contribuant de manière tangible à l’ensemble de l’entreprise. La numérisation crée aussi un nouvel état d’esprit et une dynamique qui permet à une société comme la nôtre d’avancer en termes d’innovation. »

 

Une dynamique digitale…

L’adoption d’une méthode digitale a eu pour résultat de nous poser un premier défi important, la rapidité de la production. Pour finir, le business case a été validé par notre comité exécutif en une semaine. Et notre application a été finalisée en 3 mois.

Le second défi était de trouver le bon partenaire. Et nous en avons trouvé un extraordinaire. Nous avons choisi Ainos (lien) pour son implication et son engagement.. Nous avons eu l’impression de faire partie de la même équipe tout au long du projet et à mon avis, ce n’est que le début d’une collaboration très intéressante. Il nous a fallu aussi choisir la plate-forme de développement. Nous avons été convaincus par Xamarin, récemment rachetée par Microsoft, qui nous a permis de développer une application native pour chaque OS que nous avions choisi (iOS & Android).

Le moyen d’intégrer les flux de travail dans l’application a été aussi un facteur essentiel. Pour cette partie revêtant une importance critique, notre architecte, Marc Leoka, et nos équipes internes ont joué un rôle essentiel. 

« EL : L’application est l’exemple parfait qui démontre comment nous avons travaillé ensemble pour lier les flux de travail des services Web afin de faire entrer dans l’application les informations que nous voulions donner à nos partenaires commerciaux. »

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… élaborée dans une approche par phases

OneLife a adopté une approche par phases, en construisant un moment fort en interne en faisant participer les collaborateurs à la dynamique des médias numériques et sociaux.  Puis nous nous sommes mis à la mise en œuvre de l’application du CRM et à faire campagne pour les logiciels, tous liés à un site Web tout neuf et innovant, au moment où nous avons refait notre marque en juin de cette année. Puis est venue la partie mobile, axée sur le renforcement de relation avec nos partenaires commerciaux, en créant de la valeur ajoutée pour eux.

Il y a deux ans, nous avons entamé un gigantesque projet qui s’est traduit par la refonte complète de notre infrastructure et la mise en application d’une nouvelle architecture de logiciel SOA (architecture orientée services). Nous avons ainsi posé les fondations pour continuer à développer notre stratégie numérique, en lui permettant de s’appuyer sur des fondations de premier ordre. L’application est l’exemple parfait qui démontre comment nous avons travaillé ensemble – avec nos partenaires – pour lier les flux de travail des services Web afin de faire entrer dans l’application les informations que nous voulions donner à nos partenaires commerciaux.

 

 

Pour en savoir plus :

« UNE ÉQUIPE DANS LA COURSE À L’INNOVATION ET À L’IMPLICATION POUR DES CLIENTS EN CHANGEMENT PERPÉTUEL »

>>> Ici.

AVEC AINOS, ONELIFE ENCLENCHE UNE NOUVELLE ÉTAPE DÉCISIVE DE SA TRANSFORMATION DIGITALE

>>> Ici.