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Les gestionnaires de patrimoine les plus stylés !

Tous vous diront que, pour réussir, il faut savoir porter différentes casquettes. Ceux qui sont capables d’occuper plusieurs rôles sont souvent les mieux préparés à faire face aux imprévus.

Dans notre dossier intitulé « Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine », nous analyserons ce concept en détail. Nous avons commencé par interroger 604 Européens fortunés issus de six pays différents sur la confiance portée à leurs gestionnaires de patrimoine lorsqu’ils doivent prendre des décisions financières. Pour près de la moitié de ces particuliers fortunés, le gestionnaire de patrimoine est la personne en qui ils ont le plus confiance dans ceux qui ont voix au chapitre, devant leur époux ou épouse. Du fait de cette confiance, les gestionnaires de patrimoine doivent s’assurer de guider leur clients par des conseils éclairés en accord avec ce qui fait de chaque client un individu à part entière.

Quelle est donc la clé de la réussite dans la gestion de patrimoine, dans ce cas ? Le gestionnaire de patrimoine moderne doit pouvoir tour à tour porter cinq « casquettes » spécifiques, la casquette de conseiller, celle de professeur, celle d’architecte, celle de navigateur et celle de technicien.

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Restez connectés ! La semaine prochaine, nous vous dirons tout sur ces  différentes casquettes dans notre tout nouveau rapport.

 

MISE A JOUR : téléchargez notre nouveau rapport  « Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine » !

 

 

En attendant de pouvoir vous plonger dans cette enquête, consultez notre dernier dossier intitulé « Réussir sa Succession : comment transmettre son patrimoine, infographie sur l’assurance vie ».

 

 

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Quels sont les secrets de la réussite des HNWs ?

Les clients fortunés (HNWI) sont tous différents. Leurs besoins évoluent en permanence et la complexité de leurs affaires a tendance à augmenter au même rythme que leur patrimoine. Fournir des solutions de gestion de patrimoine aux particuliers les plus fortunés de la planète implique de se garder d’une approche à l’emporte-pièce. Les conseillers gérant de telles sommes se doivent de posséder plusieurs cordes à leur arc.

Pour comprendre les opinions et les comportements des clients face à l’argent et à leurs réussites financières, nous avons demandé à 604 Européens fortunés la recette de leur réussite. Il est alors devenu évident à nos yeux que leur réussite n’est pas venue sans difficulté : leurs recettes sont particulièrement complexes. Une forte implication dans leur travail est considérée comme le facteur ayant eu la plus grande incidence sur leur patrimoine actuel, mais leur caractère et leur niveau d’éducation n’arrivent pas loin derrière.

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Vous souhaitez en savoir plus ? La semaine prochaine sur ce blog : soyez prêts  pour la publication de notre nouveau dossier.

 

MISE A JOUR : téléchargez votre nouveau dossier « Les nombreuses casquettes du gestionnaire moderne de patrimoine » !

 

 

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OneLife & Talkwalker: Exploiter au mieux la social data

LE CONTEXTE

Poursuivant sa transformation numérique, OneLife a commencé sa collaboration avec Talkwalker, la startup luxembourgeoise de renom, afin d’améliorer la prise de conscience de l’importance de la collecte de données au coeur  des prises de decisions de la société

 

LE DÉFI

OneLife a pour objectif de rendre les données sociales accessibles et utiles aux pratiques commerciales, en particulier dans le service de marketing numérique en relation avec les équipes de vente.

Les besoins visant à:

  1. Améliorer la culture de la mesure ( OU faire de la mesure regulière des données un vrai état d’esprit ) au sein des services de la société, en démontrant:
    – des corrélation existantes entre leurs différentes opérations qui ne pourraient pas être constatées par des méthodes plus traditionnelles.
    – la valeur ajoutée d’un accès simple à une mesure régulière et précise.
  2. Affiner la prospection de leads de qualité et mieux comprendre les besoins des clients.
  3. Permettre de collecter des données sociales et et de les affiner non seulement à des fins différentes mais aussi pour des Services différents.
  4. Rendre les données accessibles sans d’innombrables heures de formation!

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LA SOLUTION

OneLife utilise Talkwalker avec un double objectif: identifier le meilleur indicateur clef de performance (KPI) et utiliser les données sociales pour inciter à un changement d’état d’esprit.

Non seulement les équipes de OneLife (le Marketing Digital et les Équipes de Vente) sont capables de sélectionner les meilleurs canaux pour diffuser son contenu et s’adapter instantanément, mais aussi de suivre et d’identifier les principaux sujets de discussion « tendance » les plus commentés. La plateforme offre aussi la possibilité d’une surveillance précise de la marque aussi souvent que nécessaire : grâce à un tableau de bord personnel ou directement dans la messagerie de l’équipe.

 

« Nous utilisons Talkwalker non seulement pour obtenir de nouveaux renseignements, mais aussi pour introduire un nouvel état d’esprit, pour démontrer aux salariés comment ils peuvent utiliser les données sociales afin de créer de nouvelles opportunités ». Christophe REGNAULT, Directeur du Marketing Digital chez OneLife.

 

LES RÉSULTATS

Les résultats de cette stratégie améliorée des médias sociaux se sont manifestés sur Twitter, avec plus d’un demi-million d’impressions par jour obtenues sur le compte officiel de la société, ainsi que sur LinkedIn, avec une forte progression du Social Selling Index. De plus, l’équipe de vente a maintenant accès à des informations ciblées pour le secteur de marché correspondant qu’elle reçoit en direct, en tirant le meilleur parti des renseignements provenant des médias sociaux

 

>>> Téléchargez le Case Study complet  ici  

 

>>>> Consultez « One life’s ambition to make digital a business enabler »

>>>> Consultez « Digital personality of the year »  

 

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Nouvel éclairage sur les interactions entre gestionnaires de fortune et HNWI

Les personnes fortunées (HNWI ou High Net Worth Individual) représentent un ensemble hétérogène, que ce soit en raison de la diversité des facteurs à l’origine de leur réussite ou de leur expérience. Voilà pourquoi les gestionnaires de fortune au service de cette cible ne peuvent pas se contenter d’une approche standard et doivent faire preuve de dynamisme et de flexibilité. Loin d’être de simples conseillers, ils doivent remplir des rôles très variés afin de répondre aux divers besoins et attentes de leurs clients.

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Dans une certaine mesure, c’est un peu cette même diversité qui pousse les HNWI à demander des conseils financiers dans un premier temps. Indépendamment de leur profil individuel, les Européens fortunés souhaitent obtenir une expertise variée et approfondie dans des domaines clés, non seulement en matière d’investissements, mais également en ce qui concerne la planification de leur retraite et l’épargne pour l’éducation de leurs enfants. Ils sont à la recherche de conseillers capables de planifier sur le plan stratégique, dotés d’un sens de la pédagogie et possédant des compétences techniques.

Toutefois, les gestionnaires de fortune sont également confrontés à un défi générationnel, selon le rapport Essential Wealth : The Modern Wealth Manager’s Multitude of Roles (La multiplicité des rôles occupés par le gestionnaire de fortune moderne). La deuxième partie de l’enquête consacrée à la vie et aux attitudes de plus de 600 particuliers fortunés, réalisée par OneLife et Scorpio Partnership, et à paraître à la fin du mois de mars, révèle que même si les gestionnaires sont la source de connaissances la plus influente pour les HNWI, en général, les jeunes générations ont davantage tendance à puiser des recommandations dans des blogs et des programmes éducatifs.

C’est notamment l’une des raisons pour lesquelles les gestionnaires de fortune aujourd’hui doivent porter plusieurs casquettes, d’après le rapport, notamment à travers des prestations de conseil et d’information financiers, couvrant la stratégie de placement, la fiscalité et la sélection des titres individuels, mais également des aspects plus larges de la vie des HNWI, y compris des questions éducatives, l’immobilier et la philanthropie. Les relations clients solides sont forgées par l’expertise du conseiller, la qualité des informations, mais également par un service personnalisé et, de plus en plus, des frais compétitifs.

L’enquête montre que les clients HNWI sont davantage disposés à laisser des décisions aux gestionnaires de fortune dans des domaines tels que l’optimisation fiscale, les investissements et la planification patrimoniale. En revanche, ils ne les considèrent que comme une source de conseil parmi tant d’autres dans des domaines tels que la mobilité internationale, l’immobilier et l’assurance. Le degré de confiance des clients dans les stratégies qu’ils adoptent varie en fonction de l’âge. Les HNWI plus jeunes assument moins volontiers le succès des stratégies financières.

Dans un environnement mondial agité et incertain, les conseillers financiers ont une carte à jouer en mettant en avant leur capacité à anticiper les besoins de leurs clients, en soulevant des questions importantes pour le futur, en offrant de nouveaux produits et en veillant activement à ce que les HNWI aient à portée de main des informations sur leur situation financière.

 

Restez connectés : la parution du rapport est prévue pour fin mars.

 

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OPCVM alternatifs : Combiner les stratégies de hedge funds avec les avantages des OPCVM traditionnels

Nous avons récemment étendu notre plateforme pour englober de nouveaux fonds appartenant à une catégorie connue sous le nom d’OPCVM alternatifs ou placements alternatifs liquides, qui peut offrir un accès à une vaste gamme de stratégies de type hedge funds associant également la protection des investisseurs et la transparence du régime des OPCVM. Quels sont leurs origines, leurs avantages et leurs limites ?

Les organismes de placement collectif en valeurs mobilières, plus connus sous le nom d’OPCVM, constituent un cadre réglementaire établi initialement par une directive de l’UE de 1985 régulièrement mise à jour, en vue d’harmoniser le marché des fonds transfrontaliers européens, tout en veillant à assurer la protection des investisseurs. Depuis plus de 30 ans, ce cadre est devenu la marque de référence des fonds sous gestion professionnelle réglementée dans toute l’Europe et au-delà.

Les stratégies d’investissement traditionnelles utilisent des instruments tels que des titres cotés, des obligations et des produits de trésorerie, tandis que les placements dits « alternatifs » au sens large regroupent le private equity, les hedge funds, l’immobilier et les matières premières. Dans un sens plus étroit, l’expression « placements alternatifs » désigne les hedge funds qui adoptent des techniques qui se démarquent d’un accès au marché linéaire et dont les gérants adoptent des stratégies différentes pour obtenir des rendements actifs.OneLifeCompany- alternative-UCITS-hedge-fund-strategiesLes hedge funds sont devenus populaires auprès des investisseurs sophistiqués, en raison de leur faible corrélation aux classes d’actifs traditionnelles et parce que leur objectif est d’obtenir des « rendements absolus », contrairement aux fonds traditionnels, dont les gérants cherchent à obtenir des rendements relatifs, qui mesurent leur performance par rapport à un indice de référence. Toutefois, pour les investisseurs prudents, certaines caractéristiques des hedge funds, notamment une liquidité plus réduite, moins de réglementation et moins de transparence, peuvent être problématiques.

La demande croissante des investisseurs pour une plus grande diversification de leurs portefeuilles s’est traduite par la directive OPCVM III en 2002 et la directive sur les actifs éligibles en 2007, qui ont élargi la gamme des actifs dans lesquels les OPCVM peuvent investir. Les dérivés sont devenus un actif éligible, ce qui a permis aux gérants d’OPCVM de tirer parti de leurs positions et d’obtenir des expositions courtes à travers des dérivés.

 

Bien que la réglementation OPCVM limite les emprunts de ce type à 10 % maximum des actifs et interdise strictement la vente à découvert directe, il est possible, en utilisant des dérivés, de répliquer ces techniques de manière synthétique et de créer différents types de flux de rendements. Cette possibilité, qui a ouvert aux gérants d’OPCVM l’accès à différentes stratégies de type hedge funds, a donné naissance à une nouvelle classe d’actifs : les fonds OPCVM alternatifs.

Instinctivement, on aurait tendance à penser que le coût de la réglementation risquerait de réduire la flexibilité des gérants de fonds alternatifs. Pourtant, les recherches empiriques montrent que la réglementation OPCVM n’entrave pas la performance ajustée du risque des fonds alternatifs par rapport aux stratégies traditionnelles ou de hedge funds offshore. L’objectif des OPCVM alternatifs est donc d’offrir les avantages des deux régimes : un flux de rendement absolu de type hedge fund avec une plus faible corrélation aux marchés actions et aux marchés obligataires, combiné à un cadre réglementaire qui impose des obligations de liquidité, de transparence, un contrôle réglementaire et une gestion du risque rigoureuse.

 

Naturellement, il existe des différences. Toutes les stratégies de hedge funds ne s’adaptent pas au format OPCVM. Les placements sous-jacents de certaines stratégies, par exemple, les approches event-driven ciblant les titres « distressed » ou les stratégies d’arbitrage s’appuyant sur des instruments adossés à des actifs, ne sont tout simplement pas suffisamment liquides pour répondre aux exigences de la plupart des OPCVM alternatifs, qui offrent une cotation et une négociation quotidiennes. D’autres ont souvent recours à des instruments ou des actifs qui ne correspondent pas au cadre des OPCVM, comme les gérants short-only et les traders en matières premières.

Malgré l’absence de ces stratégies fortement diversifiantes, le marché des OPCVM alternatifs connaît un essor rapide, aussi bien en ce qui concerne le nombre de fonds que les actifs sous gestion. Du côté de la demande, l’évolution des mentalités des investisseurs a favorisé les rendements alternatifs, perçus comme un moyen de diversifier les portefeuilles. Du côté de l’offre, les gérants de hedge funds traditionnels n’ont pas tardé à revoir la présentation de leurs stratégies en les adaptant au format plus transparent et réglementé des OPCVM, afin d’attirer les investisseurs traditionnels et d’offrir leurs fonds dans le cadre de portefeuilles plus larges d’instruments liquides.

 

À terme, le segment des OPCVM alternatifs nous paraît encore offrir un potentiel de croissance soutenu. Avec 400 milliards EUR, les stratégies alternatives ne représentent encore que 5 % du total des actifs des OPCVM, actuellement de 8 000 milliards EUR.


Merci à nos collègues de LuxHedge pour leur assistance dans la rédaction de cet article.

>>>> Pour de plus amples informations sur les OPCVM alternatifs ou les autres actifs sous-jacents disponibles au sein de nos contrats d’assurance, contactez nos spécialistes en investissement

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Se préparer aux DIC

Cela fait maintenant une décennie (depuis 2007 exactement) que la Commission européenne étudie la possibilité de présenter les caractéristiques des produits d’investissement complexes aux investisseurs d’une manière claire, concise et non trompeuse. Cette initiative a conduit à l’introduction des Documents d’Informations Clés pour l’Investisseur (DICI) pour les fonds dans le cadre de la directive OPCVM IV. Toutefois, le législateur européen souhaitait étendre cette notion à d’autres types d’investissements afin d’aider les investisseurs à les comparer.

 

12.07.2016.PIC-NewsletterNov2016-Art2-PRIIPS

Il en a résulté le Document d’Informations Clés (DIC) créé au titre du règlement 1286/2014 du Parlement européen qui concerne les produits d’investissement packagés de détail et fondés sur l’assurance (« Packaged Retail and Insurance-Based Investment Products » ou « PRIIPs » en anglais). Bien que bénéficiant d’une présentation similaire aux DICI des OPCVM, les informations contenues dans les DIC relatifs aux PRIIPs sont totalement différentes en termes d’approche, ce qui a incité le secteur des fonds à obtenir une « période de grâce » au cours de laquelle les DICI (eux-mêmes récemment adoptés) peuvent être conservés avant d’être remplacés par les DIC.

 

Tout comme les autres acteurs du secteur de l’investissement, les assureurs étaient, à l’origine, aussi dans l’obligation de se conformer à ce règlement avant le 1er janvier 2017. Mais en réponse aux critiques exprimées par le secteur, le Parlement européen a exhorté la Commission à revoir les détails de la mise en œuvre du règlement, ce qui a engendré le report de son application au début de l’année 2018.

Deux modèles de PRIIPs existent : l’investissement unique et les investissements multiples (parfois désignés « MOP » pour « Multiple Investment Option »). L’approche adoptée en matière de MOP s’appliquera à des produits tels que ceux proposés par OneLife qui peuvent inclure une association de fonds externes et internes (portefeuille collectif, dédié et type).

Cela implique deux niveaux de DIC : un pour le contrat et un pour chacune des options d’investissement. Les PRIIPs imposent une transparence totale, les gestionnaires doivent donc fournir des modèles d’investissement standardisés qui utilisent ou font référence à un benchmark. Cette approche sera adoptée par tous les assureurs au Luxembourg.

 

En outre, les gestionnaires devront fournir des informations permettant de calculer les scénarios de rendement. Ceux qui collaborent avec OneLife connaissent déjà l’approche DICI puisque nous l’avons mise en place il y a maintenant plus de trois ans, confirmant ainsi la sagesse de notre choix de stratégie à l’époque.

 

Nous nous sommes également associés à Lombard International Assurance et ABN AMRO Life afin de partager les ressources et ainsi éviter que les gestionnaires et les banques dépositaires ne fournissent les mêmes informations plusieurs fois. Les trois sociétés s’appuieront donc sur l’expertise de KNEIP Communication afin d’élaborer ces DIC.

 

Nous prendrons bientôt contact avec nos gestionnaires et nos banques dépositaires afin de bien nous assurer qu’ils ont compris les obligations imposées par ce nouveau règlement européen et ce que les compagnies d’assurances attendent d’eux. OneLife aidera ses partenaires à relever ce défi qui constitue une petite révolution dans la manière dont les produits financiers sont proposés aux particuliers.

 

 

>>> Pour en savoir plus sur PRIIPs, contactez nos spécialistes juridiques et fiscaux à l’adresse suivante : 

>>> Cet article est extrait de l’édition de novembre 2016 de notre newsletter mensuelle Life Insights. Pour souscrire, cliquez ici.

La stratégie ambitieuse de OneLife : « Faire du Digital un Accélérateur »

Inspirée par la volonté d’élargir son empreinte sur le marché européen, la nécessité de s’adapter aux exigences des nouvelles générations et l’ambition de dépasser les idées reçues en matière d’assurance-vie, OneLife a fait le choix stratégique de déployer la solution eProseed FSIP, une plateforme d’intégration, d’automatisation et de supervision qui permet aux organisations d’adapter leurs modèles et leurs opérations aux exigences des nouveaux écosystèmes digitaux.

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Eric Lippert est le CIO de OneLife, acteur européen en assurance-vie à des fins de gestion patrimoniale. Spécialiste de la transformation des systèmes d’information, il partage avec nous, et en compagnie de Laurent Pulinckx, COO d’eProseed, les raisons qui ont guidé son choix et les bénéfices qui en résultent.

« Sur base des nouvelles opportunités offertes par le digital et de notre volonté d’en faire un véritable accélérateur de croissance, nous avons entrepris, voici près de deux ans, une refonte complète de nos systèmes d’information dans le but de bénéficier d’une base idéalement profilée pour assurer une transition optimale vers le numérique », explique Eric Lippert. « Nous avons donc rationalisé les systèmes existants, déployé les nouveaux éléments d’infrastructure requis – serveurs, stockage, réseau, sécurité – et mis en place de nouveaux outils d’architecture logicielle. Ce sont ces nouvelles fondations qui nous permettent d’offrir aujourd’hui des solutions digitales innovantes tant à nos clients et à notre réseau de partenaires qu’à nos utilisateurs. Nous venons ainsi de lancer une nouvelle application mobile à destination de nos partenaires qui peuvent désormais prendre connaissance du statut de leurs transactions d’assurance, à tout moment et de partout. Dans notre industrie au Luxembourg, c’est une première », fait-t-il remarquer.

 

Rationaliser les systèmes d’information

« Lorsque j’ai pris mes fonctions de CIO début 2015, les systèmes d’information de OneLife reposaient sur une machinerie lourde, complexe et surannée. La raison en est que OneLife s’est constituée par l’acquisition de différentes sociétés, sans véritable rationalisation des systèmes d’information. A titre d’exemple, en plus d’une infrastructure obsolète, nous devions gérer huit systèmes d’impression, autant de systèmes de gestion des polices, trois systèmes comptables, quatre extranets, deux systèmes de data warehouse, … L’un de nos principaux objectifs était donc de mettre en place des processus communs à tous nos portefeuilles d’assurance », explique Eric Lippert. Pour y parvenir, OneLife a déployé, en collaboration avec eProseed, une architecture orientée services, de nouveaux outils de workflow et de case management, ainsi qu’une nouvelle solution de gestion documentaire. La plateforme FSIP a apporté à OneLife des solutions techniques et architecturales pour l’ensemble de ses besoins d’intégration et d’automatisation. « Tous nos processus de gestion des transactions d’assurance sont maintenant harmonisés et orchestrés par les outils de la solution eProseed FSIP », confirme Eric Lippert. « Quant au renouvellement de notre système de data warehouse, il est à l’agenda pour 2018. »

« Je suis convaincu que la rationalisation des systèmes d’information que permet eProseed FSIP constitue un atout de grande valeur pour réussir une transformation digitale fluide, efficace et économique. » – Eric Lippert

 

Une architecture logicielle fluide et cohérente

Vu l’envergure du plan de transformation de l’entreprise, le CIO de OneLife ne voulait pas s’engager dans la voie d’un mode de sélection de solutions qui l’aurait contraint à répéter le processus pour chacun des éléments à mettre en place et à se poser à chaque fois la question de leur interopérabilité : « notre stratégie a consisté à choisir une plateforme unique à même de rencontrer l’ensemble de nos besoins actuels et à venir. Cette stratégie du one-stop-shop offre l’avantage d’une architecture logicielle fluide, cohérente et harmonieuse qui permet de concentrer les efforts sur les solutions métier plutôt que sur des questions technologiques. Même s’il nous a fallu convaincre certaines parties prenantes de la pertinence de la démarche, cette stratégie s’est avérée être le bon choix comme l’a démontré la suite des événements. » Et c’est eProseed FSIP qui a répondu le mieux aux critères de sélection ainsi définis. « Je n’ai pas retrouvé chez les autres fournisseurs consultés un niveau d’intégration et une consistance de l’ensemble des éléments d’architecture comparables à ce qu’offrait eProseed FSIP », souligne Eric Lippert.

 

Faire de l’IT un outil de création de valeur

« Les chantiers de transformation des systèmes d’information que nous menons visent à atteindre trois objectifs, communs à beaucoup de nos clients », explique Laurent Pulinckx. « Notre première préoccupation est d’automatiser les tâches récurrentes, ce qui permet de réaffecter des ressources et des compétences à des missions à plus haute valeur ajoutée, d’augmenter l’efficience et d’améliorer la qualité de service, replaçant ainsi le client au centre de toutes les attentions. Vient ensuite l’intégration avancée et en temps réel de sources de données d’une grande diversité de formats et de modèles d’interfaçage. Enfin, l’adoption d’une plate-forme orientée vers le futur telle que FSIP permet d’intégrer les systèmes hérités au fil de l’évolution des activités au sein d’une solution unique basée sur les standards du marché ».

« Cette approche fait écho à notre volonté de faire de l’IT un outil de création de valeur pour l’entreprise », intervient le CIO de OneLife. « Tout au long de l’exécution de notre plan de transformation, nous avons toujours gardé à l’esprit que, s’il nous fallait bien entendu rationaliser les coûts, nous devions aussi être novateurs, quitte à être parfois les premiers dans notre secteur à déployer certaines solutions. »

 

Quand les utilisateurs se font les avocats du changement

Si une telle transformation des processus clés de OneLife a pu aboutir, c’est parce qu’une étroite collaboration s’est établie entre les équipes informatiques de l’entreprise et les experts d’eProseed, mais aussi entre ces deux parties prenantes et les utilisateurs. « Le dialogue entre les trois parties a vraiment joué un rôle clé dans l’aboutissement du projet », témoigne Laurent Pulinckx. « Les utilisateurs n’ont pas été sollicités en bout de chaîne, au moment d’effectuer les tests, comme c’est trop souvent le cas. OneLife a su mobiliser sous un leadership unique, celui de son CIO, les différents interlocuteurs opérationnels et techniques. Je retiens également le rôle d’agent du changement qu’ont joué les gens des métiers qui ont participé au projet : ils se sont révélés les meilleurs avocats de la nouvelle solution vis-à-vis de leurs collègues. »

« De tous les projets de mise à disposition de solutions métiers auxquels j’ai participé, c’est au cours de celui-ci que les utilisateurs se sont montrés les plus enthousiastes et les plus motivés, à la fois pour obtenir une réponse pragmatique à leurs besoins et pour organiser le changement sur le terrain », ajoute Eric Lippert.

 

« OneLife a su mobiliser sous un leadership unique, celui de son CIO, les différents interlocuteurs opérationnels et techniques. » – Laurent Pulinckx

 

Une plateforme prête à aborder les prochains défis de l’économie numérique

Entre le début du projet de refonte des processus de OneLife et la livraison aux utilisateurs de la nouvelle plateforme, moins de huit mois se sont écoulés. Entretemps, plus de trois millions de pièces ont été migrées vers un nouveau système de gestion documentaire. Aujourd’hui, eProseed FSIP permet à OneLife d’optimiser ses services en continu, contribue à diminuer ses coûts et lui permet de gérer plus efficacement ses portefeuilles et ses clients, tout en offrant de nouvelles capacités de supervision et de suivi à l’IT comme aux métiers.   

« Les capacités d’automatisation et d’intégration de FSIP et l’expertise technique d’eProseed nous ont aidé à mener à bien une transformation numérique qui nous permet d’offrir aujourd’hui à nos utilisateurs une nouvelle expérience, un service entièrement dématérialisé, plus efficace, et plus rapide. La solution d’eProseed améliore non seulement notre efficacité globale mais elle nous apporte en outre un véritable suivi en temps réel des portefeuilles de transactions de nos clients et partenaires », résume Eric Lippert.

 

Portugal : un pays favorable aux preneurs de contrats d’assurance-vie

L’attrait du Portugal en matière de tourisme n’est plus à démontrer : magnifiques paysages, héritage culturel et gastronomie ont fait de ce pays une destination privilégiée pour les vacanciers depuis de nombreuses années.

Frappé de plein fouet par la crise de la dette souveraine en Europe, le Portugal a dû faire face à une crise économique profonde en 2011 et mettre en place plusieurs plans d’austérité pour que le pays retrouve sa stabilité financière. Les résidents ont dû faire face à un taux de chômage élevé, une baisse significative de leurs revenus et une hausse des coûts des soins de santé.

Face à ces problèmes, le Portugal a réussi à stabiliser ses finances et la croissance est revenue même s’il est encore trop tôt pour évoquer une véritable relance de l’économie portugaise.

 

Destination de vacances, avec option de résidence pour 10 ans

Le gouvernement portugais a encouragé la croissance de son industrie touristique, qui occupe désormais un rôle prépondérant dans le secteur tertiaire, lequel emploie près de 65% de la population active. Il a également pris des mesures fiscales pour attirer de nouveaux résidents, notamment des retraités, en leur offrant des exonérations d’impôts sur leur retraite et leurs investissements à l’étranger.

Cette fiscalité attrayante associée au prix de l’immobilier et au coût de la vie abordable a séduit de nombreux retraités en Europe qui sont venus s’installer au Portugal en bénéficiant du statut de non-résident habituel, qui leur est octroyé pour une durée de dix ans.

Pour « booster » les investissements dans le pays, le gouvernement a également mis en place une politique d’attribution de permis de séjour, appelés communément « golden visas », à tout citoyen non européen prêt à investir dans l’immobilier, à créer de l’emploi ou à transférer une partie de sa fortune mobilière au Portugal.

 

Place de choix pour l’assurance-vie

Parmi tous les outils de gestion de patrimoine à la disposition des investisseurs, l’assurance-vie offre de nombreux avantages, notamment une fiscalité attrayante grâce à une exonération des plus-values réalisées sur les sous-jacents du contrat. Le preneur du contrat peut ainsi procéder à une gestion des fonds sous-jacents sans se soucier de l’impact fiscal sur les arbitrages réalisés. La taxation n’intervient qu’en cas de rachat.

En effet, les rachats sont soumis au principe du « First In First Out » qui prévoit, dans un premier temps, le rachat du capital puis la prise en compte des éventuelles plus-values qui seront imposées sur base d’un taux forfaitaire ou d’un barème progressif selon le choix du contribuable.

L’atout supplémentaire du contrat d’assurance-vie en matière de taxation des revenus réalisés réside dans la réduction fiscale sur la base de l’ancienneté du contrat. Cette possibilité de réduction fiscale peut atteindre 60 % pour les contrats à terme d’une durée supérieure à 8 ans.

Ces avantages NE SONT PAS offerts par un portefeuille-titres traditionnel, pas même aux résidents non habituels qui ne pourront tout au plus bénéficier que d’une exonération sur les intérêts et dividendes si la convention préventive à la double imposition entre le Portugal et le pays de localisation des avoirs bancaires, par exemple le Luxembourg, le permet.

En ce qui concerne les droits de succession, les prestations issues du contrats d’assurance dénoué au terme ou par décès ne font l’objet d’aucune imposition. Elles sont également exonérées du droit de timbre qui frappe les successions et legs attribués aux héritiers autres que l’épouse, les descendants et ascendants du défunt.

 

La stratégie de OneLife avec son nouveau produit Wealth Portugal

OneLife a bien compris l’importance et le potentiel du marché portugais et a intégré ce marché dans sa stratégie de développement en Europe. Le Portugal se trouve de surcroît en première ligne sur la liste des destinations prisées par de nombreux ressortissants étrangers, notamment les citoyens brésiliens mais pas seulement.

En termes de diversification financière, le nouveau produit Wealth Portugal permet au preneur d’assurance d’investir dans des fonds externes distribués par des maisons de fonds à renommée internationale ainsi que dans des fonds internes. Ces fonds internes peuvent être des fonds collectifs disponibles pour tous les clients de OneLife ou des fonds créés sur mesure sur la base du profil d’investisseur du preneur d’assurance.

Les fonds collectifs externes et internes à valorisation quotidienne peuvent également être assortis d’options d’investissement automatiques telles que le « Stop-Loss », le « Save Gains » ou le « Drip-Feeding », offrant ainsi au preneur la possibilité de réagir adéquatement à l’évolution des marchés. Ces options d’investissement peuvent être activées ou désactivées à tout moment pendant la durée du contrat.

En fonction de sa stratégie d’investissement, le preneur pourra opter pour un fonds dédié avec une gestion discrétionnaire confiée au gestionnaire de son choix ou, s’il souhaite sélectionner lui-même les investissements avec l’objectif de conserver des actifs sur le long terme, il peut également choisir d’investir dans un fonds d’assurance spécialisé.

La flexibilité du produit Wealth Portugal permet par ailleurs d’intégrer tous les types de fonds mentionnés ci-dessus simultanément et même d’en détenir plusieurs d’une même catégorie, pour autant évidemment que les limites d’investissement imposées par le Commissariat aux Assurances du Luxembourg soient respectées.

Le preneur d’un contrat Wealth Portugal peut aussi sélectionner une couverture décès supplémentaire. Si les assurés sont au nombre de deux ou plus, le choix du premier ou du dernier décès est également possible. De plus, le produit permet au preneur de désigner les bénéficiaires de son choix et présente l’avantage de proposer un mécanisme de planification successorale. Les droits contractuels peuvent être transférés à un ou plusieurs preneurs encore en vie ou à toute autre tierce partie désignée par le ou les preneurs en cas de décès avant l’assuré.

 

LinkedIn_logo_Small Valérie Vaes, Senior Wealth Planner

LinkedIn_logo_Small Andre Piovezan, Regional Sales Director

 

>>> Pour en savoir plus sur notre nouveau produit Wealth Portugal, contactez notre spécialiste Andre Piovezan à l’adresse suivante : andre.piovezan@onelife.com

>>> Cet article est extrait de l’édition de novembre 2016 de notre newsletter mensuelle Life Insights. Pour souscrire, cliquez ici.

 

FIAR / FAS : le meilleur des deux mondes

Le 14 juillet 2016, le Parlement luxembourgeois a voté l’adoption d’une loi introduisant un nouveau type de véhicule d’investissement: le « fonds d’investissement alternatif réservé » (FIAR). Le FIAR est réglementé par la directive 2011/61/EU du 8 juin 2011 sur les gestionnaires de fonds d’investissement alternatifs et n’est pas supervisé par le Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF). Afin d’assurer une protection et une réglementation suffisantes, le FIAR est géré par un gestionnaire externe agréé.

Traditionnellement, l’approche luxembourgeoise est basée sur la réglementation des produits, dans ce cas-ci, la supervision des fonds. Au fil du temps, toute une gamme de fonds d’investissement réglementés a été développée, notamment

  • les OPCVM, qui sont soumis à la partie I de la loi du 17 décembre 2010 concernant les organismes de placement collectif ;
  • les OPC de la Partie II, qui sont soumis à la partie II de la loi de 2010, c’est-à-dire les fonds grand public non-OPCVM ;
  • les FIS, qui sont soumis à la loi du 13 février 2007 relative aux fonds d’investissement spécialisés, telle que modifiée ; et qui sont réservés aux investisseurs avertis ; et
  • les SICAR (sociétés d’investissement en capital à risque), qui sont soumis à la loi du 15 juin 2004 relative à la SICAR, telle que modifiée, portant sur les investissements en capital à risque.

 

11.24.2016-PIC_NewletterOct2016_RAIF&SAF

Les gestionnaires de patrimoine ont désormais le choix, en fonction des préférences et du profil de l’investisseur, de créer leurs fonds d’investissement alternatifs en tant qu’OPC de la Partie II, FIS ou SICAR, s’ils préfèrent une supervision directe du fonds par le CSSF, ou en tant que FIAR, un véhicule attractif du point de vue du délai de commercialisation.

Le régulateur luxembourgeois du secteur des assurances (Commissariat aux Assurances – CAA) autorise une large gamme d’investissements au sein de « Fonds interne dédié » et/ou de « Fonds d’assurance spécialisé » (« FAS »). Chez OneLife, ces investissements peuvent notamment inclure des actifs non cotés, généralement en fonction de la stratégie d’investissement de la police d’assurance.

Alors que les Fonds internes dédiés offrent une gestion discrétionnaire et mandatée, le FAS, qui est une solution récente introduite par le CAA (Circ. 15/3), permet au titulaire de la police de sélectionner indépendamment l’/les actif(s) sous-jacent(s) de son contrat, à partir d’une liste de classes d’actifs prédéfinies par l’assureur. Il est important de noter que le FAS est dédié à une stratégie d’investissement « Buy and Hold ».

Cette solution à bas coût qui n’implique pas de gestionnaire d’investissement peut être utilisée pour les investisseurs en Private Equity ou d’autres actifs d’investissement à long terme tels que l’immobilier ou la titrisation.

Bien que le FIAR soit uniquement disponible pour des investisseurs avertis, le FAS est orienté pour les investisseurs de catégorie D (catégorie C dans des cas spécifiques) tels que définis par le CAA. Les actifs sous-jacents admissibles d’une police d’assurance luxembourgeoise sont déterminés conformément à la classification réglementaire du titulaire de la police. La classification est en principe liée au montant de la prime initiale payé par le titulaire de la police, au montant de son patrimoine total et à son profil d’investissement qui dépend du profil de risque.

En combinant le FIAR nouvellement créé et la récente solution FAS innovante, il est possible d’améliorer nettement l’efficacité du projet d’investissement pour les investisseurs en immobilier, en Private Equity et en titrisation, grâce à une solution à bas coût pour le titulaire de la police, en raison de l’absence d’un gestionnaire d’investissement et d’autres formes d’intermédiation.

Au final, le but est de créer une option d’investissement sur mesure, conçue pour répondre aux objectifs et besoins particuliers du titulaire de la police.

 

Mise à jour : Depuis leur lancement en Juillet 2016, le secteur de la gestion de fonds alternatifs porte un véritable intérêt à ces “ fonds d’investissement alternatif réservé » (FIAR). Fin février 2017, nous avons pu compter jusqu’à 53 FIAR répartis sur le marché européen.

 

Anthony Lorrain

Director – Unquoted & Traditional Assets

LinkedIn_logo_Small https://lu.linkedin.com/in/anthony-lorrain

 

>>> Pour de plus amples informations sur le FIAR ou les autres actifs sous-jacents disponibles au sein de nos contrats d’assurance, contactez nos spécialistes en investissement à : Users_IFS@onelife.com

>>> Cet article est extrait de l’édition de septembre 2016 de notre newsletter mensuelle Life Insights. pour vous abonner, cliquez ci-dessous !

 

 

Les multiples avantages d’un contrat d’assurance-vie

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Un plan de transfert de patrimoine. Quatre avantages majeurs. Vous l’avez deviné, il s’agit bien d’un contrat d’assurance-vie OneLife.

Non seulement un contrat d’assurance-vie peut répondre à des exigences transfrontalières en cas de déménagement dans un autre pays en vous offrant la possibilité de bénéficier de régimes fiscaux favorables, mais il vous offre également une passerelle vers tout un éventail d’investissements potentiels.

Cela ne s’arrête toutefois pas là. Souscrire un contrat d’assurance-vie auprès de OneLife signifie que vous êtes protégé par le Triangle de la Sécurité. En Résumé, cela veut dire qu’en cas de défaillance, vous disposez de droits privilégiés sur tous les autres créanciers à l’égard de l’ensemble des actifs investis dans différents comptes séparés.

 

Cela nous semble particulièrement pertinent, mais pourquoi ne pas vous en rendre compte par vous-même ?

 

>>> Cliquez ici pour en savoir plus sur tout ce que le contrat d’assurance-vie OneLife a fait pour tant de familles comme la vôtre…

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