#Réussir son #Expatriation: motivation pour l’expatriation des HNW

Les Européens fortunés sont de plus en plus mobiles à l’international et plus d’un quart d’entre eux planifient déjà leur prochain déménagement. Malgré la généralisation des envies d’expatriation, les motivations spécifiques à chaque décision de déménagement à l’étranger sont diverses et variées.

Pour 37 % des expatriés HNW, l’évolution de carrière est le facteur déterminant, suivi de près par des considérations liées au mode de vie. Pour 42 % des femmes, l’épanouissement professionnel est important, tout comme la volonté d’offrir de meilleures opportunités à leurs enfants. À l’opposé, la principale motivation des hommes est une retraite plus confortable.

 

Les expatriés HNW n’envisagent pas leur expatriation seulement sur la base de considérations financières, les opportunités professionnelles et l’amélioration du mode de vie sont également à l’origine d’une telle décision. Il est donc primordial que les gestionnaires de patrimoine comprennent les expatriés HNW afin de leur proposer des services adaptés à leurs envies de départ à l’étranger.

 

Dans notre dernière étude, vous découvrirez les raisons qui poussent les Européens fortunés à déménager à l’étranger : ici.

 

 

#Réussir son #Expatriation : L’agenda de l’international

L’expatriation, que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles, peut être une période particulièrement stressante pour les particuliers fortunés (HNW). Notre dernière étude analyse leurs objectifs, leurs comportements et leurs attentes alors qu’un départ à l’étranger se profile à l’horizon. Leurs préoccupations et leurs sources de motivation sont diverses et variées et, pour la plupart, elles ne se bornent pas aux seules questions financières.

En cette période de grands changements, pour garantir l’efficacité des solutions de gestion du patrimoine, les prestataires de services financiers doivent adopter une approche globale impliquant la prise en compte de multiples facteurs financiers pour répondre à l’évolution des besoins des HNW. Face à ces attentes, les conseillers doivent éviter toute opinion préconçue en matière de conseils transfrontaliers.

Pour comprendre les complexités financières d’une expatriation, nous avons demandé à des Européens fortunés de nous parler de leur expérience en matière d’expatriation. Pour bon nombre d’entre eux, nouveau pays est synonyme de nouvelles opportunités. Plus de la moitié d’entre eux expliquent ainsi que l’ouverture d’un nouveau compte en banque était arrivée en tête de la liste de leurs priorités juste devant les questions d’ordre fiscal.

 

 

Vous souhaitez en savoir plus ? Préparez-vous à la publication de notre nouvelle étude sur les expatriés fortunés!

 

KYC Tech et OneLife : une collaboration fructueuse

Milenko Keserovic (Responsable conformité chez OneLife) et Luc Maquil (Cofondateur de KYC Tech) ont vécu les premières étapes de la collaboration entre leurs deux entreprises lors du RegTech Summit qui a eu lieu dans le quartier de Kirchberg à Luxembourg le 12 octobre. « Un clic, un rapport KYC » est la meilleure manière de décrire leur projet commun de Conformité (ou Reg) et de Technologie (ou Tech).

 

« La Technologie améliore l’efficacité en matière de conformité. Elle simplifie les tâches administratives et permet aux salariés de travailler sur des projets collectifs à forte valeur ajoutée, a expliqué Luc Maquil, cofondateur, avec Thierry André, de KYC Tech, dont l’objectif est d’aider les entreprises à répondre aux défis de plus en plus nombreux que posent les contraintes réglementaires. Nous avons adopté une approche symbiotique dans la mesure où nous essayons d’appliquer notre solution RegTech d’une manière efficace dans le monde de l’entreprise, a expliqué M. Maquil. » Cette solution possède de nombreuses composantes : en premier lieu des données brutes (listes de PPE, de terroristes, de sanctions…) qui peuvent être extraites d’internet, des réseaux sociaux, etc. Le flux de travail est également une étape primordiale : qui entreprend l’action ? Que faut-il faire ? L’échange et la collaboration sont ici la clé. Ensuite vient l’architecture, à savoir l’identification, la sélection, la connexion et la conformité.

 

« Gagner du temps et se concentrer sur la valeur ajoutée »

Milenko Keserovic a ensuite pris la parole pour présenter la collaboration entre OneLife et KYC Tech. « Lorsqu’un nouveau client nous rejoint, nous sommes confrontés à un certain nombre de contraintes réglementaires. Il faut d’abord contrôler son nom, au sens large, car ce client peut tout aussi bien être une personne morale, pas forcément le preneur du contrat, a commencé par expliquer le Responsable conformité. Ces tâches sont à l’heure actuelle réalisées manuellement. KYC Tech dispose d’une solution entièrement automatisée : lorsque nous enregistrons un client dans la base de données, le système envoie directement une requête à la plate-forme et les résultats reviennent en quelques secondes, continue-t-il. » L’équipe responsable de la conformité peut alors facilement décider si elle accepte ou non ce nouveau client. « Les résultats sont positifs. Les clients sont classés dans la bonne catégorie et l’outil est facile à utiliser. Les avantages sont nombreux puisque l’absence d’intervention humaine diminue le risque d’erreur, a expliqué Milenko. »

KYC Tech a également fourni à OneLife une solution de vigilance renforcée (EDD/Enhanced Due Diligence). De nouveau, le travail était réalisé manuellement et les experts passaient beaucoup de temps à collecter des informations et des documents. « La start-up RegTech est capable de nous fournir un rapport EDD que nous avons testé : nous envoyons la demande et recevons un rapport détaillé sous 48 heures. Il ne nous reste plus qu’à analyser le fichier, a ajouté le Responsable conformité qui a expliqué que ce rapport était précis, utile et riche en informations. » L’outil est automatisé, simple, immédiat et rentable. De plus, les deux experts développent actuellement des solutions permettant de simplifier les tâches des équipes de conformité relatives aux polices dormantes.

Milenko Keserovic a fini en expliquant que d’un côté, ce projet avait été géré avec souplesse grâce aux échanges entre les équipes de KYC Tech et celles de OneLife et que de l’autre côté, la start-up RegTech avait fait tout son possible pour comprendre la méthode de travail des salariés de OneLife, leurs activités et les procédures utilisées. Milenko Keserovic et Luc Maquil ne pouvaient qu’être d’accord sur ce formidable projet : « nous avons tous les deux réalisé que les technologies peuvent être très utiles car elles peuvent permettre aux salariés de gagner un temps précieux qu’ils peuvent ensuite consacrer à d’autres tâches nécessitant l’intervention du jugement d’un être humain. »

 

 

#Réussir son #Expatriation : Expatriation des HNW – Ce que vous devez savoir

L’expatriation est une expérience enrichissante, quoique parfois trépidante (!), qui bouleverse la vie des particuliers fortunés (HNW) qui décident de se lancer dans une telle aventure. Près d’un quart des HNW a déjà sauté le pas et 13 % ont prévu de faire de même.

Alors que de plus en plus de HNW font le choix de partir vivre à l’étranger, leurs besoins financiers et les attentes placées dans leurs prestataires de services financiers connaissent une véritable mutation. La capacité des prestataires de services de gestion du patrimoine à leur proposer des produits et des solutions dynamiques qui répondent à l’évolution des besoins de ces expatriés fortunés revêt donc une importance de plus en plus grande.

 

Notre prochaine étude consacrée à l’expatriation analyse tout un éventail de faits, de sources de motivation et de préoccupations des HNW ainsi que les décisions financières qu’ils doivent prendre du fait de ce départ à l’étranger.

 

Vous souhaitez en savoir plus ? Préparez-vous à la publication de notre nouvelle étude sur les expatriés fortunés!

 

 

OneLife a analysé les deux rapports publiés par l’autorité des services et marchés financiers.

La FSMA a publié deux rapports le 21 août 2017 portant sur le contrôle du respect de l’application des règles de conduite relatives au devoir de diligence auprès des Compagnies d’assurance (A) et des Courtiers (B). Ces rapports ont pour objectif de servir de « guidelines » pour l’ensemble des professionnels du secteur.

La FSMA a publié deux rapports le 21 août 2017 portant sur le contrôle du respect de l’application des règles de conduite relatives au devoir de diligence auprès des Compagnies d’assurance (A) et des Courtiers (B). Ces rapports ont pour objectif de servir de « guidelines » pour l’ensemble des professionnels du secteur.

La FSMA a établi ces rapports en prenant des échantillons suffisamment larges, afin d’obtenir une vision des tendances du marché.

– Quel est le bilan global ? 

– Que faut-il retenir de ces rapports ?

– Quelles sont les recommandations de la FSMA ?

Globalement les Compagnies d’assurances et les Courtiers ont de bonnes pratiques mais présentent des faiblesses quant au respect du devoir de diligence.

 

A) Les Compagnies d’assurance
1. Le modèle de distribution

Celui-ci n’est pas toujours en cohérence avec le réseau de distribution ( par exemple : Réseau de courtiers mais la Compagnie d’assurance propose des souscriptions de contrats aux clients par courrier).

2. La collecte d’informations

– Pas toujours correctement effectuée

– Pas toujours cohérente

 – Pas suffisamment évaluée

3. Le test du caractère adéquat

– Pas toujours correctement réalisé ;- Pas toujours correctement réalisé ;

– La FSMA revient sur la responsabilité des acteurs de la distribution quant à l’appréciation de l’adéquation d’une transaction avec le profil du client.

4. Monitoring et contrôles

Bien que ces contrôles et monitoring ne soient encore pleinement effectifs du fait du manque de maturité de l’application d’AssurMiFID, la FSMA insiste sur l’importance de leur mise en place.

5. Information fournie aux clients

Celle-ci n’est pas toujours claire, correcte et transparente pour le Client. Par ailleurs la FSMA attire l’attention des Compagnies d’Assurance sur les disclaimers qui peuvent être en contradiction avec le devoir de diligence.

6. Training of advisers

The FSMA is calling on insurance companies to strengthen training for better compliance with the duty of diligence..

 

7. Incentives

La FSMA rappelle que ces incentives ont pour objectif d’améliorer la qualité de services fournis aux clients et qu’il est de la responsabilité des Compagnies de le vérifier et démontrer.

 

8. Procédures internes des Compagnies

La FSMA a revu les procédures de sélection, approbation et de commercialisation des assurances d’épargne ou d’investissement qui permettent d’assurer le respect du devoir de diligence.

La FSMA conseille aux Compagnies d’assurance d’identifier un « gatekeeper »: une personne qui serait responsable de vérifier que les intérêts des clients sont pris en compte tout au long de ces procédures internes mais aussi au moment du lancement des produits.

 

 

B) Les Courtiers
1. Respect des conditions d’inscription et de conservation au registre

  – La FSMA a constaté que les dossiers n’étaient pas toujours actualisés (changement d’adresse, nombre de PCP (Personne en Contact avec le Public) , modification de l’actionnariat…), or il est obligatoire de tenir à jour ces dossiers administratifs.

– La FSMA a également constaté que le statut des PCP n’était pas clairement établi, ce qui a causé des manquements, notamment, l’obligation d’inscription en tant qu’intermédiaire en assurance pour les indépendants collaborant avec les courtiers.- Enfin, pour faciliter ces déclarations la FSMA a mis en place une plate-forme « Cabrio » qui permettra aux Courtiers d’apporter et de déclarer toutes ses informations plus facilement auprès de l’autorité.

2. Le devoir de diligence

– La FSMA revient sur l’utilisation du questionnaire mis en place par le secteur permettant de déterminer des profils dit « standardisés » qui ne permet pas in fine de prendre en compte les informations individuelles du client.

– C’est pourquoi la FSMA appelle les Courtiers à s’assurer que ces profils « standardisés » correspondent bien au profil du Client

3. La collecte d’informations

– Celle-ci n’est pas toujours correctement effectuée tant en ce qui concerne l’expérience et connaissance du client qu’en ce qui concerne leurs objectifs et leur situation financière ;

– Celle-ci n’est pas toujours correctement effectuée tant en ce qui concerne l’expérience et connaissance du client qu’en ce qui concerne leurs objectifs et leur situation financière ;- Pas toujours cohérente, Pas suffisamment documentée.

4. Le test du caractère adéquat

– Le principe n’est pas clair pour certains courtiers qui n’arrivent pas à démontrer de quelle manière le test a été réalisé, ce qui accroît le risque de « misselling », en effet il y aurait une confusion entre collecte d’informations et la réalisation du test d’adéquation.

5. Information fournie aux clients

– Pas toujours claire, correcte et transparente (notamment le cumul intersectoriel des statuts : confusion entre les courtiers en services bancaires et d’investissement ou assurances) ce qui contrevient à l’objectif de la régulation, à savoir la protection des consommateurs.

– Pas toujours claire, correcte et transparente (notamment le cumul intersectoriel des statuts : confusion entre les courtiers en services bancaires et d’investissement ou assurances) ce qui contrevient à l’objectif de la régulation, à savoir la protection des consommateurs.

6. Incentives

– La FSMA rappelle que ces incentives ont pour objectif d’améliorer la qualité de services fournis aux clients, et rappelle le risque de conflits d’intérêts notamment dans le cadre d’une politique de seuils minimum à atteindre pour percevoir des commissions.

– Par ailleurs, le Client doit être informé au préalable sur toutes les rémunérations et les incentives existants.

7. Formation des conseillers

– Manque de connaissance professionnelle, notamment de la part des RD et PCP en matière de Lutte Anti-Blanchiment (LAB). Certains ne possèdent pas de procédures ou peinent à les appliquer concrètement, la FSMA a insisté sur la nécessité de se mettre en conformité sur ce point. 

– Manque de connaissance professionnelle, notamment de la part des RD et PCP en matière de Lutte Anti-Blanchiment (LAB). Certains ne possèdent pas de procédures ou peinent à les appliquer concrètement, la FSMA a insisté sur la nécessité de se mettre en conformité sur ce point. 

A cet effet, La FSMA a mis en place une communication sur le sujet qui comprend une synthèse et l’actualisation de la Circulaire portant sur les obligations Anti-Blanchiment. Elle a également publié avec la Cellule de Traitement des Informations Financières une édition spéciale (Newsletter) qui reprend les bonnes et mauvaises pratiques pour les intermédiaires.

– Un retard quant aux obligations de recyclage des connaissances.

 

Conclusions de la FSMA :Conclusions de la FSMA :

– « D’une manière générale, cette première vague d’inspections « AssurMifid » constitue une étape importante dans l’application sur le terrain des règles de conduite qui visent à renforcer la confiance des consommateurs financiers vis-à-vis des intermédiaires d’assurances. » 

– L’approche pédagogique qui a été suivie a déjà permis de faire des constatations dont la publication fournit des informations pratiques et utiles pour tous les intermédiaires sur les attentes de la FSMA en ce qui concerne l’application concrète sur le terrain des règles de conduite. »

 

 Pour en savoir plus, contactez Nora Belarbi

 

Pour connaître l’actualité et les dernières nouveautés de OneLife, vous pouvez consulter notre site : www.onelife.com et nous suivre sur LinkedIn et Twitter.

 

It’s Life, but not as you know it…

OneLife, spécialiste des solutions d’assurance-vie internationales et du digital, a tenu son tout premier séminaire sur l’assurance-vie en Finlande le 13 septembre 2017. Ce séminaire a réuni plus de 50 professionnels et décideurs issus de sociétés de gestion de patrimoine, de banques privées, de cabinets d’avocats de premier plan et de conseillers en gestion de patrimoine indépendants.

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Son objectif était de présenter et de faire découvrir OneLife, l’un des principaux assureurs du Luxembourg et de mettre en avant la valeur ajoutée que nous proposons à nos partenaires finlandais et à leurs clients.

Les prédécesseurs de OneLife ont proposé des solutions d’assurance de premier plan pendant plus de 25 ans depuis le Luxembourg mais ces solutions restent relativement peu connues en Finlande. Chez OneLife, nous pensons que nous avons notre place qu’en tant qu’assureur international qui fait les choses différemment. . En plus de proposer des solutions modernes et flexibles, il est essentiel de bien choisir son équipe pour répondre aux besoins de nos partenaires et de rendre les tâches administratives aussi simples que possible. Au Luxembourg, OneLife jouit d’une réputation de pionnier du digital et nous sommes déjà en mesure de proposer à nos partenaires des outils qui offrent une réelle valeur ajoutée, pour eux et pour leurs clients. Consultez notre site internet dans les mois à venir pour connaître les évolutions technologiques dans le domaine digital !

Des intervenants internes et externes se sont exprimés lors de ce séminaire. Wim Dieryck, Chief Commercial Officer de OneLife, a présenté la société en quelques mots et a fait une démonstration de OneApp, l’application de OneLife. Tarja Valkeinen, Regional Sales Director pour la Finlande, a présenté la formidable équipe finlandaise ainsi que nos produits et services. Toni Kemi, Partnerau sein de Premium Group, a présenté les avantages offerts par le recours à un agent d’assurances et la gamme de services de son groupe, que ce soit à destination des particuliers ou de leurs conseillers.

 

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Toutefois, le thème principal de ce séminaire était les principales évolutions et tendances des marchés financiers en Finlande. Les participants à ce séminaire ont particulièrement apprécié les précieuses analyses des intervenants de l’Aalto University School of Business. Tomi Viitala, professeur adjoint et membre du groupe de travail sur la fiscalité du ministère des Finances, a évoqué les possibles évolutions en matière d’imposition des investissements, notamment l’assurance-vie et les fonds de placement. Le professeur Vesa Puttonen a, d’un autre côté, insisté sur les futurs besoins et le rôle des conseillers financiers avant d’arriver à la conclusion que si le marché devient de plus en plus complexe, la valeur ajoutée apportée par des conseils financiers judicieux ne diminue pas mais, au contraire, augmente. Selon lui, le recours à des conseillers financiers ne va cesser de croître.

 

Du fait du succès rencontré par ce séminaire, attendez-vous à entendre parler de OneLife en Finlande !

Pour en savoir plus sur nos solutions dédiées aux clients finlandais, contactez sur LinkedIn:   Tarja Valkeinen.

 

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Pourquoi Monsieur le Ministre Nicolas Schmit est-il venu conclure les Digital Days de OneLife ?

OneLife-Digital-Nicolas-Schmit-Minister

 

Jeudi 15 Juin, à 18h, OneLife a eu l’honneur d’accueillir M. Nicolas Schmit qui a prononcé un discours pour conclure les OneLife’s Digital Days.

Monsieur le Ministre a souligné par sa présence et par ses mots l’importance d’une initiative telle que celle initiée par OneLife dans le projet plus global que vient de lancer le Gouvernement du Grand-Duché de Luxembourg. L’objectif de ce projet est en effet de combler l’écart qui existe entre la transformation digitale du pays, tout particulièrement dans le secteur financier, et les compétences actuellement disponibles.

 

 « Les compétences sont un investissement. On a tendance à croire qu’il s’agit seulement d’ordinateurs et de matériel informatique, mais même les meilleures machines ne peuvent fonctionner sans personne derrière. » Nicolas Schmit, Ministre du Travail, de l’Emploi, et de l’Economie sociale et solidaire

 

Les Digital Days viennent en effet marquer le lancement d’un programme de formation générale destiné aux membres de l’entreprise, dont une plateforme de formation interne permettant d’acquérir, seul ou en équipe, de nouvelles connaissances nécessaires à cette transformation digitale.

 

OneLife tient donc à exprimer sa reconnaissance à Monsieur Nicolas Schmit pour sa venue et ses encouragements, et espère soutenir dans un avenir proche les initiatives de coopération que proposera le gouvernement entre privé et public, pour une transition digitale efficace et durable. « Ensemble, nous pourrons atteindre notre but ! »

 

OneLife vous propose de découvrir très bientôt un reportage détaillé de ces journées et de ce qu’elles impliquent de transformation au sein de notre entreprise !

 

 

Grâce à la technologie Microsoft Xamarin, une application appelée à s’étendre pour OneLife & Ainos.

La volonté de OneLife, spécialiste de l’assurance-vie basé au Luxembourg, est de garder une longueur d’avance sur ses concurrents en misant fortement sur la transformation digitale. « Nos clients fortunés deviennent de plus en plus mobiles. Ils sont actifs à l’international et se font de plus en plus exigeants. Nous voulons dès lors projeter une image de société innovante et répondre aux besoins de nos clients en investissant dans l’avenir. Notre but est de leur proposer de nouvelles méthodes de communication et de conduite des affaires », déclare Marc Stevens, CEO de OneLife. « La technologie est devenue l’outil idéal pour concrétiser ces objectifs. »    « Voici deux ans, nous avons procédé à une révision en profondeur de notre environnement IT afin de favoriser cette transformation numérique », ajoute Eric Lippert, CIO de OneLife. « Notre infrastructure IT ouverte implique que nous sommes désormais en mesure d’alimenter tous nos systèmes en données de grande qualité et d’intégrer le tout dans une perspective d’avenir. La nouvelle application, que nous avons développée conjointement avec Ainos, n’est qu’un élément de ce processus. »

 

OneLife-Microsoft-Studycase

 

 Le client au coeur de l’action grâce à une application innovante

Le lancement de l’application mobile OneLife est un nouveau pas franchi dans le sens de cette transformation numérique. Tous les flux de tâches assurant une gestion sécurisée des contrats d’assurance sont intégrés dans l’application de telle sorte que les partenaires puissent surveiller les transactions et les évolutions intervenant dans les portefeuilles de leurs clients. Ils peuvent en outre utiliser l’application chaque fois qu’ils en ont besoin afin de consulter les détails des contrats de leurs clients ou encore la valeur de leurs investissements.     La nouvelle application fait également office d’instrument de communication favorisant une optimisation des relations clientèle. « L’application OneLife simplifie les opérations pour toutes les parties concernées et nous permet de gérer nos partenariats dans une perspective à long terme », déclare Christophe Regnault, Digital Marketing Manager de OneLife.  

« Nos partenaires peuvent procurer à nos clients toutes les informations dont ils ont immédiatement besoin, sans devoir s’adresser au siège central. Cela leur permet de gagner en efficacité tandis que nos clients ne doivent pas patienter avant de recevoir l’information. »

 

 Efficacité accrue grâce au développement agile et au langage de programmation 

La décision de développer l’application fut prise en mai 2016. OneLife et son partenaire IT, Ainos, ont démarré le processus de développement en juin. Dès octobre, l’application était en production. « Nous devons ce lancement rapide à la méthode de développement agile utilisée par Ainos », souligne Marc Stevens, CEO de OneLife. « Elle nous a permis de lancer plusieurs versions chaque mois et de traiter très rapidement les réactions du groupe pilote. Ce mode de travail a fait en sorte que l’application couvre davantage que prévu à l’origine. Le fait d’écouter les utilisateurs nous a permis de créer une application conviviale de très grande qualité. »

 

Extension technologique et géographique de l’application

Mais OneLife voit plus loin… Il est également prévu de connecter l’application à son système Microsoft Dynamics CRM afin de numériser entièrement le processus. « Cela nous aidera par exemple à générer des opportunités qualitatives de même qu’à surveiller les différentes étapes de notre processus commercial. Notre but ultime est d’intégrer la totalité du processus – en ce compris la signature du contrat – dans le système. Nous n’en sommes encore qu’à la première étape de notre nouvelle approche mais nous constatons, dès à présent, que tout le monde est prêt à sauter le pas. Nous comptons d’ores et déjà plus de 200 utilisateurs actifs et tous sont très enthousiastes. C’est très prometteur pour l’avenir », déclare Eric Lippert.

 

Un avenir étroitement lié à Ainos 

« Nous avons développé avec Ainos une relation basée sur la confiance. Notre partenariat débouche sur des résultats impressionnants. Leurs experts IT voulaient tirer un maximum de l’application. Ils l’ont abordée comme s’il s’agissait de leur propre bébé. Nous avons par ailleurs pu les contacter chaque fois que nous le voulions, même pendant les week-ends. Il ne fait aucun doute que nous désirons poursuivre, avec Ainos, dans cette nouvelle voie numérique », conclut Marc Stevens.

Plus d’articles ?

 

>>> Compliance & Risk, clé de la révolution digitale de l’assurance-vie

 

>>> La stratégie ambitieuse de OneLife : « Faire du Digital un Accélérateur »

 

 

 

Compliance & Risk, clé de la révolution digitale de l’assurance-vie

Dans un contexte de digitalisation croissante et de durcissement des règlementations dans le secteur financier, quelques sociétés pionnières surfent désormais sur la vague RegTech. Au même titre que les FinTech, InsurTech ou encore FundTech, ces technologies révolutionnent désormais les processus compliance & risk, avec pour but final d’apporter une nouvelle valeur ajoutée aux sociétés qui prennent en marche le train de la RegTech. C’est le cas de OneLife, compagnie d’assurance-vie luxembourgeoise, et de la startup luxembourgeoise KYCTech. Rencontre avec Marc Stevens, CEO de OneLife, Thierry André et Luc Maquil, cofondateurs de KYCTech, pour revenir sur une collaboration riche en innovation.

 

OneLife-MarcStevensInterview-Regtech- LifeAssurancence

 

« Cette intégration de la RegTech s’inscrit dans le processus de digitalisation que nous avons entamé il y a bientôt deux ans » débute Marc Stevens, avant de préciser : « Nous avons pour l’heure choisi de mettre l’accent sur deux axes bien précis concernant la RegTech : l’intégration de filtrage KYC/AML pour le new business, ainsi que le check KYC/AML pour les personnes morales ». Les dernières règlementations de la CSSF et du CAA imposent également de nouvelles vérifications obligatoires lors de l’acceptation de clients. La RegTech est devenue une quasi nécessité pour un pionnier du digital tel que l’assureur-vie luxembourgeois. Les équipes de OneLife et de KYCTech s’accordent à dire que ce partenariat était des plus naturels, la startup luxembourgeoise se positionnant comme facilitateur permettant de simplifier les régulations en y adoptant les technologies, pour mieux y répondre. « Le compliance & risk digitalisé contribue désormais clairement au business et sa valeur ajoutée est indéniable » souligne Thierry André.

 

« Le compliance & risk digitalisé contribue désormais clairement au business et sa valeur ajoutée est indéniable » 

 

Une collaboration unique

De nombreux échanges et réunions de travail entamés à la fin de l’année 2016 qui ont permis, dès le début du processus, d’intégrer les équipes Compliance & Risk, Commerciales, IT & Digital puis Customer Service. « Nous avons donc opté pour un véritable partenariat, en mode agile, en composant un groupe de travail avec des collaborateurs représentant chaque département et partie prenante, afin de garantir le succès du projet » précise Luc Maquil. Marc Stevens souligne quant à lui l’importance des workshops qui ont été animés par KYCTech, ayant notamment permis de donner une vision à moyen terme et surtout de challenger les pratiques en cours avec pour but une optimisation des processus, leur digitalisation mais également la création de la valeur ajoutée. « De telles solutions ont vocation à dégager un temps conséquent pour les équipes Compliance & Risk, mais aussi Customer Service, sans parler de la rapidité de la réaction et de service que cela engendre » souligne le CEO de OneLife.

OneLife-ThierryAndre-KYTech-Interview-Regtech-LifeAssurance

 

La RegTech, véritable facilitateur

« L’API analyse les données et donne un signal – vert, jaune ou orange – avant de rediriger si nécessaire au département compliance ou de demander un complément de détail » expliquent Thierry André et Luc Maquil. Ce processus permet alors de générer un rapport, avant de l’intégrer au dossier client, en 10 secondes. Un employé peut dépenser un temps conséquent à vérifier ces informations, cruciales pour établir de nouveaux contrats d’assurance-vie. Un travail manuel qui peut être automatisé et libérer du temps pour un focus plus détaillé sur les vraies problématiques AML/KYC. Outre le déroulement d’un Proof of Concept lors des mois d’avril et de mai 2017, c’est tout un programme d’intégration qui a été posé et approuvé pour une livraison, puis intégration à la mi-septembre. « Un timing parfait, en adéquation avec la finalisation de plusieurs autres projets autour de la phase terminale de notre processus de digitalisation » ajoute Marc Stevens. Chez OneLife, l’arrivée de ces nombreux projets et nouveaux outils digitaux visent bien à faire monter ses collaborateurs en compétences pour améliorer la valeur-ajoutée et ainsi mieux répondre aux besoins de ses partenaires et clients.

 

Avec de telles solutions, OneLife est équipée pour pallier l’augmentation du niveau de régulation et renforce le côté tailor made de ses activités, se démarquant ainsi de ses concurrents. De plus, avec ce rapprochement, les deux acteurs luxembourgeois prouvent que la dynamique RegTech est bien en marche au Grand-Duché et que le pays est une nouvelle fois à la pointe du digital, comme souhaité par le gouvernement et son initiative Digital Lëtzebuerg.

OneLife et KYCTech présenteront notamment les avancements de ce projet lors d’ICT Spring, qui se déroulera les 9 et 10 mai prochains, avant d’annoncer lors du RegTech Summit d’octobre prochain, de nouvelles innovations dans un secteur de l’assurance désormais bien loin de l’étiquette traditionnelle dont on l’affuble encore bien trop souvent.

 

En savoir plus les étapes de transformation digitale de OneLife :

 

>>> OneLife active sa transformation digitale sur base d’une nouvelle app développée avec Ainos

>>> OneLife & Talkwalker: exploiter au mieux la social data

>>> La stratégie ambitieuse de OneLife : « Faire du digital un accélérateur »

 

Article d’Alexandre Kielmann initialement paru le 21/04 /2017 dans Beast Magazine

 

 

 

Belgique : entrée en vigueur d’une nouvelle réglementation en région flamande (VLABEL)

Depuis le 1er janvier 2015 et le transfert vers VLABEL des compétences fiscales concernant les droits de succession et une partie des droits d’enregistrement, les intermédiaires et compagnies d’assurances, les avocats et les planificateurs financiers, ainsi bien entendu que les citoyens flamands désireux de structurer leur patrimoine, vivaient au rythme des décisions publiées par l’administration fiscale flamande. Si ces avis ont eu le mérite de clarifier la position de l’administration flamande sur les sujets traités, les points de vue pris par VLABEL ont pour le moins surpris et suscité de vifs remous dans le secteur, allant jusqu’à geler certaines solutions couramment utilisées et admises jusque-là par l’administration fédérale. Bien que VLABEL ait édité son nouveau code général en consolidant les codes des droits de succession et d’enregistrement, aucune modification de loi n’était intervenue et ne pouvait donc justifier ces avis contradictoires. En mars 2016, Assuralia montait même au créneau en introduisant une plainte auprès du Conseil d’Etat contre l’administration fiscale flamande. Le monde politique ne pouvait par conséquent plus rester insensible à cette problématique.

A l’approche de Noël 2016, un nouveau décret nous est né. Publié le 30 décembre, son application à dater du 1er janvier 2017 dans sa majeure partie a rendu le sourire à certains et a permis de démarrer l’année nouvelle avec un peu plus d’optimisme. Deux thématiques liées au contrat d’assurance qui étaient dans le collimateur de VLABEL ont ainsi été revues.

 

  • Donation du contrat d’assurance par cession de tous les droits

La décision de VLABEL de taxer le don d’assurance malgré le paiement des droits de donation avait ouvert les hostilités en novembre 2015. Plusieurs amendements à la position initiale avaient été publiés sans permettre au cessionnaire-donataire d’éviter que la prestation qui lui était payée au moment du dénouement du contrat ne soit soumise aux droits de succession. Le décret du 23 décembre 2016 a mis fin à cette pratique en soumettant uniquement la plus-value du contrat aux droits de succession. Par plus-value, il faut comprendre la différence entre la valeur du contrat d’assurance au moment de la donation et la valeur du contrat au dénouement par décès du donateur. La fiscalité applicable a donc été allégée pour les citoyens par l’arrivée de ce nouveau décret en comparaison avec le point de vue de l’administration flamande. Il ne faut cependant pas perdre de vue que cette fiscalité flamande n’est pas en ligne avec les principes juridiques qui sous-tendent la donation du contrat d’assurance. La cohérence entre raisonnement juridique et fiscalité reste par contre bien ancrée dans les autres régions du pays.

 

  • Souscription conjointe

La position prise par VLABEL dans le cadre d’un contrat souscrit conjointement par deux preneurs, également assurés, avec un dénouement au second décès a généré une énorme controverse qui n’est pas encore apaisée en raison des cas non résolus à ce jour.

La décision visait à taxer les bénéficiaires en vertu des droits de succession alors que ces derniers n’avaient perçu aucune prestation et n’étaient par ailleurs pas certains d’en recevoir une un jour (pour rappel, le preneur a le droit de révoquer à tout moment la clause bénéficiaire, pour autant que le bénéficiaire n’ait pas accepté le bénéfice. En vertu d’une clause d’accroissement entre les preneurs dans la structure de contrat précitée, ce droit de révocation revient au preneur survivant au décès du premier).

 

OneLife-VLABEL-flemish-new-decree

 

Selon le décret désormais en vigueur, la taxation s’opèrera lors du paiement d’une prestation, qui peut être issue d’un rachat ou du dénouement du contrat. En d’autres termes, le rachat partiel ou total du contrat par le preneur survivant génèrera une taxation aux droits de succession, qui ne pourra intervenir que par l’intermédiaire d’une déclaration de succession complémentaire. La perception de droits de succession au dénouement du contrat dans le chef des bénéficiaires reste inchangée.

 

Ce décret n’est pas la panacée et n’est pas un remède miracle aux décisions très critiquées prises par VLABEL durant ces deux dernières années. S’il soulage les donataires-cessionnaires de contrats existants, ainsi que les bénéficiaires de contrats souscrits conjointement, il n’amène aucune solution pour les preneurs dont l’objectif était d’optimiser fiscalement la transmission de patrimoine entre eux. Il met également fin à toute discussion concernant les preneurs mariés sous un régime de communauté. Le décret aborde d’autres points que nous avons choisi de ne pas traiter dans cet article et dont il faut bien entendu tenir compte pour l’élaboration d’une solution de structuration patrimoniale. Dès lors, nous recommandons aux clients de contacter leur conseiller avant de prendre une quelconque décision en la matière et nous nous tenons à leur disposition pour toute information qu’ils souhaiteraient obtenir.