« Coté, non coté » – la gestion de portefeuilles particulièrement diversifiés incluant des actifs non traditionnels

Les portefeuilles de placement sont actuellement à l’image des modes de vie souvent internationaux et complexes des HNW et de leurs proches. Les actifs non traditionnels tels que l’immobilier, le capital-investissement (réglementé ou non) et les instruments de titrisation à l’échelle internationale sont de moins en moins une exception et de plus en plus la norme en matière de gestion de patrimoine international.

 

OneLife réunit toutes les compétences nécessaires pour investir dans ces actifs non traditionnels et pour les valoriser dans le cadre d’un contrat d’assurance-vie en les intégrant à la solution de gestion de patrimoine international d’un client quel que soit le degré de diversification de son portefeuille. Cela a pour avantage d’offrir à nos clients et à leurs conseillers une vue d’ensemble claire sur un portefeuille regroupant à la fois des actifs traditionnels et non traditionnels.

 

Notre équipe dédiée d’experts en produits non cotés analyse soigneusement chaque actif d’un portefeuille pour bien s’assurer qu’il répond aux obligations fiscales et réglementaires en vigueur. La solide compréhension des questions juridictionnelles transfrontalières dont nous disposons nous permet d’évaluer les risques liés à tout un éventail d’actifs.

 

Cette approche s’inscrit parfaitement dans la stratégie de OneLife visant à proposer des solutions de gestion de patrimoine globales, flexibles et modernes à ses partenaires et à ses clients. L’expertise de OneLife est également renforcée par la réglementation luxembourgeoise en matière d’assurance qui non seulement autorise tout un éventail d’investissements sous-jacents dans des fonds internes mais met à jour et enrichit également l’arsenal des outils liés aux produits non cotés tels que les fonds d’assurance spécialisés (SPIF), une solution en autogestion, ainsi que d’autres structures. L’approche pragmatique adoptée par le régulateur offre des possibilités intéressantes et flexibles en matière de planification patrimoniale aux particuliers soumis à plusieurs législations fiscales en tenant compte des avantages et des risques potentiels que cela implique.

 

 

 

Les actifs non traditionnels étaient au programme du 10e Forum de l’investissement qui s’est tenu le 19 octobre à Bruxelles. L’édition spéciale organisée cette année a réuni plus de 550 visiteurs, 40 maisons de fonds… et a vu se tenir 38 séances de travail sur différents thèmes.

 

Anthony Lorrain, directeur des actifs non traditionnels, et Liana Aghabekyan, analyste des actifs financiers, de OneLife ont effectué une présentation devant un public international sur des thèmes d’actualité tels que Pourquoi l’assurance-vie luxembourgeoise est particulièrement adaptée aux produits non cotés ? Comment intégrer des actifs non traditionnels dans des contrats d’assurance-vie ? Produits non cotés dans des environnements réglementés et non réglementés : risques associés aux actifs non traditionnels.

 

OneLife est membre de la Luxembourg Private Equity & Venture Capital Association (#LPEA). Avec plus de 120 membres, la LPEA joue un rôle majeur dans la discussion et l’élaboration d’un cadre d’investissement et promeut activement le secteur au-delà des frontières nationales.

 

  Pour en savoir plus, merci de contacter Anthony Lorrain ou Liana Aghabekyan.

 

 

#Réussir son #Expatriation: motivation pour l’expatriation des HNW

Les Européens fortunés sont de plus en plus mobiles à l’international et plus d’un quart d’entre eux planifient déjà leur prochain déménagement. Malgré la généralisation des envies d’expatriation, les motivations spécifiques à chaque décision de déménagement à l’étranger sont diverses et variées.

Pour 37 % des expatriés HNW, l’évolution de carrière est le facteur déterminant, suivi de près par des considérations liées au mode de vie. Pour 42 % des femmes, l’épanouissement professionnel est important, tout comme la volonté d’offrir de meilleures opportunités à leurs enfants. À l’opposé, la principale motivation des hommes est une retraite plus confortable.

 

Les expatriés HNW n’envisagent pas leur expatriation seulement sur la base de considérations financières, les opportunités professionnelles et l’amélioration du mode de vie sont également à l’origine d’une telle décision. Il est donc primordial que les gestionnaires de patrimoine comprennent les expatriés HNW afin de leur proposer des services adaptés à leurs envies de départ à l’étranger.

 

Dans notre dernière étude, vous découvrirez les raisons qui poussent les Européens fortunés à déménager à l’étranger : ici.

 

 

#Réussir son #Expatriation : L’agenda de l’international

L’expatriation, que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles, peut être une période particulièrement stressante pour les particuliers fortunés (HNW). Notre dernière étude analyse leurs objectifs, leurs comportements et leurs attentes alors qu’un départ à l’étranger se profile à l’horizon. Leurs préoccupations et leurs sources de motivation sont diverses et variées et, pour la plupart, elles ne se bornent pas aux seules questions financières.

En cette période de grands changements, pour garantir l’efficacité des solutions de gestion du patrimoine, les prestataires de services financiers doivent adopter une approche globale impliquant la prise en compte de multiples facteurs financiers pour répondre à l’évolution des besoins des HNW. Face à ces attentes, les conseillers doivent éviter toute opinion préconçue en matière de conseils transfrontaliers.

Pour comprendre les complexités financières d’une expatriation, nous avons demandé à des Européens fortunés de nous parler de leur expérience en matière d’expatriation. Pour bon nombre d’entre eux, nouveau pays est synonyme de nouvelles opportunités. Plus de la moitié d’entre eux expliquent ainsi que l’ouverture d’un nouveau compte en banque était arrivée en tête de la liste de leurs priorités juste devant les questions d’ordre fiscal.

 

 

Vous souhaitez en savoir plus ? Préparez-vous à la publication de notre nouvelle étude sur les expatriés fortunés!

 

KYC Tech et OneLife : une collaboration fructueuse

Milenko Keserovic (Responsable conformité chez OneLife) et Luc Maquil (Cofondateur de KYC Tech) ont vécu les premières étapes de la collaboration entre leurs deux entreprises lors du RegTech Summit qui a eu lieu dans le quartier de Kirchberg à Luxembourg le 12 octobre. « Un clic, un rapport KYC » est la meilleure manière de décrire leur projet commun de Conformité (ou Reg) et de Technologie (ou Tech).

 

« La Technologie améliore l’efficacité en matière de conformité. Elle simplifie les tâches administratives et permet aux salariés de travailler sur des projets collectifs à forte valeur ajoutée, a expliqué Luc Maquil, cofondateur, avec Thierry André, de KYC Tech, dont l’objectif est d’aider les entreprises à répondre aux défis de plus en plus nombreux que posent les contraintes réglementaires. Nous avons adopté une approche symbiotique dans la mesure où nous essayons d’appliquer notre solution RegTech d’une manière efficace dans le monde de l’entreprise, a expliqué M. Maquil. » Cette solution possède de nombreuses composantes : en premier lieu des données brutes (listes de PPE, de terroristes, de sanctions…) qui peuvent être extraites d’internet, des réseaux sociaux, etc. Le flux de travail est également une étape primordiale : qui entreprend l’action ? Que faut-il faire ? L’échange et la collaboration sont ici la clé. Ensuite vient l’architecture, à savoir l’identification, la sélection, la connexion et la conformité.

 

« Gagner du temps et se concentrer sur la valeur ajoutée »

Milenko Keserovic a ensuite pris la parole pour présenter la collaboration entre OneLife et KYC Tech. « Lorsqu’un nouveau client nous rejoint, nous sommes confrontés à un certain nombre de contraintes réglementaires. Il faut d’abord contrôler son nom, au sens large, car ce client peut tout aussi bien être une personne morale, pas forcément le preneur du contrat, a commencé par expliquer le Responsable conformité. Ces tâches sont à l’heure actuelle réalisées manuellement. KYC Tech dispose d’une solution entièrement automatisée : lorsque nous enregistrons un client dans la base de données, le système envoie directement une requête à la plate-forme et les résultats reviennent en quelques secondes, continue-t-il. » L’équipe responsable de la conformité peut alors facilement décider si elle accepte ou non ce nouveau client. « Les résultats sont positifs. Les clients sont classés dans la bonne catégorie et l’outil est facile à utiliser. Les avantages sont nombreux puisque l’absence d’intervention humaine diminue le risque d’erreur, a expliqué Milenko. »

KYC Tech a également fourni à OneLife une solution de vigilance renforcée (EDD/Enhanced Due Diligence). De nouveau, le travail était réalisé manuellement et les experts passaient beaucoup de temps à collecter des informations et des documents. « La start-up RegTech est capable de nous fournir un rapport EDD que nous avons testé : nous envoyons la demande et recevons un rapport détaillé sous 48 heures. Il ne nous reste plus qu’à analyser le fichier, a ajouté le Responsable conformité qui a expliqué que ce rapport était précis, utile et riche en informations. » L’outil est automatisé, simple, immédiat et rentable. De plus, les deux experts développent actuellement des solutions permettant de simplifier les tâches des équipes de conformité relatives aux polices dormantes.

Milenko Keserovic a fini en expliquant que d’un côté, ce projet avait été géré avec souplesse grâce aux échanges entre les équipes de KYC Tech et celles de OneLife et que de l’autre côté, la start-up RegTech avait fait tout son possible pour comprendre la méthode de travail des salariés de OneLife, leurs activités et les procédures utilisées. Milenko Keserovic et Luc Maquil ne pouvaient qu’être d’accord sur ce formidable projet : « nous avons tous les deux réalisé que les technologies peuvent être très utiles car elles peuvent permettre aux salariés de gagner un temps précieux qu’ils peuvent ensuite consacrer à d’autres tâches nécessitant l’intervention du jugement d’un être humain. »

 

 

InsurTech : la technologie pour transformer l’expérience client

Le 12 octobre dernier, lors de la deuxième édition du InsurTech Summit qui s’est déroulée au Novotel Kirchberg, le CEO de OneLife, Marc Stevens, a pris part à une discussion lors d’une table ronde qui réunissait ses homologues luxembourgeois. Les experts de l’assurance-vie ont alors abordé les thématiques de l’innovation et des investissements dans le domaine des InsurTechs.

 

La session était modérée par Geoffroy Gailly, Partner chez KPMG, qui s’est tout d’abord attardé sur le retour sur investissement dans le domaine des InsurTechs. « Quels sont les montants qui ont été investis ? Comment mesurez-vous le ROI ? » s’est interrogé M. Gailly.

 

Pour Marc Stevens, mesurer le ROI end-to-end est tout simplement impossible : « Il est préférable de définir un champ d’application, et de s’intéresser à certains process ». Le CEO de OneLife a par la suite partagé plusieurs exemples avec les participants : l’utilisation de robots pour l’e-mail management, avec un investissement de deux jours, pour gagner 20 jours-homme par année, et également la prospection sur les réseaux sociaux et notamment LinkedIn. Cet investissement, piloté par Christophe Regnault, Digital Marketing Manager de l’assureur-vie situé à Capellen, porte d’ores et déjà ses fruits. Comme le précise Marc Stevens, le coût est 10 fois moins lourd qu’en utilisant les méthodes de prospection traditionnelle, et le ratio est 3 fois plus élevé. Cependant, selon le CEO, des questions subsistent : « Comment peut-on convertir ces prospects en véritables partenaires ? En effet, ils évoluent dans un environnement digital, votre société est-elle capable d’évoluer dans ce même univers ? »

Chez OneLife, ces investissements technologiques coïncident également avec une nouvelle façon de gérer les projets, avec un management Agile comme voulu par Éric Lippert, le CIO de la compagnie d’assurance-vie. « Nous sommes désormais capables de livrer de nouveaux produits et services en un temps bien plus court, comme le prouve notre app développée l’an dernier. S’il est difficile d’évaluer le retour sur investissement de A à Z, de nombreux éléments peuvent être calculés et ils prouvent bien que nous allons dans la bonne direction » ajoute Marc Stevens, qui poursuit :  » Spending is easy, Smart spending is way more difficult ».

 

 

Les experts de l’assurance-vie luxembourgeois ont par la suite abordé la transformation digitale de leurs sociétés respectives. Marc Stevens a débuté son intervention en partageant l’exemple d’un site de comparaison d’offres d’assurance non-vie, lancé il y a plus de 20 ans aux Pays-Bas : « Aujourd’hui, 60 % de la distribution des produits passe par ce site. Par contre le même concept, mais pour les assurances-vie n’a pas fonctionné ». À travers cet exemple, M. Stevens a ainsi souligné l’importance de l’interchangeabilité des contacts humains et digitaux : « Certains ne veulent plus de contact par téléphone ou physique, car ils ont des habitudes totalement digitales. Mais dans notre domaine, certains privilégient encore le contact humain. Un des challenges est alors d’intégrer cette interchangeabilité des process ».

L’expérience client – et partenaire – est clé, et la technologie peut désormais permettre d’atteindre un niveau optimal d’échange et créer de nouvelles relations. « Il y a trente ans, la technologie n’était pas mature. Aujourd’hui, nous sommes ancrés dans un processus de changement avec de nombreuses opérations de marketing digital, des outils RH… nous sommes embarqués dans un voyage, sans véritablement connaître la destination finale. Mais une chose est sûre, l’expérience client en bénéficiera, tout comme, in fine, nos collaborateurs, partenaires et clients » a conclu Marc Stevens.

 

 

Une journée placée sous le signe des rencontres et du partage

Lors de notre 10e Forum de l’investissement qui s’est tenu à Bruxelles ce mois-ci, des intermédiaires venus de toute l’Europe ont eu la possibilité de rencontrer des représentants de maisons de fonds et des membres des équipes de OneLife au cours d’une journée de discussions dont les thèmes allaient de l’expatriation au rôle des actifs non traditionnels dans les produits d’assurance-vie.

 

La 10e édition du Forum de l’investissement de OneLife qui s’est tenu au Brussels Kart Expo en Belgique le 19 octobre a permis à nos intermédiaires de se rencontrer et de discuter avec des représentants de plusieurs maisons de fonds de premier plan et avec des représentants de nos équipes. Plus de 500 personnes venues de toute l’Europe s’étaient inscrites.

L’expatriation et l’investissement étaient les principaux thèmes de ce Forum où étaient représentées 43 maisons de fonds, incluant à la fois des partenaires de longue date de OneLife et des nouveaux venus dans notre communauté.

Marc Stevens, CEO de OneLife, a ouvert ce Forum en présentant Pepper, un robot humanoïde qui a interagi avec les visiteurs tout au long de la journée grâce à un iPad situé sur sa poitrine en fournissant des informations concernant OneLife et en posant pour des selfies.

Les participants ont choisi parmi les 38 séances de travail organisées, en anglais, en français et en flamand, par OneLife et les maisons de fonds sur des thèmes allant de l’investissement dans un environnement marqué par des taux d’intérêt bas à l’exploitation des primes de risque en passant par l’association de la génération d’alpha à une volatilité en baisse.

Le matin, le thème central était l’expatriation. Les membres de l’équipe Structuration Patrimoniale de OneLife ont présenté des études de cas de portabilité dans le cadre d’un déménagement de Suède au Portugal, du Royaume-Uni en Espagne, de France au Portugal et de Belgique en France. Ces études de cas ont vu la contribution d’experts externes de Carnegie Private Banking, Uria Menendez, Baker McKenzie, Cuatrecasas, Arkwood et RPBA.

Dans l’après-midi, Ruben De Roover, responsable de la relation d’investissement au sein de OneLife, a animé la conférence principale et dirigé un débat interactif sur le thème de la gestion flexible avec des représentants de  DNCA Investments, Ethenea, J.P Morgan Asset Management, M&GInvestments and La Financière de l’Echiquier.

Les actifs non traditionnels étaient également à l’ordre du jour. Anthony Lorrain, directeur des actifs non traditionnels, et Liana Aghabekyan, analyste des actifs financiers au sein de OneLife ont effectué une présentation sur des thèmes d’actualité tels que : Pourquoi l’assurance-vie luxembourgeoise est-elle particulièrement adaptée aux actifs non cotés ? Comment intégrer des actifs non traditionnels dans des contrats d’assurance-vie ? et quels sont les risques associés aux actifs non traditionnels dans des environnements réglementés et non réglementés ?

 

Les séances formelles ont été suivies d’une discussion passionnée sur des questions géopolitiques et macroéconomiques de premier plan entre deux intervenants de renom, les économistes Étienne de Callataÿ et Charles Gave.

 

OneLife a prouvé son statut de pionner du digital en permettant à tous les visiteurs d’utiliser Poken, une plateforme de gestion d’événements basée sur le Cloud qui utilise un dispositif et des points de contact pour échanger des coordonnées, recueillir des documents et transmettre des commentaires en direct concernant l’événement.

Après une journée de découvertes et de networking, les visiteurs ont pu apprécier un dîner, un gâteau d’anniversaire géant et de la musique pour terminer cette journée en beauté.

Découvrez des photos de cet événement à l’adresse suivante => ici et notez dès maintenant la date de la prochaine édition dans vos agendas : 18 octobre 2018.

 

 Article écrit par Vinciane Derulle

 

Le RGPD et l’assurance-vie : contraintes et opportunités

Le 12 octobre, plus de 200 professionnels de la Fintech mondiale se sont réunis au Novotel Kirchberg pour la première édition du RegTech Summit. Alors que des experts internationaux et locaux se concentraient sur les opportunités que le recours à des solutions de RegTech peut offrir ou sur l’importance de la sécurisation des données à l’ère du big data, Éric Lippert, COO de OneLife, a effectué une présentation sur le futur Règlement général sur la protection des données. Quel impact va-t-il avoir sur le secteur de l’assurance ?

 

Les entreprises ne sont pas encore en conformité.

Le COO de OneLife a commencé par présenter des statistiques concernant le futur RGPD et le degré de préparation des entreprises : « En octobre 2016, 97 % des entreprises en Europe ne disposaient pas de stratégie en matière de RGPD. 23 % s’attendent à se voir infliger des sanctions puisqu’elles n’étaient pas prêtes. Plus de 50 % admettaient qu’elles ne seraient pas totalement en conformité. » Pourtant, Éric Lippert pense que le Luxembourg est en bonne voie car il bénéficie d’un avantage certain par rapport à d’autres pays européens, notamment grâce aux lois relatives à la protection des données à caractère personnel en vigueur dans les secteurs de la banque et de l’assurance et grâce à des autorités telles que la CSSF et la CNPD. « La protection des données est un sujet sur lequel nous travaillons depuis plusieurs années, a-t-il ajouté. »

 

 

Le nouveau règlement va changer les règles du jeu pour les compagnies d’assurances-vie.

Éric Lippert a poursuivi en énumérant les différences avec les politiques actuellement en vigueur : en cas de violation des données, les entreprises disposeront de 72 heures pour transmettre à la CNPD tous les documents pertinents et l’amende infligée pourra aller jusqu’à 20 millions d’euros ou jusqu’à 4 % du chiffre d’affaires. « Les conséquences seront lourdes pour les entreprises qui ne respectent pas les nouvelles directives du RGPD, a-t-il expliqué. Un autre aspect important du nouveau règlement européen sera le consentement : en effet, l’utilisation des données par les entreprises nécessitera le consentement exprès du client. Elles devront également être en mesure de prouver que celui-ci a été bien été donné à tout moment. Enfin, le « droit à l’oubli » va changer la donne dans la mesure où les clients pourront désormais demander à l’assureur d’effacer toutes les données les concernant. Le concept de portabilité va également avoir des répercussions : les assureurs seront ainsi tenus de faciliter le transfert des données si le client en fait la demande « La plus grosse contrainte sera dans le domaine administratif avec la formalisation des nouvelles règles. » Ces dernières imposent la nomination d’un délégué à la protection des données et la réalisation d’audits annuels sur les procédures et règles mises en œuvre afin de garantir la conformité de l’entreprise.

 

Éric Lippert a conclu sa présentation sur une note plus positive en expliquant que le RGPD offrait également de nouvelles opportunités pour les compagnies d’assurances-vie puisque ces dernières vont pouvoir reprendre le contrôle de leur conformité, tisser, avec leurs clients, des liens plus forts qui reposeront sur la confiance, améliorer la qualité de leurs données et renforcer leur marketing numérique. « Les opportunités offertes en Europe en matière de KYC centralisé sont immenses, a-t-il ajouté ».

 

 

#Réussir son #Expatriation : Expatriation des HNW – Ce que vous devez savoir

L’expatriation est une expérience enrichissante, quoique parfois trépidante (!), qui bouleverse la vie des particuliers fortunés (HNW) qui décident de se lancer dans une telle aventure. Près d’un quart des HNW a déjà sauté le pas et 13 % ont prévu de faire de même.

Alors que de plus en plus de HNW font le choix de partir vivre à l’étranger, leurs besoins financiers et les attentes placées dans leurs prestataires de services financiers connaissent une véritable mutation. La capacité des prestataires de services de gestion du patrimoine à leur proposer des produits et des solutions dynamiques qui répondent à l’évolution des besoins de ces expatriés fortunés revêt donc une importance de plus en plus grande.

 

Notre prochaine étude consacrée à l’expatriation analyse tout un éventail de faits, de sources de motivation et de préoccupations des HNW ainsi que les décisions financières qu’ils doivent prendre du fait de ce départ à l’étranger.

 

Vous souhaitez en savoir plus ? Préparez-vous à la publication de notre nouvelle étude sur les expatriés fortunés!

 

 

Se concentrer sur l’Essentiel. OneLife est prêt pour le règlement financier PRIIPs !

Apprenez-en davantage sur le champ d’application du nouveau règlement, ses objectifs et ses exigences et comment OneLife se prépare aux changements.

Tout ce que vous devez savoir sur le nouveau règlement dans cette courte vidéo:

 

Nous prenons tous de bonnes résolutions pour la nouvelle année, notamment celle d’être prêts pour les défis à venir.

Le règlement PRIIPs, règlement sur les produits d’investissement packagés de détail et fondés sur l’assurance, est un nouveau règlement de l’UE qui doit entrer en vigueur le 1er janvier 2018.

Il a pour objectif d’améliorer la transparence et la comparabilité grâce à une meilleure information aux clients. Pour ce faire, les assureurs doivent fournir aux investisseurs des chiffres et des faits clés concernant les produits, leurs objectifs, les coûts associés et les risques potentiels avant que ces derniers n’investissent; le tout grâce à un document standardisé obligatoire intitulé « Document d’informations clés (KID) ».

Une vision nouvelle et une approche proactive sont les fondements de OneLife. Informez-vous sur l’initiative PRIIPs à travers cette courte vidéo !

 

“Créez des champions au sein de votre organisation »

Ce 21 juin, dans l’après-midi, les responsables RH et Digital de OneLife, toujours accompagnés de Nicola Doherty de LinkedIn et Alizée Del Mastro de Lynda.com ont présenté aux managers, beta-testers et membres du comité exécutif, dans les moindres détails, le fonctionnement de l’outil proposé par Lynda.com.

Pour Nicola Doherty, dont la mission était de s’assurer que les collaborateurs puissent bénéficier de toute la puissance de la plateforme d’e-learning, « Lynda.com répond aux besoins des Millénials, toujours en quête de nouvelles compétences et formations ». Elle ajoute : « dans de nombreuses sociétés, la nouvelle génération se plaint justement du manque de formation. L’intérêt de Lynda.com est le suivant : les collaborateurs n’auront pas besoin de passer des heures à se former. L’idée est véritablement de maximiser les quelques minutes passées afin d’affiner ses compétences professionnelles ».

 

Communiquer, encourager et partager

La Regional Sales Manager précise également que le succès de ce programme de formation dépend de l’engagement des collaborateurs. Celui-ci doit alors être communiqué : via des newsletters, via la création d’un club intra-entreprise, ou simplement en créer et partageant une playlist des formations qui correspondent potentiellement aux différents membres d’une équipe, ou à tous les employés de OneLife.  « Parlez-en lors de votre lunch, engagez une discussion, créez des habitudes » recommande Nicola Doherty. Les possibilités de communication au sein d’une équipe, et même pour tous les collaborateurs, sont nombreuses : posters, partages d’expériences, ou encore techniques de gamification et récompenses pour les employés les plus assidus. Elle ajoute : « Cet outil vous permet de créer de véritables champions dans votre équipe, votre entreprise. Ils partagent leurs succès et transmettent ainsi leur motivation à leurs collaborateurs. Pourquoi et comment utilisent-ils la plateforme ? Quelles sont leurs formateurs favoris ? Comment leur travail quotidien et leurs missions s’en ressentent-ils ? Partagez vos chiffres ! C’est la manière dont vous allez promouvoir l’outil qui fera son succès. » Les formations, si intégrées dans l’évaluation de performance, permettront également de définir les prochaines étapes d’une carrière : leadership, management, mais également solutions plus techniques, qu’il ne faut pas négliger. Nicola insiste aussi sur l’importance du feedback et de l’expérience utilisateur : auprès des managers, de la direction, mais également auprès des équipes de LinkedIn et Lynda.com. « Ces retours d’expérience doivent être constructifs et permettront à toutes les parties prenantes d’améliorer l’efficacité de la plateforme » insiste l’employé de LinkedIn.

 

Alizée Del Mastro surenchérit : « Managers, créez un cheminement de l’apprentissage au sein de votre équipe ! Les formations disponibles sur la plateforme Lynda.com permettent de rafraichir et mettre vos connaissances à jour. C’est un point crucial dans une société en pleine transformation ». Les vidéos sont affichées selon leur popularité, recommandées et taguées : l’algorithme de Lynda.com propose ainsi les formations qui correspondent le plus à votre profil. Côté technique, les managers jouent le rôle d’administrateur sur la plateforme, leur permettant d’assigner des formations à leurs collaborateurs, et de s’assurer qu’elles ont bien été réalisées, tout en attachant des documents et des messages personnalisés. Le but est alors d’encourager les membres de son équipe mais également d’aligner leurs compétences, afin qu’ils puissent se compléter les uns les autres. Enfin, des rapports peuvent être édités : fréquence de connexion, contenus visionnées, appareils utilisés, et bien plus encore. « Il est important de monitorer les habitudes des collaborateurs lorsqu’on lance ce type de plan de formation. Le manager doit observer, comprendre et ajuster si nécessaire. Le feedback prend alors tout son sens » précise Alizée. Et comme le souligne Nicola, le but de ces rapports est de faciliter à la fois la vie des managers et des collaborateurs qui suivent les formations.

 

Une plateforme d’e-learning flexible

Les beta-testeurs ont par la suite pu partager leur ressenti après quelques semaines d’essais. Pour  Nathalie de Kerchove, du département Compliance & Risk, « la force de cette plateforme d’e-learning réside dans un grand choix de formations, et elle est très facile d’accès ». Elle souligne également la flexibilité de la solution proposée par Lynda.com : il n’est pas nécessaire de passer des heures, voire des jours sur une formation. Même constat pour  Jérôme Lejeune, du département Customer Services : « La scission en chapitres est très pratique, tout comme la possibilité de mettre en pause les formations et vidéos que l’on a débutées ».

Enfin,  Laurence Parison, Chief Human Resources Officer, a conclu en soulignant l’importance de suivre ses propres formations, et pas uniquement celles imposées par les managers : « Les formations obligatoires pourront être réalisés pendant les heures de travail, mais chacun a la responsabilité de développer ses compétences. Voilà tout l’avantage de souscrire à une solutions telle que Lynda.com. Alors, on pourra parler d’une situation win-win pour l’employé ainsi que pour l’employeur ».