une solution de planification patrimoniale pour les investisseurs péruviens

L’assurance-vie en unités de compte comme solution de planification patrimoniale pour les investisseurs péruviens

Qu’est-ce qu’un contrat d’assurance en unités de compte ?

Un produit en « unités de compte » est un contrat d’assurance aux termes duquel le preneur assume l’intégralité du risque d’investissement des actifs financiers sous-jacents du contrat. En conséquence, dans le cas des produits « en unités de compte », les rendements des investissements ne sont pas garantis par la compagnie d’assurances, que ce soit à court, à moyen ou à long terme.

Ces produits permettent aux preneurs d’associer de manière efficace, les planifications financière, successorale et fiscale dans un seul et même contrat qui respecte par défaut le cadre juridique et fiscal du pays dans lequel le preneur réside afin d’éviter le risque de requalification juridique ou fiscal.

 

Quelles sont les principales caractéristiques d’un contrat d’assurance en unités de compte ?

Les principales caractéristiques d’un contrat d’assurance en unités de compte sont les suivantes :

 Preneur(s) d’assurance: investisseur qui souscrit, signe et verse la prime d’assurance. Peut être un particulier ou une entreprise.

  • Assuré(s) : élément de risque couvert par le contrat d’assurance. Peut être une ou plusieurs personnes.
  • Bénéficiaire(s) : particulier ou entreprise qui percevra l’indemnisation en cas de survenance de l’événement assuré.
  • Gestionnaire d’actifs : professionnel dûment agréé dans son pays d’origine afin de mener des activités de gestion de portefeuille. L’assureur peut confier au gestionnaire d’actifs la gestion des actifs financiers de manière discrétionnaire conformément aux termes du contrat d’assurance, sur la base de la stratégie d’investissement choisie par le preneur d’assurance lors de sa souscription.
  • Banque dépositaire : établissement financier qui fournit des services de dépôt au regard des actifs financiers détenus dans le cadre d’un ou de plusieurs contrats.

 

 

Quels sont les principaux avantages liés à la souscription d’un produit en unités de compte auprès d’un assureur luxembourgeois ?

Les principaux avantages liés aux contrats d’assurance en unités de compte émis par des assureurs luxembourgeois sont les suivants :

  • Protection des actifs : Les autorités luxembourgeoises, et plus spécifiquement le Commissariat aux Assurances (CAA) au Luxembourg, ont créé un régime spécifique aux termes duquel les actifs des preneurs d’assurance figurent hors bilan dans la comptabilité de l’assureur et de la banque dépositaire. En conséquence, en cas d’insolvabilité ou de faillite de l’assureur ou de la banque dépositaire, les actifs du preneur d’assurance sont totalement protégés des revendications des créanciers ordinaires.
  • Confidentialité : Les assureurs luxembourgeois et les professionnels qui y travaillent sont soumis à des règles strictes en matière de secret professionnel qui garantissent une confidentialité totale pour les preneurs et les possibles bénéficiaires.
  • Flexibilité de l’investissement : La législation luxembourgeoise en matière d’investissement offre une grande flexibilité quant au type d’actifs financiers dans lesquels la prime versée par le preneur d’assurance peut être investie. Il n’est pas rare de voir les gestionnaires investir dans des fonds alternatifs ou des fonds spéculatifs et du capital-investissement par l’intermédiaire de contrats d’assurance-vie luxembourgeois afin d’obtenir de meilleurs rendements.

 

À quel régime fiscal les produits en unités de compte sont-ils soumis pour les investisseurs péruviens ?

Lors de la souscription, l’impôt sur le revenu s’applique au taux effectif de 2,1 % sur les primes de risque, lorsque ces dernières sont payées pour couvrir des risques situés sur le territoire péruvien, concernent des résidents péruviens au moment de la signature du contrat, ou concernent des biens ou des actifs immobiliers situés au Pérou.

En cas de rachat total ou partiel, les plus-values résultant du contrat sont actuellement exonérées d’impôt sur le revenu au Pérou.

Il n’existe pas d’impôt sur la fortune ou sur les capitaux propres au Pérou. Par conséquent, la valeur du contrat ne sera pas imposée à ce titre, si ce dernier n’est pas détenu directement par un résident fiscal péruvien.

Concernant le produit d’un contrat d’assurance-vie versé à un bénéficiaire résident péruvien, notez qu’en principe, les prestations d’assurance prévues en cas de décès de l’assuré(e) seront exonérées d’impôts. Si le bénéficiaire ne réside pas au Pérou, notez bien que différentes impositions pourront s’appliquer aux montants perçus au titre de l’indemnisation, en fonction de la juridiction.

 

D’autres points à prendre en compte ?

Oui, afin d’éviter le risque de requalification juridique, il est fortement recommandé d’intégrer une couverture décès substantielle au produit.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les produits en unités de compte à destination des investisseurs qui résident au Pérou, n’hésitez pas à prendre contact avec nos représentants commerciaux :

LinkedIn_logo_Small José Manuel Tara, Regional Director Iberia & Latam, chez OneLife

LinkedIn_logo_Small Luis De La Infiesta, Regional Sales Director Iberia & Latam, at OneLife, chez OneLife

LinkedIn_logo_Small Gonzalo Garcia-Perez, Wealth Planner Manager for Iberia and Latam markets, chez OneLife

 

Autheur: Gonzalo Garcia-Perez

 

≠Réussir son ≠Expatriation: les attentes des NHW expatriés

Saviez-vous que la majorité des HNWI de moins de 35 ans souhaite pouvoir bénéficier d’une assurance-vie dans le cadre d’une proposition de gestion de patrimoine internationale ?

 

 

C’est l’un des services clés que les investisseurs européens attendent d’une proposition de gestion de patrimoine internationale.

Les banques en ligne arrivent en tête de la liste des envies des expatriés qui souhaitent gérer leur patrimoine depuis différents endroits. Les conseils fiscaux sont également importants pour les HNW mobiles qui peuvent se retrouver confrontés à un régime fiscal déroutant et souvent contradictoire selon les pays. Les gestionnaires de patrimoine doivent proposer des solutions qui allient les différences juridictionnelles et les priorités fiscales de leurs clients.

 

Pour en savoir plus : cliquez ici.

 

≠Réussir son ≠Expatriation: la réalité de l’expatriation

Le chemin qui mène à l’expatriation peut être long et semé d’embûches, mais les futurs expatriés ont souvent l’impression d’être parfaitement préparés à vivre pleinement leurs aventures à l’étranger.

 

Leurs attentes sont conformes aux expériences réellement vécues par leurs prédécesseurs qui ont déjà emprunté ce chemin.

 

49 % des futurs expatriés espèrent découvrir de nouvelles cultures et, en effet, 45 % d’entre eux confirment que leur déménagement leur a ouvert les portes d’un tout nouveau monde d’expériences culturelles !

L’osmose entre les espoirs et la réalité vécue par les HNW qui se sont expatriés montre bien que le parcours de l’expatriation peut être particulièrement enrichissant sur le plan du développement personnel et de la qualité de vie globale.

 

Pour en savoir plus sur la manière dont les HNW vivent leur parcours d’expatriation (ou de quelle manière ils pensent l’avoir vécu !), cliquez ici pour télécharger l’e-book sur le parcours de l’expatriation.

 

Indépendantisme en Europe et protection des épargnants ; les réponses pertinentes de l’assurance-vie souscrite conformément au principe de libre prestation de services

Même si l’Écosse a lancé un processus de consultation populaire dans un cadre constitutionnel et avec l’accord de l’État membre historique, d’autres mouvements tels que ceux qui existent en Catalogne se concentrent sur des campagnes politiques hors de tout cadre constitutionnel, allant à l’encontre des positions nationales et européennes, ce qui exacerbe l’incertitude juridique et l’instabilité financière.

 

Le contexte historique, le cadre juridique et le degré d’avancement de chacun de ces mouvements diffèrent. Il est pratiquement impossible de prédire quels scénarios s’appliqueront à ces politiques-fictions. À ce stade, il semble peu probable que les actuels mouvements indépendantistes puissent être viables hors de tout processus constitutionnel entériné par l’Union européenne et, par-dessus tout, hors de toute négociation avec l’État membre historique, ce qui impliquerait l’adhésion à l’Union européenne dans le sillage de cette prise d’indépendance.

 

Il est cependant intéressant de réfléchir aux normes qui s’appliqueraient et aux mécanismes qui pourraient être mis en place pour atténuer l’instabilité et l’incertitude juridique engendrées par ces phénomènes.

Notons que même si l’Union européenne n’a, en théorie, pas de rôle à jouer dans ces processus indépendantistes, la législation européenne continuerait de s’appliquer même après une sécession. De plus, certains principes et mécanismes préexistants au titre de la législation européenne peuvent contribuer à la protection des épargnants dépassés par l’incertitude d’une sécession. Cela est parfaitement illustré par les règles actuelles en matière d’assurance-vie conformément au principe de libre prestation des services dont le Luxembourg est devenu le spécialiste incontesté au sein de l’Union européenne

 

 

  1. La législation européenne devrait continuer à s’appliquer malgré les possibles sorties

(a) du fait de son principe de neutralité (2), si ces indépendances devaient fleurir dans l’Union européenne, son intervention n’a toutefois pas été prévue et elle doit :

(i) conserver une neutralité totale sur les questions concernant les relations politiques internes de chaque État membre,

(ii) s’assurer du respect de l’état de droit, c’est-à-dire la valeur cardinale de l’Union et, de ce fait, ne pas entériner ou donner effet à des initiatives contraires à l’ordre constitutionnel d’un État membre.

 

(b) L’indépendance effective d’un territoire n’entraînerait pas automatiquement son adhésion à l’Union européenne et cela constitue un autre paradoxe (tous les États membres doivent en effet voter à l’unanimité en faveur de l’intégration de ce nouvel État dans l’Union). Toutefois, 85 % de la législation de certains États membres (et donc des régions potentiellement sécessionnistes) sont issus de la législation européenne.

En conséquence, même si elles sont devenues indépendantes, ces nouvelles entités continueraient sans aucun doute à respecter cette législation par choix ou par nécessité, alors qu’il n’existe aucune garantie qu’elles soient membres de l’Union européenne (ou de l’Espace économique européen), surtout celles qui ont fait le choix de la sécession. L’adhésion à l’AELE (Association européenne de libre-échange) dont les membres appliquent également la législation européenne (pour les 4 principales libertés) pourrait également être une possibilité, mais une fois encore rien n’est garanti.

 

  1. Mécanismes de protection des épargnants dont les contrats ont été souscrits conformément au principe de libre prestation des services

Il est intéressant de constater que le droit européen contient des principes et des mécanismes abordant la question de la déstabilisation financière et de l’incertitude juridique engendrées par de telles indépendances, notamment en matière de protection des investisseurs-épargnants.

Cela vaut surtout pour les épargnants qui ont fait le choix de l’assurance-vie conformément au principe de libre prestation des services dont le Luxembourg est devenu le spécialiste incontesté au sein de l’Union européenne.

Même si les objectifs premiers de ces mécanismes n’étaient pas de remédier à l’instabilité associée aux conséquences d’une indépendance, ils n’en demeurent pas moins pertinents face à l’instabilité et à l’incertitude juridique liées à une indépendance qui indubitablement affectera non seulement la région sécessionniste mais aussi l’État historique, voire la zone géographique proche.

 

 

Les risques auxquels sont confrontés les investisseurs-épargnants résidant dans des régions sécessionnistes sont globalement doubles :

(i) le risque de déstabilisation financière des institutions bancaires situées dans la région indépendante ou dans l’État historique du fait de mesures (plus ou moins pérennes) de restriction de l’accès à leur épargne, des mesures que l’on désigne sous le nom de « corralito » en référence aux mesures strictes de restriction de l’accès aux liquidités mises en place par les autorités argentines en 2002 ou celles mises en place en Grèce en 2015. Ce risque s’accompagne d’un risque de conversion forcée des actifs dans une monnaie qui serait sans aucun doute fortement dévaluée.

À cet égard, la protection offerte par l’assurance-vie souscrite conformément au principe de libre prestation de services est remarquable :

L’un des atouts fondamentaux des contrats d’assurance-vie dans ce domaine est le fait que ces investissements sont moins susceptibles de faire l’objet de mesures de restriction de l’accès que les dépôts sur les comptes courants ou les comptes de titres des institutions bancaires.

En outre, dans le cas des contrats conclus conformément au principe de libre prestation des services, ces actifs ne sont pas situés dans le pays à l’origine de ce type de mesures mais sont la propriété d’assureurs implantés hors de la région indépendante ou de l’État membre historique. Cette double protection réduit le risque de voir ces contrats faire l’objet de telles mesures de restriction.

De plus, le rachat partiel des contrats d’assurance-vie peut être envisagé à l’égard des comptes de dépôt des preneurs d’assurance résidant dans l’Union européenne mais hors de la zone géographique touchée par la sécession (et, de préférence, auprès de banques qui n’ont pas d’activités ou ne sont pas agréées dans la région sécessionniste).

Les atouts plus spécifiques de l’assurance-vie luxembourgeoise :

  • bénéficient de la stabilité et de la fiabilité d’assureurs implantés au Luxembourg
  • désignent une banque dépositaire implantée dans un pays autre que le pays de résidence du preneur d’assurance (ou le pays d’origine ou la zone géographique proche qui pourrait être déstabilisée), ce qui offre des garanties de stabilité et de solidité
  • bénéficient de la ségrégation/du cantonnement des actifs qui figurent hors bilan dans la comptabilité de la banque
  • bénéficient d’une protection des actifs qui, en principe, ne peuvent pas faire l’objet de saisie, de gage forcé…

(ii) l’incertitude juridique importante engendrée par une sécession, puisque le nouveau cadre normatif en vigueur devrait soit être élaboré à partir de zéro soit, plus probablement, être créé en associant la législation européenne et de nouvelles mesures mises en place par la nouvelle entité indépendante.

Dans ce cas précis, l’assurance-vie offre également, conformément au principe de libre prestation des services, des solutions fiables :

Dans le cas des contrats d’assurance-vie souscrits conformément au principe de libre prestation des services, il pourrait être remédié à cette insécurité grâce à la possibilité offerte par le droit européen de choisir, comme droit applicable, le droit de la nationalité du preneur d’assurance. À l’origine créée pour protéger les travailleurs européens migrants, cette option (dès le départ ou en cas de sécession) permettrait indubitablement aux ressortissants de l’État membre continuant à résider dans la nouvelle entité indépendante de se voir appliquer des normes familières (l’exercice de cette option pendant la durée du contrat devrait être possible tant que les droits d’une tierce partie ne sont pas remis en cause, ce qui ne devrait pas être le cas lors d’un retour au droit applicable d’origine ou à tout droit similaire).

 

 

De plus, l’assureur-vie agissant conformément au principe de libre prestation de services reste soumis à la supervision de son organisme de régulation local et aux règles régissant l’éligibilité des actifs conformément au droit qui lui est applicable. Cela résout une grande partie de l’incertitude juridique engendrée par l’indépendance.

La possibilité est bien entendu offerte à l’entité indépendante d’invoquer la protection de son ordre public pour prendre des mesures plus restrictives (gel des actifs, saisies, etc.) qui sont susceptibles d’affecter les actifs, les contrats ou les comptes des épargnants, mais du fait de l’absence de reconnaissance internationale, cet ordre public ne pourrait probablement pas se matérialiser. En outre, il en résulterait sans aucun doute des recours en justice, surtout si ces mesures étaient pérennes et contraires à la protection des intérêts des épargnants.

Comme évoqué dans l’introduction, les mouvements sécessionnistes ont peu de chance d’aboutir s’ils n’interviennent pas dans le respect d’un cadre constitutionnel entériné par les pouvoirs publics locaux et l’Union européenne. Toutefois, lors de la souscription d’un contrat d’assurance-vie, il serait judicieux de réfléchir aux avantages que la réglementation et les mécanismes européens actuels peuvent apporter au preneur d’assurance en tant qu’épargnant en termes de stabilité financière et de sécurité juridique. Un contrat d’assurance-vie souscrit conformément au principe de libre prestation de services, dont le Luxembourg est le spécialiste incontesté, peut atténuer la majeure partie des risques engendrés par les velléités indépendantistes et, plus généralement, par les crises financières, l’instabilité politique et l’incertitude juridique que cela engendre à l’échelle locale.

 

 

Un article rédigé par LinkedIn_logo_Small Antonio Corpas, General Counsel chez OneLife.

 

 

(1) Les îles Féroé danoises ne font pas partie de l’Union européenne.

(2) Article 4 paragraphe 2 du Traité de l’Union européenne : L’Union respecte l’égalité des États membres devant les traités ainsi que leur identité nationale, inhérente à leurs structures fondamentales politiques et constitutionnelles, y compris en ce qui concerne l’autonomie locale et régionale Elle respecte les fonctions essentielles de l’État, notamment celles qui ont pour objet d’assurer son intégrité territoriale, de maintenir l’ordre public et de sauvegarder la sécurité nationale. En particulier, la sécurité nationale reste de la seule responsabilité de chaque État membre.

 

≠Réussir son ≠Expatriation: place à la nouveauté !

Les gestionnaires modernes de patrimoine doivent proposer plus qu’une simple relation forte à leurs clients. Pour les fidéliser, ils doivent disposer des connaissances précises leur permettant de répondre aux besoins et aux objectifs internationaux de leurs clients.

 

Nous avons constaté que ce sont plus particulièrement les personnes fortunés de moins de 35 ans qui sont les plus susceptibles de changer de gestionnaire de patrimoine en cas de départ à l’étranger. Absence de fidélité ?

Absence d’attachement ?

Pas forcément ! Beaucoup des membres fortunés de la génération Y ont tout simplement l’impression que leur gestionnaire dans leur pays d’origine ne sera pas en mesure de comprendre toute la complexité de leurs objectifs internationaux. Il est intéressant de constater que 65 % des Baby-Boomers expatriés ne changeront pas de gestionnaire de patrimoine. Ils pensent qu’une nouvelle relation créée à l’étranger ne sera jamais aussi forte que celle qu’ils ont actuellement.

 

Retrouvez les conclusions de notre toute dernière étude : «≠Réussir son ≠Expatriation: le parcours de l’expatriation.» 

 

≠Réussir son ≠Expatriation: l’esprit d’un HNW expatrié

Les besoins financiers d’un HNW évoluent en permanence en fonction de ses objectifs personnels. Si vous y ajoutez un départ à l’étranger, le mélange peut devenir détonant. Les gestionnaires de patrimoine doivent s’assurer qu’ils s’adaptent aux objectifs individuels et évitent ainsi d’adopter une approche universelle lorsqu’ils proposent des solutions à leurs clients.

 

Au cours de nos récentes études, nous avons identifié plusieurs personnalités types chez les individus fortunés. En comprenant les caractéristiques spécifiques, les traits de caractère et les objectifs financiers qui différencient un investisseur fortuné d’un autre, nous avons pu déterminer de quelles façons les gestionnaires de patrimoine peuvent fournir des solutions sur-mesure à toute leur clientèle.

 

 

 

 

Nous avons demandé à des investisseurs européens de quelle manière ils résumeraient leur dernière expatriation. Leurs réponses ont été à la fois positives et négatives.

Les HNW européens ont déclaré que leur déménagement à l’étranger avait été une expérience à la fois enthousiasmante, stimulante et audacieuse. En gardant bien ceci à l’esprit, quel ton les gestionnaires de patrimoine doivent-ils adopter dans la communication et quelles solutions spécifiques doivent-ils proposer afin de s’adapter aux obstacles auxquels les clients expatriés ne manqueront pas d’être confrontés à l’étranger ? Comment conserver la relation qui a été tissée avec les clients lorsqu’ils quittent leur pays d’origine ?

 

Plus d’informations dans les conclusions de notre étude… ici.

 

≠Réussir son ≠Expatriation: Ressenti des HNW face à l’expatriation

La décision de s’expatrier n’est pas facile à mettre en pratique, surtout sans l’aide d’un spécialiste.

Il faut tenir compte des aspects logistiques du déménagement, la planification financière, les répercussions fiscales et les conséquences sur les réseaux sociaux et professionnels. Pour certains, cela suffit à remettre en cause tout le projet d’expatriation !

 

 

Dans l’étude que nous avons récemment réalisée intitulée «≠Réussir son ≠Expatriation: le parcours de l’expatriation», nous avons demandé à des Européens fortunés qui se sont expatriés ou qui envisagent de le faire leurs véritables impressions sur l’idée de repartir à zéro dans un nouveau pays.

Ils s’accordent généralement pour dire que l’expatriation est une opportunité qui implique une certaine flexibilité. Alors que ceux qui envisagent un départ à l’étranger pensent que l’expatriation n’aura pas d’impact sur leur potentiel de création de richesses, les expatriés que nous avons interrogés étaient généralement plus fortunés que ceux qui n’étaient jamais partis.

 

Pour plus d’informations sur ce que pensent les expatriés fortunés, cliquez = >  ici.

 

« Coté, non coté » – la gestion de portefeuilles particulièrement diversifiés incluant des actifs non traditionnels

Les portefeuilles de placement sont actuellement à l’image des modes de vie souvent internationaux et complexes des HNW et de leurs proches. Les actifs non traditionnels tels que l’immobilier, le capital-investissement (réglementé ou non) et les instruments de titrisation à l’échelle internationale sont de moins en moins une exception et de plus en plus la norme en matière de gestion de patrimoine international.

 

OneLife réunit toutes les compétences nécessaires pour investir dans ces actifs non traditionnels et pour les valoriser dans le cadre d’un contrat d’assurance-vie en les intégrant à la solution de gestion de patrimoine international d’un client quel que soit le degré de diversification de son portefeuille. Cela a pour avantage d’offrir à nos clients et à leurs conseillers une vue d’ensemble claire sur un portefeuille regroupant à la fois des actifs traditionnels et non traditionnels.

 

Notre équipe dédiée d’experts en produits non cotés analyse soigneusement chaque actif d’un portefeuille pour bien s’assurer qu’il répond aux obligations fiscales et réglementaires en vigueur. La solide compréhension des questions juridictionnelles transfrontalières dont nous disposons nous permet d’évaluer les risques liés à tout un éventail d’actifs.

 

Cette approche s’inscrit parfaitement dans la stratégie de OneLife visant à proposer des solutions de gestion de patrimoine globales, flexibles et modernes à ses partenaires et à ses clients. L’expertise de OneLife est également renforcée par la réglementation luxembourgeoise en matière d’assurance qui non seulement autorise tout un éventail d’investissements sous-jacents dans des fonds internes mais met à jour et enrichit également l’arsenal des outils liés aux produits non cotés tels que les fonds d’assurance spécialisés (SPIF), une solution en autogestion, ainsi que d’autres structures. L’approche pragmatique adoptée par le régulateur offre des possibilités intéressantes et flexibles en matière de planification patrimoniale aux particuliers soumis à plusieurs législations fiscales en tenant compte des avantages et des risques potentiels que cela implique.

 

 

 

Les actifs non traditionnels étaient au programme du 10e Forum de l’investissement qui s’est tenu le 19 octobre à Bruxelles. L’édition spéciale organisée cette année a réuni plus de 550 visiteurs, 40 maisons de fonds… et a vu se tenir 38 séances de travail sur différents thèmes.

 

Anthony Lorrain, directeur des actifs non traditionnels, et Liana Aghabekyan, analyste des actifs financiers, de OneLife ont effectué une présentation devant un public international sur des thèmes d’actualité tels que Pourquoi l’assurance-vie luxembourgeoise est particulièrement adaptée aux produits non cotés ? Comment intégrer des actifs non traditionnels dans des contrats d’assurance-vie ? Produits non cotés dans des environnements réglementés et non réglementés : risques associés aux actifs non traditionnels.

 

OneLife est membre de la Luxembourg Private Equity & Venture Capital Association (#LPEA). Avec plus de 120 membres, la LPEA joue un rôle majeur dans la discussion et l’élaboration d’un cadre d’investissement et promeut activement le secteur au-delà des frontières nationales.

 

  Pour en savoir plus, merci de contacter Anthony Lorrain ou Liana Aghabekyan.

 

 

#Réussir son #Expatriation: motivation pour l’expatriation des HNW

Les Européens fortunés sont de plus en plus mobiles à l’international et plus d’un quart d’entre eux planifient déjà leur prochain déménagement. Malgré la généralisation des envies d’expatriation, les motivations spécifiques à chaque décision de déménagement à l’étranger sont diverses et variées.

Pour 37 % des expatriés HNW, l’évolution de carrière est le facteur déterminant, suivi de près par des considérations liées au mode de vie. Pour 42 % des femmes, l’épanouissement professionnel est important, tout comme la volonté d’offrir de meilleures opportunités à leurs enfants. À l’opposé, la principale motivation des hommes est une retraite plus confortable.

 

Les expatriés HNW n’envisagent pas leur expatriation seulement sur la base de considérations financières, les opportunités professionnelles et l’amélioration du mode de vie sont également à l’origine d’une telle décision. Il est donc primordial que les gestionnaires de patrimoine comprennent les expatriés HNW afin de leur proposer des services adaptés à leurs envies de départ à l’étranger.

 

Dans notre dernière étude, vous découvrirez les raisons qui poussent les Européens fortunés à déménager à l’étranger : ici.

 

 

#Réussir son #Expatriation : L’agenda de l’international

L’expatriation, que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles, peut être une période particulièrement stressante pour les particuliers fortunés (HNW). Notre dernière étude analyse leurs objectifs, leurs comportements et leurs attentes alors qu’un départ à l’étranger se profile à l’horizon. Leurs préoccupations et leurs sources de motivation sont diverses et variées et, pour la plupart, elles ne se bornent pas aux seules questions financières.

En cette période de grands changements, pour garantir l’efficacité des solutions de gestion du patrimoine, les prestataires de services financiers doivent adopter une approche globale impliquant la prise en compte de multiples facteurs financiers pour répondre à l’évolution des besoins des HNW. Face à ces attentes, les conseillers doivent éviter toute opinion préconçue en matière de conseils transfrontaliers.

Pour comprendre les complexités financières d’une expatriation, nous avons demandé à des Européens fortunés de nous parler de leur expérience en matière d’expatriation. Pour bon nombre d’entre eux, nouveau pays est synonyme de nouvelles opportunités. Plus de la moitié d’entre eux expliquent ainsi que l’ouverture d’un nouveau compte en banque était arrivée en tête de la liste de leurs priorités juste devant les questions d’ordre fiscal.

 

 

Vous souhaitez en savoir plus ? Préparez-vous à la publication de notre nouvelle étude sur les expatriés fortunés!