Façonner son patrimoine avec l’assurance-vie

L’assurance-vie ouvre une porte sur de nombreuses opportunités d’investissement intéressantes, grâce à son exposition à un large éventail d’actifs traditionnels et non traditionnels.

Prenez la famille Leroux. Ils souhaiteraient quitter le nord de l’Europe pour une destination plus ensoleillée dans les Caraïbes ou le sud de l’Europe. En outre, André Leroux a vendu sa part dans le capital d’une FinTech prospère et veut maintenant investir une partie du produit de la vente dans des actifs à haut risque et à fort rendement, tels que des fonds de Private Equity réputés. Il lui a été recommandé d’investir dans le Private Equity afin de diversifier son portefeuille.

En souscrivant un contrat d’assurance-vie en unités de compte (unit-linked), la famille Leroux peut maximiser son patrimoine en panachant ses intérêts d’investissement en fonction de ses priorités d’expatriation, de manière personnalisée, structurée et fiscalement avantageuse.

L’expatriation est une expérience exaltante, qui peut également être décourageante. Un déménagement dans un autre pays peut entraîner des situations complexes en termes de gestion du patrimoine et de planification. Un contrat d’assurance-vie OneLife présente l’avantage de réduire la complexité, tout en vous assurant d’être en totale conformité, quelle que soit la juridiction fiscale où vous choisissez de vivre. Il offre également la possibilité d’investir dans un large éventail d’actifs traditionnels et non traditionnels, qui diversifient votre portefeuille et minimisent votre risque.

Pour en savoir plus sur les avantages liés à l’utilisation d’un contrat d’assurance-vie pour structurer des investissements non traditionnels et un patrimoine réparti à travers plusieurs pays, consultez notre => e-book et notre Checklist des investissements = > ici

Triangle de Sécurité et Protection des Actifs du preneur d’assurance

Concept à la base de la solution d’assurance-vie luxembourgeoise, le triangle de sécurité est mis en avant par de nombreuses compagnies d’assurance-vie luxembourgeoises, souvent usité, presque galvaudé et plutôt mal expliqué.

Explications du principe et tour d’horizon des modifications issues de la loi du 10 août 2018 concernant la distribution d’assurances (ci-après la « Loi IDD »).

1. Le principe : une protection tous azimuts

En effet, la protection du patrimoine et des actifs figure actuellement parmi les principales préoccupations des clients fortunés et de leur famille.

Le cadre légal du secteur des assurances au Luxembourg offre une protection du patrimoine unique pour les preneurs d’assurance grâce :

  • au régime de protection des preneurs d’assurance, à savoir le « Triangle de Sécurité »
  • à la protection contre une potentielle faillite de la compagnie d’assurance
  • à la protection contre la saisie de la créance du preneur d’assurance par des tiers

1.1 Le Triangle de Sécurité, c’est quoi ?

Issu de la loi sur le secteur des assurances, le Triangle de Sécurité est un mécanisme légal centré sur le preneur d’assurance permettant une ségrégation des actifs et un contrôle strict sur ceux-ci via la signature d’une convention de dépôt tripartite entre le Commissariat aux Assurances (ci-après le « CAA »), la compagnie d’assurance-vie et la banque dépositaire représentant les 3 côtés du triangle.

Ainsi, d’un côté, les compagnies d’assurance-vie luxembourgeoises ont l’obligation de déposer tous les actifs liés aux contrats d’assurance-vie (les « provisions techniques ») sur les comptes d’une banque dépositaire indépendante, c’est la face 1 du triangle.

Ces actifs doivent être séparés des capitaux de la compagnie d’assurance et de la banque.

De l’autre, la banque dépositaire doit être approuvée au préalable par l’organisme de réglementation luxembourgeois du secteur des assurances, le CAA, c’est la face 2 du triangle.

Enfin, le CAA dispose à l’égard de la banque dépositaire et de la compagnie d’assurance de pouvoirs règlementaires de contrôle, d’investigation et de sanctions (face 3)

1.2 La protection contre une potentielle faillite de la compagnie d’assurance

En effet, en cas de difficultés financières de la compagnie d’assurance, le CAA pourra faire usage des pouvoirs qui sont prévus par les articles 116 et suivants de la loi du 7 décembre 2015 (ci-après la « Loi ») auprès des banques dépositaires, à savoir :

  • Le CAA pourra notamment imposer un gel des comptes distincts liés aux provisions techniques de l’assureur au profit des preneurs d’assurance et des bénéficiaires. Par conséquent, à partir de cette date, aucune transaction ne pourra plus être effectuée sur ces comptes sans l’autorisation préalable du CAA (que ce soit par l’assureur ou par la banque). Le CAA pourra également, le cas échéant, procéder à toute vente d’actifs mobiliers ou l’inscription d’une hypothèque sur actifs immobiliers.
  • L’article 118 de la Loi prévoit que les preneurs d’assurance disposent de droits préférentiels de premier rang sur les actifs des comptes distincts, un « Super Privilège » grâce auquel ils sont prioritaires sur tous les autres créanciers de la compagnie d’assurance (employés, etc.).
  • En cas d’insuffisance d’actifs sur les comptes distincts, l’article 119 de la Loi prévoit que les preneurs d’assurance disposent de droits privilégiés supplémentaires sur les actifs propres de la compagnie d’assurance. Ils sont cependant primés pour ce privilège par les frais de justice et de liquidation, le privilège des salariés et de responsabilité accidents, et celui du Trésor et des Communes.

1.3. La protection contre la saisie de la créance du preneur d’assurance par des tiers

Les articles 114 et suivants de la loi luxembourgeoise sur le contrat d’assurance du 27 juillet 1997 disposent que les droits de rachat, d’avance et de gage de la police du preneur d’assurance n’appartiennent qu’à lui, ces droits ne peuvent donc être saisis ou exercés par un tiers créancier du preneur.
Les créanciers du preneur ne peuvent donc pas le forcer à exercer ces droits.
Les créanciers du preneur ne peuvent saisir la police elle-même car elle appartient juridiquement à la compagnie d’assurance.
Les créanciers du preneur d’assurance sont susceptibles de saisir la créance de celui-ci auprès de la compagnie d’assurance afin de recouvrer leur créance, mais ils ne recevront aucun paiement de la part de la compagnie d’assurance tant que le preneur d’assurance n’aura pas décidé librement d’exercer ses droits de rachat sur la police.
La seule exception à ce principe est le paiement par le preneur d’assurance de primes manifestement exagérées au regard de ses ressources et de son patrimoine.

2. Modifications du cadre de la protection des actifs par la Loi IDD

Le cadre légal de la protection, déjà très protecteur, a été encore renforcé par l’addition de règles qui viennent individualiser la protection en fonction du profil et de la stratégie du preneur.

En effet, l’application qui aurait pu être faite des règles, aurait pu aboutir à un résultat peu équitable pour les preneurs et le CAA a clarifié ces règles à bon escient.

Comme auparavant, l’article 253 de la Loi fixe la valeur du patrimoine distinct au jour de l’ouverture de la procédure de liquidation.

L’ancienne rédaction du super-privilège fixait un super-privilège général sur le patrimoine distinct de la compagnie d’assurance-vie.

La nouvelle rédaction issue des articles 253-1 et 253-5 de la Loi fixe le super-privilège sur les unités de comptes du preneur dans un actif sous-jacent, c’est-à-dire le nombre d’unités sous-jacentes du contrat du preneur lui-même.

Un exemple chiffré valant mieux que des explications longues, prenons l’exemple de Monsieur Abra Racourcix (Monsieur A), Madame Alie Bonnemine (Madame B), Monsieur et Madame Jacques et Marie Charic (Monsieur et Mme C).

Monsieur A est un flambeur, il veut un rendement élevé (peu importe le risque, dit-il), il n’investit que dans des Actions A à fort rendement, mais risque élevé.

Madame B a un profil conservateur, elle cherche du rendement sans vouloir prendre tous les risques, elle investit à la fois dans des actifs risqués et des actifs peu risqués.

Monsieur et Mme C n’aiment pas le risque, ils ont un profil plus conservateur et souhaitent investir dans des actifs moins risqués, même si le rendement est plus faible.

La nouvelle rédaction « suit » les actifs des contrats et répartit plus équitablement les sommes à récupérer en individualisant la protection, chaque contrat étant considéré comme une cellule individuelle sur lequel le super-privilège s’exerce.

C’est donc une mesure qui renforce encore l’intérêt incomparable de l’assurance-vie luxembourgeoise pour les clients fortunés et leur famille, en plus de la stabilité, de la transparence et des possibilités d’investissement incomparables du contrat luxembourgeois !

 

Pour en savoir plus, regardez cette vidéo

OneLife se tient aux côtés de ses partenaires et de ses clients pour toute question concernant le cadre légal de protection des preneurs d’assurance-vie.

 Jean-Nicolas GRANDHAYE – Corporate Counsel

 

Faites connaissance avec la famille Leroux

Intéressons-nous à présent au cas d’André et Martine Leroux, mariés, un enfant, habitant dans le nord de l’Europe et nouveaux venus dans le monde des investissements dans le Private Equity. André, après avoir vendu sa part dans une FinTech, désire explorer certaines options d’investissement non traditionnels.

Le but est d’investir dans des actifs à haut risque et à fort rendement, capables de gagner beaucoup de valeur à moyen terme. L’une des priorités d’André et Martine est de créer un plan qui maximise leur patrimoine de manière efficace et personnalisée ; un plan qui soit conforme sur le plan fiscal dans plusieurs juridictions et qui garantisse l’avenir de leur enfant.

André et Martine désirent profiter au mieux de leur capital, tout en assurant un cadre structuré et sécurisé pour leur patrimoine. Ils veulent avoir la flexibilité nécessaire pour choisir la solution qui leur convient, tout en sachant que leur enfant pourra bénéficier des décisions qu’ils prennent aujourd’hui. Un contrat d’assurance-vie luxembourgeois fournit ce cadre, en proposant une approche hautement personnalisée qui s’accompagne de la sécurité et de la flexibilité des investissements. Le Private Equity est l’un des types d’actifs non traditionnels offerts par OneLife qui répond aux besoins des particuliers fortunés et de leurs familles.

Pour découvrir la solution utilisée par André et Martine, cliquez => ici !

Le Forum International de l’Investissement de OneLife : franchir les frontières pour les clients et les investissements!

Bruxelles. 18 octobre. 11ième Forum International de l’Investissement de OneLife.

Le Forum de l’Investissement est le grand événement organisé chaque année par OneLife. Il offre une tribune pour se constituer un réseau, pour échanger et pour débattre sur des thèmes et des tendances de premier plan touchant le secteur de l’assurance-vie en Europe. Le matin se tiennent des workshops sur les solutions transfrontalières et les actifs non traditionnels et l’après-midi, l’accent est mis sur les investissements traditionnels sous la houlette de maisons de fonds partenaires. Tout cela sur la thématique « Crossing borders for clients and investments! »

Cette année, le Forum a accueilli plus de 500 participants au Brussels Kart Expo avec la participation de quasi 50 exposants spécialisés dans les investissements (traditionnels et non traditionnels), tout un éventail de speakers issus des différents secteurs de l’industrie, ainsi que les équipes d’experts de OneLife… Les visiteurs ont interagi virtuellement et en face-à-face grâce à un Poken qui permet l’échange de coordonnées, le téléchargement de documents sur les fonds et l’évaluation de la qualité des workshops et des conférences, tout cela à l’aide d’une simple pression du Poken!

À propos du Forum de l’Investissement de OneLife

Concernant le Forum, Antonio Corpas, CEO de OneLife, déclare : « Ce Forum, qui en est maintenant à sa 11ème édition, doit son succès à son « ouverture ». Ouverture à l’échange, ouverture à ce qui touche notre industrie, ouverture au changement. La manière dont nous nous adaptons et travaillons avec nos partenaires dans un monde en constante mutation est prépondérante… » Ce Forum a été créé pour ses partenaires en Belgique, un marché sur lequel OneLife est leader et, ces deux dernières années, il a été ouvert aux marchés internationaux dans le sillage de la stratégie de la société, ce qui a ainsi permis la présence de participants originaires de plus de 10 pays différents ! Il offre l’opportunité de participer à une journée de rencontres, de réseautage et d’échange sur les enjeux majeurs auxquels font face les secteurs des services financiers et des assurances. Avec d’un côté, les partenaires de distribution de OneLife et de l’autre ses partenaires d’investissement, les thématiques suivantes ont été abordées: quels changements affectent notre industrie ? Comment y répondre ? Quelles opportunités offrent-ils ?

Planification patrimoniale transfrontalière

Après un mot de bienvenue d’Antonio Corpas, CEO de OneLife, le Forum a commencé par plusieurs workshops matinaux présentant les avantages de l’assurance-vie luxembourgeoise comme solution de planification patrimoniale transfrontalière. Grâce à sa flexibilité et des niveaux élevés de protection des investisseurs et de portabilité par-delà les frontières, un contrat d’assurance-vie est un moyen efficace de protéger, de préserver et de transférer le patrimoine de génération en génération. Du fait de la mobilité croissante des personnes fortunées et de leurs familles, la complexité de la fiscalité internationale et la diversité des actifs disponibles, trouver la solution idéale en matière de planification patrimoniale n’est pas toujours chose aisée. Les experts de OneLife, conjointement à des speakers de cabinets d’avocats internationaux, de gestionnaires d’actifs et de spécialistes des actifs non traditionnels ont évoqué tout un éventail de thématiques allant des possibilités offertes par les investissements dans l’immobilier, les solutions de planification patrimoniale (principalement les solutions Royaume-Uni-Espagne et France-Belgique-Portugal) et le marché paneuropéen de la dette.

Investissements traditionnels

L’après-midi, plus de 40 maisons de fonds ont présenté aux participants du Forum leurs stratégies, leurs modèles de répartition des actifs, leurs performances et leurs innovations dans de nombreux secteurs de l’industrie. Les workshops ont donné lieu à des débats et des échanges animés et ont permis d’arriver à la conclusion que la compréhension de la diversité et des possibilités offertes par les fonds d’investissement était la clé pour bien gérer les portefeuilles des clients. La volonté affichée par OneLife de réunir les principales maisons de gestion de fonds internationales pour une après-midi de réflexion a offert aux investisseurs une vision unique du monde de l’investissement et de ses dernières technologies et tendances. Des fonds externes peuvent être détenus sous la forme d’investissements sous-jacents dans des contrats d’assurance-vie et ces investissements contribuent à préserver et à faire croître le patrimoine sur le long terme.

Investissements non traditionnels

Cette année, OneLife a invité 8 gestionnaires d’actifs non traditionnels à participer au Forum. Ils ont ainsi pu évoquer l’attractivité croissante des catégories d’actifs non traditionnels tels que le capital-investissement, les investissements dans l’immobilier, les participations financières et la titrisation. Investir uniquement dans des actifs non traditionnels ou les associer à des actifs plus traditionnels tels que les participations, les obligations, les marchés monétaires et les actifs non cotés peut améliorer le rendement des portefeuilles et permet aux investisseurs d’avoir accès à tout un éventail de nouvelles catégories d’actifs. Investir dans des actifs non traditionnels est possible grâce à un contrat d’assurance-vie luxembourgeois. L’équipe d’experts en actifs non traditionnels de OneLife est leader sur le marché et peut vous apporter son assistance tout au long du processus d’intégration de ce type d’actifs dans un contrat d’assurance. Pour en savoir plus : #Réussir ses #Investissements.

Vers l’avenir de la distribution…

Le débat organisé par OneLife avait cette année pour thème « le Futur de la Distribution », c’est-à-dire les défis et opportunités auxquels l’industrie des services financiers est confrontée alors que la réglementation est de plus en plus stricte, la révolution digitale est en marche et des acteurs issus de nouvelles industries telles que la FinTech émergent.

Que signifient ces changements pour l’industrie et le modèle de services dans le futur et quelles sont les clés de la réussite dans un tel environnement ?

Dans un débat animé par Antonio Corpas, CEO de OneLife, trois speakers ont évoqué le futur de la distribution en s’appuyant sur leurs propres perspectives uniques :

  • Neil Browning, Executive Director – Saxo Bank

Neil Browning est responsable de la gestion des relations et des ventes numériques dans la région EMEA au sein de Saxo Bank. En 20 ans de présence dans l’industrie financière, Saxo Bank est devenue l’une des premières institutions financières à développer une plate-forme de trading en ligne offrant ainsi aux particuliers un accès aux mêmes outils et marchés que les professionnels.

  • Jean-François Chatelain, Associé fondateur – Family Partners

Jean-François Chatelain est le cofondateur de Family Partners, une multi-family office française, créée en 2011 et dédiée à l’accompagnement des familles fortunées. Il possède une solide expérience des UHNWI (Ultra-High Net-Worth Individuals – « ultrariches ») sur la scène internationale.

  • Marc Gouden, Associé – Philippe & Partners

Marc Gouden est Associé au sein du cabinet Philippe & Partners depuis 2005. Il y est chargé de la fourniture de conseils juridiques, d’une assistance dans le cadre de négociations de contrats ainsi que de conseils en contentieux dans le domaine du droit des affaires international et est spécialisé dans le secteur des assurances.

Sur la question de la réglementation, malgré le fardeau que cela constitue, les opportunités ne sont jamais bien loin. Marc Gouden constate par exemple le professionnalisme accru qui découle à la fois du renforcement de la réglementation et la baisse du nombre de contentieux du fait des informations plus nombreuses dans chaque dossier et du consentement explicite des investisseurs.

Les opinions de nos speakers sur l’impact de la transformation numérique ont été mitigées face aux nouveaux services offerts aux investisseurs par la plate-forme de trading de Saxo Bank à la pointe de la technologie alors que dans le monde des family offices, les documents papiers et les services physiques restent la norme.

Les speakers se sont entendus sur le fait que les nouveaux acteurs de la FinTech ont le potentiel pour créer de nouveaux services dans l’industrie de la gestion de patrimoine et qu’un équilibre entre les solutions traditionnelles et non traditionnelles pourrait donner naissance à des partenariats précieux à la fois pour les clients et les intermédiaires.

Merci à toutes celles et à tous ceux qui ont participé au Forum International de l’Investissement de OneLife cette année! Nous sommes impatients de vous revoir l’année prochaine!

Vivez le Forum International de l’Investissement de OneLife de l’intérieur grâce à notre => vidéo et à nos => photos !

Vous voulez en savoir plus sur les investissements ? Téléchargez notre => e-book #Réussir ses #Investissements et sa => checklist. Et découvrez de quelle manière les actifs non traditionnels peuvent vous aider à tirer le meilleur de vos investissements !

 

La famille Van Dewael opte pour la titrisation

La famille Van Dewael a travaillé dur pendant des décennies. À présent, elle est prête à investir son épargne dans des investissements moins traditionnels, comme les sociétés FinTech. Dans cette optique, leur gestionnaire de patrimoine leur a conseillé de souscrire un contrat d’assurance-vie et d’utiliser un véhicule de titrisation pour structurer efficacement leurs investissements et assurer leur portabilité d’un pays à un autre.

Grâce à cette solution personnalisée, Geert et Inge peuvent investir aussi bien dans des actifs non cotés que dans des actifs plus traditionnels.

Sa flexibilité est telle que Geert et Inge peuvent l’utiliser comme un outil de planification successorale et d’investissement intégré. Accessoirement, si le couple décide de prendre sa retraite à l’étranger, le contrat d’assurance-vie peut être personnalisé pour leur faire profiter d’avantages fiscaux. Ce facteur rentrera en ligne de compte lorsque les bénéficiaires recevront leur héritage, en leur permettant de bénéficier d’abattements sur les droits de succession liés au contrat d’assurance-vie.

Depuis plus 25 ans, OneLife fournit des solutions d’assurance-vie luxembourgeoises dont l’efficacité n’a encore jamais été démentie. Qu’il s’agisse de planification successorale, de portabilité internationale ou d’investissements dédiés, notre équipe d’experts est là pour trouver la meilleure solution adaptée à votre situation personnelle et familiale.

Pour en savoir plus sur la solution d’investissement utilisée par la famille Van Dewael , téléchargez notre e-book => ici et consultez notre Checklist des investissements = > ici !

 

Faites connaissance avec la famille Van Dewael

Geert et Inge s’intéressent tout particulièrement aux sociétés FinTech et souhaiteraient investir une partie de leur épargne pour soutenir la croissance de ces entreprises. Dans l’idéal, les investissements généreraient un rendement suffisant pour leur permettre de prendre leur retraite et de laisser un héritage confortable à leurs enfants.

Leur gestionnaire de patrimoine leur a conseillé de souscrire un contrat d’assurance-vie luxembourgeois et d’utiliser un véhicule de titrisation pour structurer efficacement leurs investissements. Ils ont ainsi la latitude de personnaliser la solution en fonction de leurs besoins et peuvent également multiplier les actifs investis, tout en isolant le risque. Pendant toute la durée du contrat, Geert et Inge seront non seulement en conformité sur le plan fiscal dans toutes les juridictions concernées, mais leurs enfants pourront également bénéficier d’un transfert de patrimoine fiscalement avantageux.


En optant pour la titrisation, il est possible de réaliser des investissements hautement personnalisés, combinés à un large éventail de permutations de rendement, de risque et de maturité. Le cadre réglementaire du Luxembourg offre une approche flexible et variée de la structuration de ces véhicules, ce qui signifie que l’investisseur peut cibler des transactions distinctes, tout en isolant le risque des actifs. Ce qui pouvait sembler complexe au départ se révèle au final assez simple.

Pour découvrir la solution utilisée par la famille Van Dewael, téléchargez notre e-book = > ici !

Des options d’investissement variées pour un patrimoine international

Les personnes fortunées mènent généralement un mode de vie international et, à ce titre, des options d’investissement variées sont nécessaires pour gérer et faire fructifier leur patrimoine international.

Investir dans des actifs non traditionnels ouvre de nouvelles possibilités de création de valeur, en permettant notamment des placements dans le Private Equity, l’immobilier et les véhicules de titrisation. Il est difficile d’appréhender dans leur globalité le large éventail d’options disponibles et, comme leur nom l’indique, les actifs non traditionnels n’ont rien d’ordinaire.

Ces actifs sont moins affectés par les fluctuations des marchés et les variations de taux d’intérêt, contrairement à d’autres options d’investissement comme les actions et les obligations. Les classes d’actifs non traditionnels, qui sont par nature à long terme, peuvent apporter de la stabilité aux portefeuilles d’investissement et offrir des rendements supérieurs à la moyenne, assortis de niveaux de risque relativement plus faibles.

Dans des environnements de taux d’intérêt faibles, les rendements peuvent être difficiles à générer et se révéler médiocres dans le meilleur des cas. Les investissements non traditionnels constituent une porte d’accès vers des portefeuilles plus variés et de nouveaux types d’actifs. Comme le Private Equity, l’immobilier et/ou les véhicules de titrisation. Ces types d’investissement plus spécialisés donnent accès à des secteurs multiples, qui innovent souvent dans leurs domaines, à l’image des start-ups et des sociétés FinTech. Pour les investisseurs, la possibilité de financer certains de ces secteurs à croissance rapide, de poursuivre leurs passions et d’investir dans des opportunités internationales est une perspective exaltante. En particulier, sachant qu’elle s’accompagne de la quiétude et de la sécurité offertes par un contrat d’assurance-vie luxembourgeois.

Cliquez => ici : [Link vers le e-slideshare] pour découvrir comment vous pouvez investir dans des actifs non traditionnels.

Qu’est-ce que la DDA ?

Comme vous le savez, la Directive sur la Distribution en Assurances sera d’application à compter du 1er octobre 2018, afin de vous y préparer OneLife met à votre disposition les différents documents et procédures pour que vous puissiez appréhender cette nouvelle réglementation de manière claire.

Qu’est-ce que la DDA ?

Voici une petite vidéo reprenant l’essentiel.

La DDA a pour objectif principal d’améliorer la réglementation sur le marché de l’assurance de détail et de créer davantage d’opportunités pour les activités cross-border, de créer les conditions nécessaires à une concurrence équitable entre distributeurs de produits d’assurance, et de renforcer la protection des consommateurs, notamment en ce qui concerne la distribution de produits d’assurance liés à des produits d’investissement basés sur l’assurance (« insurance-based investment products » en anglais ou « IBIPs »).

Quelles sont les conséquences pour les clients ?

La DDA exige de la part des distributeurs une information claire et transparente, afin de permettre aux clients de prendre une décision éclairée.

La différence principale est que cette information devient formelle, par le biais de la fourniture d’une documentation précontractuelle contenant un document permettant de recueillir toutes les informations concernant le client mais également d’établir son profil auquel sera lié un KID PRIIP’S, et tous les frais qui y sont liés (définition et nature de ces frais). Une fois les informations obtenues, le client a le choix de souscrire ou non au contrat. Ce document sera très prochainement mis à votre disposition si vous souhaitez l’utiliser.

Suite à la souscription et lors de la vie du contrat, les distributeurs ont l’obligation pour les contrats d’assurances IBIP’s de suivre l’évolution du contrat et de vérifier que celui-ci est toujours en adéquation avec le profil déterminé en phase précontractuelle. Ce suivi devra être documenté lors des différentes transactions et une fois par an par le biais d’un rapport adéquat.

La DDA demande aux distributeurs de matérialiser tous les conseils apportés au clients tout au long de la vie de leurs contrats.

Implementation of the Insurance Distribution Directive

Quelles sont les conséquences pour nos partenaires ?

La DDA, à la différence de la Directive sur l’Intermédiation en Assurances, concerne à la fois les Intermédiaires et les Compagnies d’Assurances.

De ce fait, les conventions de relations d’affaires seront modifiées et devront mettre en avant les nouvelles obligations et devoirs des Intermédiaires et des Compagnies d’Assurances.

Les distributeurs seront tenus d’agir de manière honnête, impartiale et professionnelle au mieux des intérêts des clients.

Cette définition implique :

  1. un renforcement du devoir de conseil (articles 20 et 30 de la Directive). En effet, les distributeurs seront tenus pour tous les produits de recueillir les besoins et exigences de leurs clients allant jusqu’à la recommandation personnalisée pour les produits IBIP’s. Cette recommandation ayant pour objectif de proposer un produit correspondant aux besoins et exigences recueillis préalablement. Cette recommandation est réalisée grâce à l’établissement d’un profil d’investissement qui permet de fournir au client un test d’adéquation avec la possibilité d’une évaluation périodique tout au long de la vie du produit choisi. Documenter cette évaluation permet aux distributeurs de démontrer qu’ils agissent au mieux des intérêts des clients.
  2. Une information transparente (articles 17,18,19,20 et 29 de la Directive) au niveau de la rémunération. Les distributeurs devront informer le client de tous les frais liés au contrat, en exposant la nature des frais et leurs méthodes de calculs. Par ailleurs, les distributeurs et Compagnie d’assurance devront éviter toute situation susceptible de nuire à la qualité des services fournis au client. Autrement dit, en parallèle à une procédure de prévention, une procédure de détection et de gestion de conflits d’intérêts devra être mise en place par les distributeurs et les compagnies d’assurances. Si dans le cadre de leurs activités, ce type de situation est établie, celle-ci devra sans délai être communiquée à la compagnie d’assurance, afin de tenter de la résoudre. Si la situation persiste, celle-ci ne pourra être divulguée au client qu’en dernier ressort, afin de lui permettre de faire un choix éclairé.
  3. Une nouveauté en matière de gouvernance et surveillance de produit (article 25 de la Directive). Cette nouveauté donne de nouveaux rôles aux acteurs de l’univers assurantiel : OneLife prend le rôle de « Concepteur de produits » qui sont mis à la disposition de ses partenaires qui eux prennent le rôle de « Distributeurs ». Dans le cadre de ce rôle de Concepteur une politique de création de produits et une stratégie de distribution seront mis en place :  avec une définition du marché cible et un choix des canaux de distribution qui seront différents pour chacun des produits. Toutes ces informations seront transmises aux partenaires via les « PDA Product Distribution Arrangements » qui seront très prochainement accessibles sur « youroffice ».

Insurance Distribution Directive 201697EU (IDD)

En retour les distributeurs devront :

  1. communiquer aux concepteurs leur stratégie de distribution, afin de s’assurer que celle-ci est en adéquation avec le marché cible du concepteur ;
  2. surveiller les produits, afin d’évaluer s’ils sont toujours en adéquation avec la réalité du marché.

Toutes ces nouvelles obligations seront comprises au sein de la nouvelle convention qui vous sera transmise prochainement.

Pour résumer les changements introduits par la DDA au niveau de la documentation sont les suivants :

  • un modèle de formulaire d’informations précontractuelles à votre disposition;
  • les conditions générales ont été revues ;
  • les documents transactionnels modifiés pour vous permettre de documenter le conseil donné avant transaction ;
  • Les PDA vous permettront d’appréhender nos marchés cibles ;
  • Une nouvelle convention répondant aux exigences DDA et enfin,
  • Une nouvelle Annexe 1 reprenant une rémunération répondant à toutes ces nouvelles exigences.

Nous vous tenons informés très prochainement de la mise à disposition des nouveaux documents sur nos portails.

Nous restons à votre disposition pour toute demande d’informations complémentaires.

Auteur : Nora Belarbi

 

Introduction aux investissements non traditionnels

Le monde d’une personne fortunée peut à bien des égards être compliqué, qu’il s’agisse des questions de planification patrimoniale et successorale, de la gestion de la fiscalité à travers plusieurs juridictions ou ne serait-ce que pour concilier les aspects d’un mode de vie mobile. Pourtant, investir dans des actifs non traditionnels n’est pas aussi compliqué qu’il y paraît !

Avec la solution OneLife, les actifs non traditionnels peuvent être intégrés dans votre contrat d’assurance-vie et couvrir des investissements dans le Private Equity, l’immobilier, les véhicules de titrisation, les participations financières ainsi que la gestion du transfert de patrimoine à vos enfants.

* FIS = Fonds d’investissement spécialisé

RAIF = Reserved Alternative Investment Fund / FIAR = Fonds d’investissement alternatif réservé

SCS = Sociétés en commandite simple
SCA = Sociétés en commandite par actions

S.àr.l. = Société à responsabilité limitée
S.A. = Société anonyme

Étant donné les niveaux élevés de personnalisation et de flexibilité qu’offrent un contrat d’assurance-vie luxembourgeois, OneLife travaille avec vous afin de trouver la solution d’investissement qui vous convient le mieux. Celle qui vous permet de libérer votre potentiel de croissance et de diversifier votre portefeuille, le tout dans le cadre sécurisé de l’assurance-vie luxembourgeoise.


Les investissements non traditionnels peuvent également être combinés à des investissements traditionnels, et vous donner ainsi la possibilité de profiter d’un large éventail de classes d’actifs. Et si vous décidez de vous expatrier une ou plusieurs fois, la portabilité de votre contrat vous permet de répondre aux exigences internationales. Si vous souhaitez transmettre votre patrimoine à vos enfants selon les modalités que vous aurez définies, le faire fructifier tout en le protégeant et adopter un mode de vie mobile, un contrat d’assurance-vie OneLife est la solution idéale !

Pour découvrir comment vous pouvez investir dans des actifs non traditionnels, cliquez sur => ce lien!

#Réussir ses #Investissements

Vous pensez tout savoir sur l’assurance-vie ? En êtes-vous bien sûr(e) ?

L’assurance-vie, en plus d’être un formidable outil de planification successorale, est suffisamment flexible pour être portable d’un pays à un autre. Mais ce n’est pas tout ! Un contrat d’assurance OneLife vous offre également la possibilité de définir votre plan d’investissement personnalisé. Il peut couvrir des investissements dans des actifs traditionnels comme des actions, des obligations, des instruments du marché monétaire, des actifs non cotés, mais également des actifs non traditionnels comme le Private Equity, l’immobilier, les véhicules de titrisation, les sociétés holding… ce qui en fait une solution attrayante pour gérer votre patrimoine, le faire fructifier et le transmettre à vos enfants en toute quiétude.

Ce processus peut vous sembler complexe, mais notre mission est de le simplifier. Pour vous y retrouver dans le jargon des investissements et savoir ce qu’il signifie vraiment, consultez notre #Décodeur de jargon des investissements ! 

Regardez comment d’autres particuliers fortunés utilisent les actifs non traditionnels. Comme la famille Van Dewael, qui utilise son contrat d’assurance-vie pour investir dans des starts-ups et des sociétés FinTech. André et Martine Leroux qui espèrent s’expatrier sous des cieux plus cléments en investissant dans des actifs à haut rendement. Et la famille García qui assure ses arrières en investissant dans l’immobilier.

Voici quelques-unes des familles qui utilisent des actifs non traditionnels pour poursuivre leurs intérêts et réaliser leurs rêves.

Pour découvrir comment l’assurance-vie peut aider une famille, cliquez sur notre SlideShare = > ici !