#Réussir sa #Succession : 2ième partie – Assurance-Vie – 1, Complexités de la fiscalité transfrontalière – 0

 

Selon nos enquêtes, les Européens à forte valeur nette considèrent les impôts comme la principale raison d’avoir un plan de transfert du patrimoine.

Mais avec l’augmentation de la mobilité internationale, la compréhension de la gestion de vos actifs tout en restant conforme aux normes fiscales en respectant efficacement les frontières nationales n’est pas facile.

Au bout de 45 ans de résidence fiscale en France, après avoir élevé deux enfants Filipe et Manuela, Pedro et Maria Ferreira s’engagent dans un nouveau chapitre de leur vie, leur retraite et leur expatriation au Portugal. Pour Pedro, ses exigences pour son plan financier sont claires : il a besoin d’une solution souple et efficace pour consolider ses actifs et faciliter sa succession transfrontalière ultérieure. La solution OneLife pour la famille Ferreira est encore plus claire : une co-souscription à un contrat d’assurance-vie portugaise « vie entière » par Pedro et Maria. Cette police couvrirait à la fois leur existence et protégerait leur patrimoine pour soutenir leurs enfants une fois qu’ils ne seront plus là.

Découvrez tout ceci et plus encore dans cette vidéo

De plus en plus de retraités et d’entrepreneurs choisissent de changer de lieu pour profiter d’avantages tels qu’un meilleur climat et un rythme de vie plus relax. Ces amateurs de soleil choisissent souvent les pays ibériques pour s’y installer. OneLife dispose d’experts pour ces pays qui peuvent aider dans des situations transfrontalières à décider de rester dans leur nouveau pays ou de retourner dans leur pays d’origine. Grâce à une connaissance approfondie des incidences fiscales et juridiques de l’expatriation de la France vers le Portugal, nos planificateurs de richesse peuvent apporter une solution qui correspond le mieux aux besoins de la famille Ferreira nouvellement mobile.

 

Pour vous plonger plus profondément dans la manière dont l’assurance-vie surmonte les complexités de la succession intergouvernementale, lisez notre  e-book #Réussir sa #Succession 2ième Partie = > ici et téléchargez notre checklist sur la succession = > ici.

 

 

Source: OneLife & Scorpio Partnership

 

#Réussir sa #Succession : 2ième partie – Comment régler la succession

La planification à long terme en ce qui concerne votre patrimoine est fondamentale : il faut commencer par cartographier vos ambitions financières personnelles pour vous aider à déterminer les meilleurs produits pour gérer vos actifs. Or, nos enquêtes indiquent que seuls 20 % des personnes européennes fortunées considèrent qu’un plan de succession est extrêmement précieux.

Prenez Manel Alvarez, ingénieur de 50 ans. Manel habite à Tarragone, en Espagne, et son fils Juan vit à Londres avec sa copine. Juan espère acheter des biens dans la ville ou finir un MBA dans une école de commerce, mais il aura besoin d’un soutien financier de sa famille pour le faire. Manel a récemment eu l’occasion de s’installer au Portugal pour diriger le développement de sa société. Ses actifs se composent d’un certain nombre de biens en Espagne et d’actifs financiers d’une valeur de 500 000 €. En tête de l’ordre du jour de Manel figure le souci de veiller à ce que ses actifs soient sécurisés à l’avenir pour Juan.

Un contrat d’assurance-vie peut aider lorsqu’il s’agit de gérer des situations familiales complexes et de financer des événements spéciaux des membres de la famille pendant la durée du contrat. Tant que la planification se fait à un stade précoce, le contrat peut répondre à des exigences telles que la liquidité lorsqu’elle est nécessaire.

Pour savoir comment l’assurance-vie peut fournir à Manel la sécurité financière avec portabilité et avantages fiscaux, lisez notre e-book #Réussir sa Succession => ici ! 

 

 

Source: OneLife & Scorpio Partnership

 

Un résident brésilien peut-il détenir une assurance-vie étrangère ?

Les assureurs luxembourgeois se posent souvent la question de savoir si, d’un point de vue règlementaire, un résident brésilien peut détenir une assurance-vie étrangère. Nous pensons qu’il y a lieu de répondre à cette question de manière objective et de présenter le contexte règlementaire et les conséquences fiscales dans cette juridiction.

 

Le cadre règlementaire brésilien

La règle générale veut que les individus et les entités qui résident ou sont domiciliés au Brésil puissent uniquement souscrire des contrats d’assurance auprès de compagnies régies par le droit interne et immatriculées auprès de l’autorité de contrôle et de supervision du marché brésilien de l’assurance (SUSEP). Par conséquent, les compagnies d’assurances étrangères ne peuvent pas exercer, directement ou indirectement, d’activités de vente et de marketing au Brésil ni établir des contrats d’assurance avec des preneurs d’assurance qui résident sur le territoire brésilien. 

Ayant à l’esprit cette règle générale, la loi n’interdit pas que des non-résidents souscrivent une assurance à l’étranger au profit de résidents brésiliens. Sachant que le droit brésilien adopte le principe de légalité, aux termes duquel les individus et les entités sont autorisés à conclure des accords qui ne sont pas interdits par la loi, ce type d’accord devant être considéré comme un accord valablement conclu entre deux entités non brésiliennes dans le plein respect du droit de leur pays de résidence.

Dans ce contexte, de solides arguments justifient le fait qu’une entité étrangère, même si elle est contrôlée par des résidents brésiliens, puisse souscrire une assurance-vie aux termes de laquelle les assurés ou les bénéficiaires sont des résidents brésiliens. La loi brésilienne n’interdit pas cette situation puisque le résident brésilien ne souscrit pas une assurance-vie auprès d’une compagnie étrangère mais représente simplement le risque couvert par l’entité étrangère.

 

 

Il convient de garder à l’esprit qu’actuellement les autorités brésiliennes portent une attention accrue aux opérations réalisées par des structures étrangères au bénéfice de résidents brésiliens et qu’elles peuvent s’en désintéresser si elles considèrent que certaines de ces opérations sont des montages artificiels imaginés par des entités étrangères afin d’échapper aux restrictions imposées aux résidents brésiliens par les législation et règlementation locales.

Il convient donc de mettre en place une solution à la mesure des enjeux afin de réduire les risques de voir, par la suite, les autorités locales contester la structure proposée en privilégiant le fond par rapport à la forme. En ce sens, les assureurs étrangers devraient prendre en compte des facteurs tels que : la préexistence d’une structure dûment déclarée auprès des autorités brésiliennes qui n’a pas été constituée que dans le but de souscrire une assurance-vie, le fait que cette structure soit opérationnelle et/ou possède d’autres types d’investissements, l’objet social de la compagnie étrangère qui est d’agir en tant que holding et société d’investissement, la preuve d’un intérêt assurable pour la structure étrangère sur l’assuré, la compagnie étrangère doit être désignée en tant qu’un des bénéficiaires de l’assurance etc.

Il est important de mentionner que les grands cabinets d’avocats au Brésil ont confirmé que, jusqu’à maintenant, aucune loi, aucun règlement ou précédent faisant autorité ne permettent à la SUSEP d’utiliser l’approche privilégiant le fond par rapport à la forme pour interdire des accords légitimes et des structures régies par le droit de territoires étrangers. En outre, au cours de leurs recherches sur les jurisprudences administrative et judiciaire, aucun n’a pu trouver la moindre décision interdisant une structure similaire, impliquant une entité légale étrangère ou un étranger qui aurait souscrit une assurance étrangère aux termes de laquelle un résident brésilien est l’assuré ou le bénéficiaire.

 

Quels sont les critères à remplir pour être qualifié de police d’assurance-vie au Brésil ?

Sachant que le contrat d’assurance en unités de compte est un contrat international courant en dehors du Brésil, il est important de le comparer avec la conception brésilienne de l’assurance afin de définir les conséquences fiscales et juridiques brésiliennes.

Nous devons insister sur le fait que de telles polices d’assurance hybrides proposées traditionnellement par les compagnies d’assurances basées au Luxembourg ne sont pas communes au Brésil. Au Brésil, le secteur de l’assurance-vie est dominé par les produits d’assurance-vie temporaires (dont la validité peut être d’un an et qui ne permettent pas de capitaliser) ou de produits d’épargne retraite tels que les VGBL (“Vida Gerador de Benefícios Livres”- qui, pour des raisons fiscales, sont considérés comme des assurances-vie). C’est pourquoi, il est primordial de proposer une solution répondant au statut juridique de l’assurance-vie au Brésil afin d’éviter que les autorités fiscales brésiliennes ne requalifient les actifs financiers en revenus générés par un investissement financier étranger.

Les dispositions du Code civil brésilien définissent le contrat d’assurance comme un contrat aux termes duquel la compagnie d’assurances est tenue de couvrir les intérêts du bénéficiaire au titre des risques assurés liés à des personnes ou à des objets, en contrepartie du versement d’une prime. En outre, pour être considéré comme une assurance-vie, le contrat doit garantir le versement d’une indemnisation au titre d’événements futurs et imprévisibles et intégrer une couverture importante du risque de décès qui confirme la nature d’une assurance-vie.

Aussi, si le contrat est conçu sur la base des exigences mentionnées ci-dessus, les produits perçus par les bénéficiaires brésiliens devraient être considérés comme des indemnisations aux termes du droit brésilien.

 

 

Les conséquences de la fiscalité brésilienne

Une fois le statut d’assurance-vie acquis, il est nécessaire d’évoquer les conséquences fiscales éventuelles qui pourraient exister au Brésil.

En cas de décès, le Code civil brésilien prévoit que les prestations décès ne soient pas considérées comme la succession du défunt. C’est pour cette raison que les bénéficiaires brésiliens devraient percevoir ces prestations juste après le décès de l’assuré sans que cela n’implique de procédure de succession internationale. Le délai de règlement ne doit pas dépasser un mois à compter de la date à laquelle la compagnie d’assurances a reçu l’intégralité des documents nécessaires au versement.

D’un point de vue fiscal, ces montants ne seraient pas assujettis à des droits de donation/succession puisque l’événement déclencheur est le transfert de propriété ou de droits résultant de la succession ou de la donation et non une indemnisation au titre d’une assurance-vie. De plus, le Code des impôts brésilien stipule que le capital figurant dans un contrat d’assurance-vie versé à un résident brésilien en qualité de bénéficiaire est exonéré de l’impôt sur le revenu. En outre, les autorités fiscales brésiliennes ont déjà reconnu, en vertu d’une décision, que cette exonération s’applique également aux contrats d’assurance-vie souscrits à l’étranger tant que les caractéristiques obligatoires des contrats d’assurance au Brésil sont respectées à la lettre. Ainsi, si le contrat a été rédigé en bonne et due forme, les prestations décès versées aux bénéficiaires brésiliens ne doivent pas être soumises à des droits de donation et de succession et sont exonérées de l’impôt sur le revenu.

Dans le cas de montants découlant de rachats ou de créances à échéance, puisque le Brésil n’impose pas aux individus de règles relatives aux sociétés étrangères contrôlées, l’imposition ne serait déclenchée qu’une fois les dividendes distribués à l’actionnaire ou la réduction du capital ou la liquidation de la structure à l’étranger. Dans le cadre du premier scénario, l’impôt sur le résultat serait prélevé à hauteur de 27,5%. Dans le cadre du second scénario, les individus doivent évaluer les plus-values obtenues et les soumettre à une imposition progressive allant de 15 % à 22,5 %.

Compte tenu des réglementations en vigueur au Brésil en matière de contrôle des changes, les virements effectués à l’intérieur et à l’extérieur du territoire déclencheraient une imposition au titre de la taxe sur les transactions financières. En règle générale, les clients donnent aux compagnies d’assurances l’instruction de déposer les produits sur leurs comptes bancaires à l’étranger. Si les individus souhaitent rapatrier ces fonds au Brésil, un accord sur le contrôle des changes de devise devrait alors être conclu avec une banque brésilienne pour permettre le retour des fonds disponibles de l’étranger (« retorno de disponibilidade »), ce qui impliquerait alors une imposition de 0,38 % au titre de la taxe sur les transactions financières.

 

Les évolutions de la fiscalité brésilienne

Il convient de souligner que le Brésil est une juridiction qui n’impose pas aux individus les règles relatives aux sociétés étrangères contrôlées et qui n’a pas non plus adopté le principe privilégiant le fond par rapport à la forme. En ce sens, il existe de nombreuses opportunités à explorer en matière de planification fiscale et les Brésiliens structurent majoritairement leur patrimoine via des sociétés d’investissement situées dans des paradis fiscaux. Malgré le manque de volonté politique d’adopter la législation nécessaire, les autorités fiscales brésiliennes prennent de plus en plus pour cible les structures étrangères. Il est donc important d’examiner de quelle manière les autorités administratives et judiciaires interprètent et autorisent les solutions de planification fiscale.

Jusqu’à récemment, les limites de la planification fiscale se fondaient sur le principe de légalité (limites négatives de conduite). Néanmoins, les autorités fiscales ont commencé à imposer l’existence de restrictions supplémentaires concernant l’objet de l’activité (limites positives de conduite) afin de combler les lacunes juridiques. Elles commencent donc à se distancier d’une analyse exclusivement fondée sur la formalité exigée par la législation pour privilégier le fond par rapport à la forme, une approche en vertu de laquelle la forme juridique d’une transaction donne lieu à un prélèvement en fonction de sa réalité économique. En ce sens, si une transaction est menée de manière discutable du fait de son caractère artificiel dans un contexte d’évasion fiscale, les autorités fiscales locales pourraient avoir des motifs de la contester.

Afin de se préparer à ce changement de paradigme, nous conseillons fortement à nos clients de tenir compte de la pertinence de l’objet de l’activité et de la réalité économique lorsqu’ils conçoivent des solutions visant à structurer un patrimoine à long terme.

 

N’hésitez pas à prendre contact avec nous si vous souhaitez que nous vous aidions à trouver une solution pour votre patrimoine.

  Taïza Ferreira

 

L’expatrié britannique et l’ «Offshore Bond»

Depuis l’annonce du Brexit, un nombre croissant de Britanniques s’empressent d’obtenir un permis de résidence en dehors du Royaume-Uni ; une tendance, qui semble-t-il, n’est pas seulement limitée aux retraités désireux de prendre leur retraite au soleil. Au contraire, les moins de 55 ans et les Millenials regardent eux aussi vers le Vieux Continent, à la recherche d’un meilleur style de vie, d’un coût de la vie plus faible et d’une plus grande liberté financière.

Indépendamment de l’âge et des motivations, une planification transfrontalière efficace est essentielle pour une expatriation réussie. Par ailleurs, les clients mobiles sur le plan international ont besoin que leurs investissements soient portables et fiscalement efficaces et que leurs plans patrimoniaux s’exécutent sans entraves.

Un investissement en particulier paraît offrir toutes ces caractéristiques, sans pour autant faire appel à des montages compliqués ni s’accompagner d’une administration pesante: l’ « Offshore Bond ».

 

L’ « Offshore Bond »

L’ « Offshore Bond » est un produit d’investissement assurantiel (« wrapper »), qui offre au preneur d’assurance une gamme diverse d’options d’investissement ainsi que la flexibilité de s’adapter aux changements des situations individuelles, comme le pays de résidence et les attitudes face au risque.

Ce contrat bénéficie d’une large reconnaissance dans le monde entier, contrairement à d’autres structures patrimoniales comme les trusts, et le droit ainsi que les réglementations qui lui sont applicables sont plus simples en comparaison, ce qui en fait une solution de gestion de patrimoine portable efficace.

 

Avantages

L’«Offshore Bond» comporte également un certain nombre d’avantages fiscaux et possède notamment la particularité de ne pas produire de revenus. Il bénéficie donc d’un report d’impôt (« gross roll up ») complet jusqu’à son rachat (ou tout autre fait générateur de taxe), date à laquelle il deviendra assujetti aux règles de l’impôt sur le revenu du pays de résidence du preneur d’assurance. Cette caractéristique unique peut donner au preneur d’assurance une flexibilité et un contrôle sans précédent, afin de déterminer quand et où il s’acquittera d’un impôt sur l’«Offshore Bond». Des arbitrages peuvent être effectués vers les fonds sous-jacents sans impôt sur les plus-values. En résumé, l’«Offshore Bond», en plus de bénéficier d’un report d’impôt, n’est pas assujetti à l’impôt sur les plus-values.

Il constitue également un outil de planification patrimoniale efficace. En fonction du pays de résidence du preneur d’assurance, il est possible de réaliser des cessions par le biais d’une donation, de détenir l’«Offshore Bond» dans un trust ou de souscrire un contrat de capitalisation qui peut être transmis à la génération suivante.

 

 

Expatriation

Cet outil de succession et de planification patrimoniale peut également se révéler utile en cas de déménagement à l’étranger, par exemple, en Espagne, où une communauté importante de citoyens britanniques réside principalement dans les zones de bord de mer. Comme au Royaume-Uni, l’Espagne a mis en place un cadre fiscal, légal et réglementaire spécifique autour de l’ « Offshore Bond », qui est pleinement respecté par les assureurs et les investisseurs, afin d’assurer que le produit est conforme, efficace et en ligne avec les objectifs convenus au début de la planification.

À cet égard, il convient de mentionner que de nombreux expatriés rencontrent des difficultés avec leurs « Offshore Bonds » pendant qu’ils résident en Espagne et que les tribunaux locaux ont à plusieurs reprises rendu des décisions sur ces produits favorables aux demandes des investisseurs. Par exemple, l’une des dernières affaires en date concernait un assureur offshore qui n’était pas dûment agréé pour distribuer ses produits sur le territoire espagnol et aux résidents espagnols (au nombre desquels figurent les expatriés britanniques résidant en Espagne).

Chez OneLife, nous savons que les « Offshore Bonds » doivent être pleinement conformes aux différents pays dans lesquels nos clients résident. Pour cette raison, nous travaillons avec des avocats aptes à exercer sur les marchés locaux, pour personnaliser nos « Offshore Bonds », afin de garantir leur conformité dans les juridictions concernées. Les expatriés britanniques déménageant à l’étranger ne font pas exception, puisque OneLife offre la solution la plus adaptée et conforme au cas par cas, notamment en tenant compte des critères de résidence et de nationalité. Par ailleurs, OneLife met à la disposition de sa clientèle d’expatriés britanniques une gamme complète de services, qui comprennent une équipe des ventes, des fiscalistes, des experts juridiques ainsi que des chargés de clientèle anglophones.

 

Retour au Royaume-Uni

Si au bout d’un certain temps, un expatrié britannique décide de revenir au Royaume-Uni, il lui sera possible de retirer chaque année 5 % sur la base d’un report d’imposition et de bénéficier d’un abattement en fonction du temps écoulé au moment du rachat. Cet abattement assure qu’au moment du rachat, l’ « Offshore Bond » est uniquement soumis à l’impôt sur le revenu britannique en fonction des jours de résidence au Royaume-Uni au cours de la durée de vie du contrat.

Nous offrons une expertise juridique, des contrats personnalisés et un soutien complémentaire lorsque le client s’expatrie, afin de garantir que l’ « Offshore Bond » reste conforme d’un pays à l’autre.

 

Pour de plus amples informations sur ce thème, contactez nos experts.

 Stacy Lake

 

#Réussir sa #Succession : 2ième partie – Voici la famille Alvarez

Nos enquêtes sur les personnes fortunées montrent que 68 % des Européens de cette catégorie recherchent des produits d’assurance-vie comme moyen d’assurer la sécurité financière de leur famille, tandis que 24 % considèrent qu’il s’agit d’un moyen fiscal efficace de structurer leurs actifs.

Alvarez se classe dans les deux catégories. Sa récente promotion l’oblige à déménager de l’Espagne au Portugal pour créer une nouvelle agence d’exploitation. Bien qu’il s’agisse d’une occasion passionnante, elle l’a incité à réfléchir à la manière d’assurer l’avenir de son fils Juan, ainsi que de Margareth, la petite amie de Juan qui habite à Londres. Il tient également à s’assurer que ses actifs soient protégés au moment où son divorce est finalisé.

Manel a décidé de se séparer sa femme et est en train de divorcer. Étant donné que sa relation avec sa future ex-femme n’est pas amicale, il veut privilégier son fils et la copine de son fils comme héritiers directs sans que la mère de Juan ne fasse partie du plan. La flexibilité d’une police luxembourgeoise lui permet de définir les bénéficiaires en ligne directe avec les souhaits du preneur de police, de sorte que Manel pourra choisir de protéger ses proches comme il le décide.
La solution OneLife est axée sur une police mixte de mort et de survie. Cela apporte un certain nombre d’avantages dans les domaines de la transférabilité, de l’efficacité fiscale, du transfert d’actifs et de l’autonomie quant au choix des bénéficiaires.)

La création d’un plan d’assurance-vie pour la famille Alvarez comporte beaucoup d’éléments variables : les répercussions fiscales et la gestion du transfert d’actifs entre les juridictions en font partie. L’assurance-vie luxembourgeoise combine une approche très adaptée à la planification du patrimoine avec des niveaux élevés de protection des actifs. Ainsi, le détenteur du contrat peut être certain que son patrimoine soit transféré exactement de la manière qu’il l’entend. S’assurant que la solution s’adapte au cas spécifique, cela crée de la complexité. L’équipe internationale d’experts de OneLife a une longue expérience et un grand savoir-faire en matière de structuration du patrimoine pour les HNW et leurs familles.

= > Pour savoir comment nous avons navigué sur les aspects complexes de la politique d’assurance-vie d’Alvarez, cliquez =>  ici !

Et téléchargez notre Checklist pour la Succession => ici!

 

Source: OneLife & Scorpio Partnership

 

Taux d’intérêt à la hausse : une menace ?

La hausse des taux d’intérêt est une crainte pour les investisseurs depuis quelques années maintenant, sans que elle se soit réellement manifestée dans les mouvements de marché. Cette année, nous avons constaté des taux à la hausse, comme on pouvait s’y attendre des niveaux de départ très bas.

Faisons le point.

 


Surtout aux Etats-Unis, où les taux à 10 ans ont bougé de 2.40% fin 2017 vers 2.86% à la fin du mois de mai, avec un pic intermédiaire à 3.11%, ce qui fait tout de même une amplitude de 0.71% en 5 mois, nous avons vu de la volatilité, mais avec une tendance claire, et probablement pas terminée, à la hausse. Le marché prévoit en effet encore 3 ou 4 hausses des taux courts par la Federal Reserve cette année. Celles-ci auront inévitablement une influence sur les taux longs, même si une partie sera absorbée par un considérable aplatissement de la courbe (indiquant que la différence entre les taux à court terme et ceux à long terme diminue). La plupart des investisseurs en taux américains semblent actuellement positionnés dans des avoirs à durée plutôt courte, ou à taux variables, qui pourraient même profiter d’une hausse graduelle des taux. Les indices de référence qui ont tendance à avoir une durée très longue, ont probablement beaucoup plus souffert que les portefeuilles réels.

L’image est différente au coeur de l’Europe : le taux 10 ans sur le Bund allemand débuta l’année à 0.43%, monta ensuite de façon assez impressionnante vers 0.77% début février, avant de redescendre doucement vers des niveaux entre 0.50% et 0.60%. Mais à partir de mi-mai, sous l’influence de la fuite vers les valeurs de qualité des investisseurs inquiétés par les aléas de la politique italienne, la chute fut vertigineuse et eut pour résulta un niveau plus bas qu’en début d’année : 0.34%.

Comme il y a bon nombre de gérants de portefeuilles qui les utilisent pour améliorer leur rendement de base, nous ne pouvons laisser hors considération les taux dits “périphériques”, surtout représentés par la dette souveraine italienne. Le taux 10 ans sur ces BTP (Buoni del Tesoro Poliennali – bons du Trésor poly-annuelles) a suivi un tout autre parcours : juste au-dessus des 2% en début d’année, il resta plutôt stable jusque mi-mars, pour ensuite descendre vers 1.72% à la mi-avril. A partir de la deuxième semaine de mai, c’est la politique qui a commencé à donner le ton et le taux 10 ans monta comme une fusée vers 3.16%, pour finalement terminer le mois à 2.80%.

Pour être complet : les obligations étatiques japonaises, même si en quantité elles forment un marché énorme, ne sont que très rarement utilisées par nos plus importants gérants, à cause du niveau microscopique de leurs rendements. Le taux 10 ans japonais était à 0.05% en début d’année, doubla vers 0.10% avant de retomber vers 0.04% à fin mai. Pas vraiment un investissement d’intérêt pour des investisseurs non-japonais.

Maintenant regardons ce qu’a été l’influence de ces changements dans les taux sur les portefeuilles réels de nos clients. Nous avons pris en considération le top 8 des fonds flexibles dans notre gamme de fonds externes, afin d’avoir une vue diversifiée sur ce que différents types et styles d’allocateurs et de gérants flexibles ont pu faire sur les 5 premiers mois de l’année.

 

Qu’est-ce que ces chiffres et surtout le timing des plus hauts et plus bas, peuvent nous apprendre sur la corrélation avec les taux d’intérêts ? Assez surprenant, il semblerait y avoir une corrélation presque négative entre la plupart des fonds flexibles et les prix des obligations souveraines allemandes, même si leurs portefeuilles sont souvent largement investis en instruments de type obligataire.

Les pics observés vers fin janvier (sur 6 des 8 fonds) coïncident avec les taux les plus élevés sur les 10 ans allemands depuis le début d’année. Cela est probablement la conséquence de l’extrême confiance qui régnait sur les marchés à ce moment, augmentant les chances que les banques centrales se dirigent vers des taux plus hauts puisque les économies pouvaient se le permettre sans trop de soucis. Mais au moment où cet appétit pour le risque chute, pour n’importe quelle raison, nous voyons 2 phénomènes : les marchés pensent que les banques centrales pourraient diminuer le rythme de hausse des taux pour éviter de trop freiner l’économie, combiné à un retrait des investisseurs, délaissant les actifs à risque comme les actions pour se replier sur des valeurs sûres comme la dette allemande. Les 2 phénomènes feront évidemment baisser les taux longs.

De nos jours par contre, les portefeuilles ne sont pas forcément investis comme les indices de référence : nous observons beaucoup plus de risque de crédit, que ce soit en dette d’entreprises ou de pays périphériques, qu’en benchmarks d’obligations souveraines standards. Et la durée aussi est très différente dans les portefeuilles, comparé aux grands indices obligataires. Personne ne semble oser investir dans la partie très longue de la courbe, là où une petite erreur de jugement sur l’évolution des taux peut avoir de lourdes conséquences sur les performances.

Un domaine où quelques fonds semblent malheureusement montrer plus de corrélation fut la débâcle politique italienne. Plusieurs de nos partenaires en fonds, surtout français, étaient assez largement exposés au différentiel de taux italiens. Résultat : des portefeuilles en chute libre pendant la seconde quinzaine de mai, pendant laquelle les marché actions rétrogradaient également en réaction à la nervosité sur fond de politique italienne.

 

En conclusion nous pouvons constater que même pour des portefeuilles qui ont souvent une exposition maximale à hauteur de 50% aux actions, les performances sont aujourd’hui beaucoup plus en ligne avec celles des indices boursiers qu’avec les benchmarks obligataires. Le fait que les gérants ne sont plus prêts à tenir de grandes positions en longue durée sur du papier “core” européen comme ils le faisaient il y a 10 ans, les protègera d’un côté des effets négatifs que pourrait avoir une hausse des taux.
D’un autre côté, leurs portefeuilles ne pourront pas bénéficier de l’effet d’amortissement du risque qu’ils montraient auparavant, quand les actifs à risque, y inclus les crédits et les dettes périphériques qui semblent aujourd’hui prendre une place importante dans les poches non-actions, commenceront à souffrir d’une aversion aux risques qui regagne les marchés.
Pour l’année en cours il semblerait que les gérants disposant des plus grands budgets de risque en termes de volatilité, aient le mieux tiré leur épingle du jeu, réalisant de meilleurs rendements par un timing actif de leur allocation au risque. Mais il faut avoir l’estomac solide pour subir une volatilité nettement plus prononcée et des chutes intermédiaires parfois violentes.
Les gérants plus prudents dans la maîtrise du risque, qui s’appuient plus sur les parties non-actions de leurs portefeuilles, pourraient éprouver des difficultés à réaliser de bons rendements dans des marchés instables surtout quand la nervosité soudaine s’attaque aux deux parties de leur allocation.

 

Vous voulez en savoir plus sur les investissements ? N’hésitez pas à nous contacter.

   Ruben De Roover

 

 

 

Choisissez la Vie. Choisissez le Luxembourg.

 

Les sociétés d’assurance-vie ont elles aussi trouvé leur place au Luxembourg et se sont spécialisées dans les contrats d’assurance-vie liés aux fonds d’investissement, des produits qui offrent aux clients la combinaison de la couverture vie et la perspective de rendements financiers. Les contrats d’assurance-vie sont souvent liés à des fonds dédiés, des instruments qui sont de plus en plus utilisés aujourd’hui dans le secteur de la gestion de patrimoine.

Luxembourg est le premier centre bancaire privé de la zone euro et le second plus grand centre de financement au monde. Sa stabilité sociale, économique et politique en font un centre névralgique idéal pour les investisseurs privés et institutionnels du monde entier.

Avec la flexibilité et la portabilité géographique comme caractéristiques principales d’une police d’assurance-vie, c’est un moyen idéal pour les HNWI et leurs familles de gérer, préserver et transmettre leur richesse de génération en génération.

Grâce à son leadership transfrontalier sur la scène européenne et à son expertise étendue, le Luxembourg offre un soutien inégalé en termes de développement de solutions globales couvrant plusieurs juridictions tout en anticipant la mobilité potentielle des clients à l’avenir.

 

 

De plus, les contrats luxembourgeois en unités de compte incorporent une gamme complète d’actifs traditionnels et non traditionnels, depuis les actions, les obligations, les instruments du marché monétaire jusqu’à l’immobilier, au capital privé, aux produits dérivés et à la titrisation. Ils permettent aux clients d’atteindre des stratégies entièrement personnalisées en termes de protection et de rendement en ces jours où les taux d’intérêt sont négatifs.

Le Luxembourg offre une sécurité maximale grâce à son régime de protection des titulaires d’assurance-vie. Son véritable fondement est l’exigence légale que les actifs de tous les clients soient détenus par une banque dépositaire indépendante agréée par le régulateur luxembourgeois, le Commissariat Aux Assurances (CAA). Cet arrangement est connu sous le nom de Triangle de Sécurité et assure la séparation juridique entre les actifs des clients et les actionnaires et créanciers de la compagnie d’assurance ainsi qu’un ‘super-privilège’ accordant la priorité au titulaire de la police en cas de défaillance. Ce cadre de protection est un critère essentiel pour les clients européens ainsi que pour un nombre croissant de clients internationaux provenant de pays moins stables et qui recherchent des juridictions plus sûres.

Alliant expertise internationale, protection et flexibilité, le Luxembourg offre clairement de multiples avantages aux investisseurs internationaux à la recherche de solutions sophistiquées de planification financière et patrimoniale dans un environnement transparent et sécurisé.

 

Visionnez notre dernière vidéo pour voir les multiples avantages des solutions d’assurance-vie du Luxembourg et comment OneLife peut vous aider.

 

 

Sales Navigator de LinkedIn – une mine de nouveaux clients !

OneLife aime conjuguer marketing traditionnel et marketing digital pour dénicher de nouveaux clients. LinkedIn est un outil particulièrement puissant, qui facilite la localisation de prospects de qualité, qui peuvent ensuite être exploités par l’équipe des ventes pour établir de nouvelles relations commerciales.

 

La nouvelle technique de vente passe par les réseaux sociaux! The OneLife Company prospecte grâce à LinkedIn Sales Navigator

 

Le saviez-vous ? En 2017, 30 % des nouvelles primes de contrats OneLife ont été collectées à l’aide de cette méthodologie, soit près du tiers des nouveaux clients localisés directement (et digitalement) sur LinkedIn ! Il s’agit d’une méthode de travail qui permet d’économiser du temps et de l’argent.

Plusieurs membres de l’équipe OneLife travaillant sur des marchés différents ont participé à cette étude : Nadine Baltus, Cécile Portes, Arnaud Mezergues, Bastien Perrine, Tarja Valkeinen et André Piovezan, sous la direction de Christophe Regnault, responsable du Marketing digital de OneLife.  Sales Navigator, qui repose sur le réseau et le processus de LinkedIn, a réellement contribué à réduire le cycle de vente et à créer de véritables opportunités commerciales. 

 

Qu’avons-nous accompli ? Nous avons le plaisir d’annoncer que OneLife est la première société de gestion de patrimoine au monde à entrer au « Hall of Fame » de LinkedIn, un classement par secteur des meilleures entreprises ayant recours aux techniques de vente modernes. OneLife est dès à présent reconnue par LinkedIn comme un expert en vente sociale et en génération de prospects aux côtés de sociétés aussi prestigieuses que Microsoft, Paypal, SAP … 

 

Comment y sommes-nous parvenus ? Le projet a été lancé en mars 2017 par Christophe Regnault, dans le cadre de son allocution à L’Apéro des Marketers au Luxembourg. Le sceau d’approbation du réseau LinkedIn est une marque forte, qui reconnaît que les actions mises en place avec l’outil Sales Navigator ont produit de réels résultats pour OneLife. La combinaison du réseau LinkedIn, d’Indicateurs Clés de Performance (ICP ou « Key Performance Indicators », KPIs en anglais) clairs et d’une équipe motivée, constitue une formule gagnante !

 

LinkedIn Sales Navigator Case Study OneLife

 

Voir => ici pour le lien vers le Case Study OneLife.

 

Antonio Corpas, Chief Executive Officer de OneLife : « Chez Onelife, nous constatons de visu les avantages que peut offrir l’intégration d’une dimension de vente sociale moderne aux techniques de vente plus traditionnelles. Le succès des solutions de vente LinkedIn réside dans la capacité à cibler des contacts qui ont un intérêt réel pour notre offre de services et donc à répondre rapidement et efficacement, de manière à pouvoir satisfaire leurs besoins ».

 

Christophe Regnault, responsable du Marketing digital chez OneLife : « Ceux qui pensaient que la vente moderne ne pouvait pas s’appliquer à la gestion d’actifs et à l’assurance-vie devront se rendre à l’évidence ! 30 % des actifs de OneLife en Europe proviennent de prospects obtenus via Sales Navigator. Si on applique ce résultat au reste de nos territoires, vous pouvez mesurer l’impact considérable de cette solution ! »

 

Et après ? Grâce à ces solides fondations, OneLife est maintenant prête à construire et à développer davantage cette dynamique pour les équipes de front-end chez OneLife ainsi que pour ses actionnaires.

Deux actions principales doivent être mises en œuvre :

  • continuer d’accroître le nombre de participants en interne, afin d’étendre progressivement la portée de la marque sur les principaux facteurs de différenciation de OneLife ;
  • intégrer davantage nos actionnaires, en organisant des ateliers externes avec nos partenaires, non seulement afin d’obtenir un effet multiplicateur et un alignement en termes de transmission de la portée de notre marque, mais également pour générer de la valeur à partir de nos prospects.

 

OneLife entend poursuivre son travail fondé sur les techniques de vente moderne et tient à féliciter toutes les personnes qui ont participé à cette expérience !

 

#Réussir sa #Succession : 2ième partie – Voici la famille Willems

Notre étude montre que dans toute l’Europe, deux tiers des personnes fortunées utilisent des produits d’assurance-vie – en particulier en France (78 %), en Allemagne (72 %) et en Belgique (71 %).

Les expatriés belges Andreas et Angela habitent au Royaume-Uni avec leurs deux enfants, Conran et Chloé. Or, devant l’imminence du Brexit, ils envisagent d’établir un plan d’assurance-vie. Pour préserver leur avenir, les Willems souhaitent vivement que leur nouveau plan comprenne un plan de succession intégré et soit totalement flexible en cas d’expatriation, une fois que leurs enfants achèveront leurs études et quitteront la maison.

 

La solution OneLife répond à ces objectifs en créant une police d’assurance-vie qui protège le conjoint survivant, consolide leurs actifs contre l’expatriation et atténue le niveau d’imposition applicable à leur contrat.

Il convient de réfléchir au fait qu’une police d’assurance-vie luxembourgeoise est une solution de planification du patrimoine reconnue sur le plan international qui place la protection, la flexibilité et le transfert efficace des actifs au cœur de sa proposition. Le solide régime du Luxembourg pour les assurés, son environnement financier et politique sûr et stable et ses notations de crédit AAA données par les agences de notation internationales de premier plan apportent la tranquillité d’esprit, car on peut être certain que son patrimoine est bien protégé, à long terme.

Vous souhaitez en savoir plus sur la solution OneLife pour la famille Willems? Cliquez ici!

 

Source: OneLife & Scorpio Partnership

 

#Réussir sa #Succession : 2ième partie – Gérer la succession pour les expatriés

D’après notre enquête, 60 % des personnes à revenu élevé au Royaume-Uni ont mis en place un plan pour la succession de leurs finances.

En dépit du statut d’expatriés de la famille Willems, originaire de Belgique, ils ne font pas exception à la règle. Bien qu’ils se soient installés au Royaume-Uni au cours des dernières années et qu’ils aient même commencé à le considérer comme un foyer loin de leur foyer, les récents développements politiques les ont fait réfléchir. A présent, avec la sortie imminente de la Grande-Bretagne de l’UE, ils explorent leurs options dont le contrat d’assurance-vie qui intègre la planification de la succession.

Toutefois, l’élaboration d’un plan qui protège toutes les parties concernées et qui a des capacités transfrontalières peut être une entreprise délicate. Les complexités impliquant le statut fiscal et le statut de domiciliation pourraient créer des situations auxquelles on ne s’attend pas dans ce qui devrait être une expérience de planification sans heurts.

 Voici la famille Williams Voici Andreas, 57 ans, et Angela, 55 ans, des expatriés belges. Les Willems mènent une vie confortable dans une zone résidentielle proche de Londres après s’y être installés il y a 12 ans avec leurs deux enfants, Conran, 18 ans, et Chloe, 16 ans.

Avec l’avènement du Brexit et les incertitudes qui en découlent, ils commencent à se demander ce que l’avenir pourrait leur réserver. Les modifications apportées aux règles de résidence au Royaume-Uni sont un autre facteur important dont ils doivent tenir compte. Andreas et Angela veulent veiller à ce qu’en tant que professionnels couronnés de succès, ils puissent conserver leur mode de vie et subvenir aux besoins d’enseignement supérieur de leurs enfants à mesure que ceux-ci atteignent l’âge universitaire. Avec un contrat d’assurance-vie luxembourgeoise et la flexibilité qu’il  apporte, ils peuvent être certains de ce que leur patrimoine est protégé et sera transféré à la prochaine génération de manière efficace, même s’ils devaient déménager dans un autre pays.

De quelle manière ?

Un certain nombre d’avantages entrent en jeu autour de:

1. Efficacité fiscale – la souscription d’un contrat d’assurance-vie luxembourgeoise avant de se domicilier au Royaume-Uni est un moyen efficace pour la planification de droits de succession.

2. Conseil en gestion de portefeuille – un contrat luxembourgeois permet de détenir un large éventail de placement collectif tels que des fonds OPCVM. Cela donne aux Willems la possibilité de détenir un portefeuille de placements diversifié dans le cadre de leur contrat d’assurance-vie, leur permettant de choisir leur profil de risque et de changer facilement d’un large éventail de fonds d’investissement à un autre.

3. Abonnement commun – si Andreas et Angela souscrivent le contrat d’assurance-vie, ils peuvent être assurés que le conjoint survivant reste protégé en cas de décès de l’autre conjoint. Au cas où aucun testament n’est établi, ou bien si le testament est nul dans leur nouveau pays de résidence, cela leur apportera une tranquillité d’esprit à l’avenir.

4. Portabilité du contrat d’assurance-vie – L’équipe d’experts de OneLife a une longue expérience d’aide aux clients pour gérer leur patrimoine de façon sûre et efficace. Même lorsqu’il s’agit d’expatriations uniques ou multiples vers d’autres pays pendant la durée de la police, celle-ci conserve sa conformité transfrontalière et reste suffisamment souple pour tenir compte de l’évolution des besoins des souscripteurs.)

 

Découvrez tout ceci et plus encore dans cette vidéo

Chaque situation familiale est unique, ce qui signifie que le contrat d’assurance-vie doit également être en mesure de tenir compte des circonstances et des besoins spécifiques des personnes concernées. Étant donné que davantage de personnes qu’auparavant se déplacent pour vivre et travailler dans d’autres pays, des facteurs tels que la transférabilité transfrontalière sont déterminants. Et tandis les situations familiales deviennent plus complexes, avec les enfants qui partent souvent à l’étranger pour étudier et travailler, trouver un outil de planification de la richesse suffisamment souple pour évoluer autour des besoins des membres de la famille est crucial. Au Luxembourg, un contrat d’assurance-vie est un moyen idéal de protéger, gérer et transférer le patrimoine de manière sûre et efficace.

= > Cliquez ici pour découvrir ce que la solution OneLife apporte à la famille Willems!

 

Source: OneLife & Scorpio Partnership