Mettez-vous à leur place…

Dans la culture consumériste qui est la nôtre actuellement, nous sommes tous submergés d’informations concernant de formidables nouveaux produits et services. L’assurance-vie n’est pas adaptée à tous les cas de figure mais cette solution flexible peut s’adapter aux besoins de tout un éventail de particuliers et de familles. L’e-Book élaboré par OneLife sur le thème de la succession montre de quelle manière certaines familles ont réussi à combler les lacunes de leur plan de transfert de patrimoine grâce à cet outil.

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Peut-être que l’expérience de Martin, un retraité français soucieux de transmettre suffisamment d’argent aux deux filles qu’il a eues d’un premier mariage… ou celle de Timo et Anna Tuominen qui ont deux objectifs, à savoir aider leurs enfants dans leurs carrières professionnelles et laisser une partie de leur patrimoine à leurs deux petits-enfants, touchent une corde sensible ?

Que vous soyez le donateur ou le donataire dans l’un de ces cas de figure, nos études de cas familiaux permettent de clarifier exactement dans quelle mesure une assurance-vie peut aussi vous aider.

 

Pourquoi ne pas vous en rendre compte par vous-même ? (Cliquez ci-dessous pour télécharger notre e-Book.)

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Quelle famille OneLife êtes-vous ? Profitez des avantages offerts par les contrats d’assurance placement, comme ils l’ont fait.

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La famille Blanchet. La famille Peeters. La famille Tuominen.

 

Trois familles habitant dans des pays différents, avec des structures familiales variables et des besoins très divers.

Quel est leur point commun ? L’assurance placement.

Un contrat d’assurance placement luxembourgeois pour être exact. Un contrat qui a répondu aux attentes, en étant la solution idéal pour chacune de ces familles, grâce au niveau élevé de personnalisation et de flexibilité qu’il offre. Cliquez ici pour savoir comment exactement ces trois familles ont profité de ses avantages… (Cliquez ci-dessous pour télécharger notre e-Book.)

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Quelle que soit l’étape de votre vie, soyez prêt avec notre check-list

La vie – une route longue et sinueuse, pleine de promesses, de détours et parfois même de soubresauts brusques et inattendus.

Mais quelle que soit l’étape de votre vie où vous vous trouvez, nous avons un avis d’expert qui vous convient. Pour vous donner une idée, consultez notre check-list sur la planification successorale.

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Avez-vous posé toutes les bonnes questions ? 

 

Cliquez ci-dessous pour télécharger notre Slide Share.

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Aller à l’essentiel ?

Nous le savons. Planifier pour le futur peut être déstabilisant et épuisant sur le plan émotionnel.

« Comment savoir où sera ma famille dans dix ans ? De combien d’argent aurais-je besoin ? Serais-je toujours en bonne santé ? Mon/ma conjoint(e) sera-t-il/elle protégé(e) si je décède en premier ? »

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Un certain nombre de facteurs doivent être pris en compte. Mais, chez OneLife, nous sommes fiers de rendre la planification de la transmission de votre patrimoine plus sécurisée, plus facile et, croyez-le ou non, plus exaltante.

Notre checklist sur planification successorale vous permettra de connaître les points à prendre en compte au moment d’aborder la question de l’héritage avec un conseiller! (Cliquez ci-dessous pour télécharger notre Slide Share.)

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Compliquée ? Rébarbative ? Inaccessible ?

Assurance placement – ces deux mots ne soulèvent pas toujours un enthousiasme débordant.

Pourtant, nous sommes persuadés que nous pouvons changer cela. Chez OneLife, nous en avons assez des conditions compliquées et des imbroglios entre plusieurs juridictions. Nous avons donc compilé des études de cas pour vous aider à visualiser ce que l’assurance placement peut faire pour vous et votre famille.

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Ces études apportent un éclairage sur les expériences de trois familles internationales ayant souscrit des contrats d’assurance placement luxembourgeois. 

 

>>> Cliquez ci-dessous pour télécharger notre e-Book.

 

Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier !

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On dit généralement qu’il ne faut pas « mettre tous ses œufs dans le même panier ». De toute évidence, l’inventeur de cette expression n’avait pas de contrat d’assurance placement luxembourgeois.

Comment pouvons-nous en être aussi sûr ?

Parce que ce sont des contrats suffisamment solides pour vous préparer à n’importe quelle étape de la vie -qu’il s’agisse du décès d’un être cher, d’épargner pour un projet important ou de planifier pour le futur de vos petits-enfants. OneLife a recueilli les témoignages de trois familles dans différents pays européens. Chacune a identifié les avantages innombrables que leur a apporté un contrat d’assurance placement luxembourgeois.

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La famille Blanchet, par exemple, tenait à ce que leurs enfants nés d’unions précédentes bénéficient d’une couverture appropriée dans le cas où quelque chose arriverait à leur père et mère.

La famille Peeters est une famille typique du 21ème siècle. Éparpillés dans toute l’Europe, ses membres parlent des langues différentes et ont emprunté des parcours de vie complètement divers et atypiques. Leur objectif principal, en souscrivant un contrat d’assurance placement, était de trouver une solution pour éviter la double imposition, dans le contexte d’une succession transfrontalière. 

La famille Tuominen nous a confié que leur contrat leur avait permis de gérer leur situation financière, quand bien même ils ne parvenaient pas eux-mêmes à surmonter la mort d’un de leurs proches. 

 

Vous est-il déjà arrivé de vous poser ces questions ? Dans ce cas, vous êtes au bon endroit. Dans notre e-book consacré à la succession, vous découvrirez les myriades de possibilités que que peut vous offrir un contrat d’assurance placement. 

 

Cliquez ci-dessous pour télécharger notre e-Book!

 

Les mécanismes de « stop-loss »: protections intéressantes ou néfastes pour la performance?

Nous en sommes tous conscients : la plupart des investisseurs ne perçoivent pas le risque d’un portefeuille comme symétrique. Une approche scientifique définira le risque en termes de volatilité, autrement dit la probabilité et l’amplitude de la divergence entre le rendement effectivement obtenu et celui attendu. Cette mesure s’applique dans les 2 sens : à la hausse comme à la baisse. Ainsi, un portefeuille dont la performance serait de 20% supérieure aux attentes sera considéré à risque élevé, clairement le type de risque qu’un investisseur acceptera avec le sourire. A l’inverse, un portefeuille avec un rendement attendu de 5% dont la performance reste 20% en-dessous des attentes serait beaucoup plus difficile à accepter pour ce même investisseur. Il s’agit pourtant bien du même risque.

Plusieurs techniques ont été développées à travers les années pour réagir de façon asymétrique quand la performance d’un portefeuille montre trop de déviation à la baisse. L’une d’entre elles – bien connue de nos clients – est celle des limites « stop-loss », des ordres de vente automatiques qui sont déclenchés quand la performance négative dépasse un seuil prédéterminé.

Cette approche donne à l’investisseur un sentiment de protection puisqu’il ne perdra jamais beaucoup plus que le niveau prédéterminé de la chute des marchés qui va déclencher la vente de ses actifs risqués. Cette perception de sécurité peut aider des investisseurs traditionnels en produits de taux, devenus quelque peu désespérés par cet environnement, à élargir leurs horizons et à accepter un peu plus de risques en actions dans leur portefeuille.

 

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Cette approche est-elle vraiment efficace en temps de crise ?

Elle a certainement porté ses fruits à deux occasions assez récentes. Prenons un investissement dans l’indice EuroStoxx 50 avec un seuil de stop-loss prédéterminé à -15%. Depuis le début du siècle, il y a eu 2 périodes où beaucoup de dégâts ont clairement été évités en sortant après la première descente de -15% : l’implosion de la bulle « dotcom » des années 2000/2001 et la crise financière des « subprimes » en 2008/2009. Ces 2 périodes ont vu l’indice EuroStoxx 50 perdre respectivement -66% et -61%. Lors de ces scénarios, il était clairement préférable d’encaisser une perte de -15% plutôt que de rester investis.

Mais depuis, les marchés semblent avoir fondamentalement changé. Les grandes crises se sont muées en « mini-crises », avec pas moins de 7 périodes accompagnées de chutes dépassant les -15% depuis 2009 : -19% en 2010, -37% en 2011, -21% en 2012, -16% en 2014, -22% en 2015, -24% et -16% en 2016. Sortir du marché après chaque chute de -15% aurait causé une série de pertes consécutives plutôt que de réaliser une quelconque forme de rendement protégé, même si le marché n’a pas perdu d’argent sur la totalité de la période.

En outre, le plus grand problème reste le même dans les 2 cas : quand doit-on décider de rentrer dans le marché ? Commencer à réinvestir partiellement juste après sa sortie n’a pas beaucoup de sens : si l’on croit à un rebond, mieux vaut ne pas sortir du marché. Mais attendre une certaine période, par exemple 12 mois, et puis rentrer dans le marché n’est pas sans soucis non plus. Une telle approche aurait même, dans les grandes crises de 2000/2001 et 2008/2009, causé un second franchissement du seuil de stop-loss, et donc une deuxième perte de -15%. Et dans l’ère post-2009, dans la plupart des cas, on aurait été juste à temps de retour dans le marché pour subir la prochaine mini-crise…

 

Conclusion : les mécanismes de stop-loss ne sont pas la solution à tous les problèmes de volatilité. Certes, ils donnent un sentiment de sécurité et protègent du pire en cas de vrai crash massif, mais ils peuvent aussi donner des rendements médiocres à plus long terme lorsqu’ils forcent à quitter les marchés trop souvent, comme ce fût le cas ces 7 dernières années. Une meilleure diversification de son portefeuille, au-delà du classique mélange entre actions et produits de taux, pourrait s’avérer être une meilleure solution pour contenir les mouvements de prix dans des plages qui restent confortables, sans être heurtés par les « portes de saloon »

 

Ruben De Roover
OneLife Investment Relationship Manager
LinkedIn_logo_Small  https://lu.linkedin.com/in/ruben-de-roover 

 

>>> Pour en savoir plus sur les actifs sous-jacents disponibles dans le cadre de nos contrats d’assurance-vie, veuillez contacter nos spécialistes en investissement ici.  

>>> Cet article est extrait de l’édition de septembre 2016 de notre newsletter mensuelle Life Insights. Pour souscrire, cliquez ci-dessous.

 

Copyright picture: Stop Loss, Trading (credit: Istock)

Optimisation fiscale et assurance placement

Albert Einstein, un être humain doté d’une capacité de réflexion stupéfiante, s’est un jour exclamé dans un moment de franchise brillante et impitoyable : « La chose la plus difficile à comprendre au monde c’est l’impôt sur le revenu ».

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Nul doute que beaucoup d’entre vous seront d’accord avec cette affirmation. Depuis des dizaines d’années, trouver la structure fiscale appropriée relève du véritable casse-tête, un constat que corrobore notre étude « Essential Wealth : Le rapport des HNWI à la société ».

De manière générale, les particuliers fortunés européens ne souscrivent pas des produits financiers à des seules fins d’optimisation fiscale. Les Français font toutefois figure d’exception, puisque 63 % des HNWI français possèdent un contrat d’assurance placement pour payer moins d’impôts. Ces solutions sont toutefois des outils à fort potentiel, pas seulement en France, mais dans le monde entier, en raison des avantages qu’elles offrent termes de planification successorale, de portabilité et d’investissements.

À mesure que les HNWI deviennent une clientèle de plus en plus mobile, la concurrence dans le secteur, qui se limitait jusqu’alors au cadre purement national, s’internationalise nettement. Inévitablement, on assiste à l’émergence de centres financiers majeurs dans le secteur de la gestion de fortune.

Luxembourg, qui en fait partie, a développé une forte présence sur le marché de l’assurance placement.

 

Consultez notre dernière étude pour en savoir plus sur les personnes fortunées et pour connaître leur ressenti sur leur situation fiscale.

 

En ce monde rien n’est certain, à part la mort et les impôts…

Deux HNWI sur cinq interrogés dans le cadre de notre récent rapport Essential Wealth estiment qu’ils paient trop d’impôts.

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En raison de leur sensibilité à la question du respect des règles fiscales, seule une minorité a recours aux solutions légales disponibles pour améliorer leurs taux d’imposition, comme l’utilisation d’assurances placements.

Il existe de nombreuses solutions d’optimisation fiscale sur le marché. Les contrats d’assurance placement luxembourgeois en font justement partie.

Contactez-nous pour en savoir plus, et cliquez ici pour lire notre dernier rapport.

 

 

Le paradoxe de la richesse

Sur les 600 particuliers fortunés avec lesquels nous nous sommes entretenus dans le cadre de notre dernière étude « Essential Wealth : Le rapport des HNWI à la société », plus de la moitié ont déclaré ressentir une angoisse liée à la création de richesse.

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Ce sentiment d’angoisse touche 58 % des jeunes investisseurs de moins de 35 ans.

Les membres de cette nouvelle génération de HNWI sont également mieux éduqués sur le plan financier et sont, de surcroît, de plus en plus avides de connaissances, afin d’étayer l’ensemble des décisions financières qu’ils prennent. C’est une opportunité à saisir pour les experts financiers, dont les conseils jouent un rôle de plus en plus indispensable dans l’expérience de découverte de ces jeunes créateurs de richesse.

Les conseillers doivent néanmoins veiller à trouver le bon compromis entre, d’une part, l’inévitable transformation numérique et l’évolution vers les robots-conseillers et, de l’autre, les niveaux nécessaires d’interaction exigés par ces clients.

Accédez à notre dernier rapport, ci-dessous.