Faites connaissance avec la famille Leroux

Intéressons-nous à présent au cas d’André et Martine Leroux, mariés, un enfant, habitant dans le nord de l’Europe et nouveaux venus dans le monde des investissements dans le Private Equity. André, après avoir vendu sa part dans une FinTech, désire explorer certaines options d’investissement non traditionnels.

Le but est d’investir dans des actifs à haut risque et à fort rendement, capables de gagner beaucoup de valeur à moyen terme. L’une des priorités d’André et Martine est de créer un plan qui maximise leur patrimoine de manière efficace et personnalisée ; un plan qui soit conforme sur le plan fiscal dans plusieurs juridictions et qui garantisse l’avenir de leur enfant.

André et Martine désirent profiter au mieux de leur capital, tout en assurant un cadre structuré et sécurisé pour leur patrimoine. Ils veulent avoir la flexibilité nécessaire pour choisir la solution qui leur convient, tout en sachant que leur enfant pourra bénéficier des décisions qu’ils prennent aujourd’hui. Un contrat d’assurance-vie luxembourgeois fournit ce cadre, en proposant une approche hautement personnalisée qui s’accompagne de la sécurité et de la flexibilité des investissements. Le Private Equity est l’un des types d’actifs non traditionnels offerts par OneLife qui répond aux besoins des particuliers fortunés et de leurs familles.

Pour découvrir la solution utilisée par André et Martine, cliquez => ici !

Le Forum International de l’Investissement de OneLife : franchir les frontières pour les clients et les investissements!

Bruxelles. 18 octobre. 11ième Forum International de l’Investissement de OneLife.

Le Forum de l’Investissement est le grand événement organisé chaque année par OneLife. Il offre une tribune pour se constituer un réseau, pour échanger et pour débattre sur des thèmes et des tendances de premier plan touchant le secteur de l’assurance-vie en Europe. Le matin se tiennent des workshops sur les solutions transfrontalières et les actifs non traditionnels et l’après-midi, l’accent est mis sur les investissements traditionnels sous la houlette de maisons de fonds partenaires. Tout cela sur la thématique « Crossing borders for clients and investments! »

Cette année, le Forum a accueilli plus de 500 participants au Brussels Kart Expo avec la participation de quasi 50 exposants spécialisés dans les investissements (traditionnels et non traditionnels), tout un éventail de speakers issus des différents secteurs de l’industrie, ainsi que les équipes d’experts de OneLife… Les visiteurs ont interagi virtuellement et en face-à-face grâce à un Poken qui permet l’échange de coordonnées, le téléchargement de documents sur les fonds et l’évaluation de la qualité des workshops et des conférences, tout cela à l’aide d’une simple pression du Poken!

À propos du Forum de l’Investissement de OneLife

Concernant le Forum, Antonio Corpas, CEO de OneLife, déclare : « Ce Forum, qui en est maintenant à sa 11ème édition, doit son succès à son « ouverture ». Ouverture à l’échange, ouverture à ce qui touche notre industrie, ouverture au changement. La manière dont nous nous adaptons et travaillons avec nos partenaires dans un monde en constante mutation est prépondérante… » Ce Forum a été créé pour ses partenaires en Belgique, un marché sur lequel OneLife est leader et, ces deux dernières années, il a été ouvert aux marchés internationaux dans le sillage de la stratégie de la société, ce qui a ainsi permis la présence de participants originaires de plus de 10 pays différents ! Il offre l’opportunité de participer à une journée de rencontres, de réseautage et d’échange sur les enjeux majeurs auxquels font face les secteurs des services financiers et des assurances. Avec d’un côté, les partenaires de distribution de OneLife et de l’autre ses partenaires d’investissement, les thématiques suivantes ont été abordées: quels changements affectent notre industrie ? Comment y répondre ? Quelles opportunités offrent-ils ?

Planification patrimoniale transfrontalière

Après un mot de bienvenue d’Antonio Corpas, CEO de OneLife, le Forum a commencé par plusieurs workshops matinaux présentant les avantages de l’assurance-vie luxembourgeoise comme solution de planification patrimoniale transfrontalière. Grâce à sa flexibilité et des niveaux élevés de protection des investisseurs et de portabilité par-delà les frontières, un contrat d’assurance-vie est un moyen efficace de protéger, de préserver et de transférer le patrimoine de génération en génération. Du fait de la mobilité croissante des personnes fortunées et de leurs familles, la complexité de la fiscalité internationale et la diversité des actifs disponibles, trouver la solution idéale en matière de planification patrimoniale n’est pas toujours chose aisée. Les experts de OneLife, conjointement à des speakers de cabinets d’avocats internationaux, de gestionnaires d’actifs et de spécialistes des actifs non traditionnels ont évoqué tout un éventail de thématiques allant des possibilités offertes par les investissements dans l’immobilier, les solutions de planification patrimoniale (principalement les solutions Royaume-Uni-Espagne et France-Belgique-Portugal) et le marché paneuropéen de la dette.

Investissements traditionnels

L’après-midi, plus de 40 maisons de fonds ont présenté aux participants du Forum leurs stratégies, leurs modèles de répartition des actifs, leurs performances et leurs innovations dans de nombreux secteurs de l’industrie. Les workshops ont donné lieu à des débats et des échanges animés et ont permis d’arriver à la conclusion que la compréhension de la diversité et des possibilités offertes par les fonds d’investissement était la clé pour bien gérer les portefeuilles des clients. La volonté affichée par OneLife de réunir les principales maisons de gestion de fonds internationales pour une après-midi de réflexion a offert aux investisseurs une vision unique du monde de l’investissement et de ses dernières technologies et tendances. Des fonds externes peuvent être détenus sous la forme d’investissements sous-jacents dans des contrats d’assurance-vie et ces investissements contribuent à préserver et à faire croître le patrimoine sur le long terme.

Investissements non traditionnels

Cette année, OneLife a invité 8 gestionnaires d’actifs non traditionnels à participer au Forum. Ils ont ainsi pu évoquer l’attractivité croissante des catégories d’actifs non traditionnels tels que le capital-investissement, les investissements dans l’immobilier, les participations financières et la titrisation. Investir uniquement dans des actifs non traditionnels ou les associer à des actifs plus traditionnels tels que les participations, les obligations, les marchés monétaires et les actifs non cotés peut améliorer le rendement des portefeuilles et permet aux investisseurs d’avoir accès à tout un éventail de nouvelles catégories d’actifs. Investir dans des actifs non traditionnels est possible grâce à un contrat d’assurance-vie luxembourgeois. L’équipe d’experts en actifs non traditionnels de OneLife est leader sur le marché et peut vous apporter son assistance tout au long du processus d’intégration de ce type d’actifs dans un contrat d’assurance. Pour en savoir plus : #Réussir ses #Investissements.

Vers l’avenir de la distribution…

Le débat organisé par OneLife avait cette année pour thème « le Futur de la Distribution », c’est-à-dire les défis et opportunités auxquels l’industrie des services financiers est confrontée alors que la réglementation est de plus en plus stricte, la révolution digitale est en marche et des acteurs issus de nouvelles industries telles que la FinTech émergent.

Que signifient ces changements pour l’industrie et le modèle de services dans le futur et quelles sont les clés de la réussite dans un tel environnement ?

Dans un débat animé par Antonio Corpas, CEO de OneLife, trois speakers ont évoqué le futur de la distribution en s’appuyant sur leurs propres perspectives uniques :

  • Neil Browning, Executive Director – Saxo Bank

Neil Browning est responsable de la gestion des relations et des ventes numériques dans la région EMEA au sein de Saxo Bank. En 20 ans de présence dans l’industrie financière, Saxo Bank est devenue l’une des premières institutions financières à développer une plate-forme de trading en ligne offrant ainsi aux particuliers un accès aux mêmes outils et marchés que les professionnels.

  • Jean-François Chatelain, Associé fondateur – Family Partners

Jean-François Chatelain est le cofondateur de Family Partners, une multi-family office française, créée en 2011 et dédiée à l’accompagnement des familles fortunées. Il possède une solide expérience des UHNWI (Ultra-High Net-Worth Individuals – « ultrariches ») sur la scène internationale.

  • Marc Gouden, Associé – Philippe & Partners

Marc Gouden est Associé au sein du cabinet Philippe & Partners depuis 2005. Il y est chargé de la fourniture de conseils juridiques, d’une assistance dans le cadre de négociations de contrats ainsi que de conseils en contentieux dans le domaine du droit des affaires international et est spécialisé dans le secteur des assurances.

Sur la question de la réglementation, malgré le fardeau que cela constitue, les opportunités ne sont jamais bien loin. Marc Gouden constate par exemple le professionnalisme accru qui découle à la fois du renforcement de la réglementation et la baisse du nombre de contentieux du fait des informations plus nombreuses dans chaque dossier et du consentement explicite des investisseurs.

Les opinions de nos speakers sur l’impact de la transformation numérique ont été mitigées face aux nouveaux services offerts aux investisseurs par la plate-forme de trading de Saxo Bank à la pointe de la technologie alors que dans le monde des family offices, les documents papiers et les services physiques restent la norme.

Les speakers se sont entendus sur le fait que les nouveaux acteurs de la FinTech ont le potentiel pour créer de nouveaux services dans l’industrie de la gestion de patrimoine et qu’un équilibre entre les solutions traditionnelles et non traditionnelles pourrait donner naissance à des partenariats précieux à la fois pour les clients et les intermédiaires.

Merci à toutes celles et à tous ceux qui ont participé au Forum International de l’Investissement de OneLife cette année! Nous sommes impatients de vous revoir l’année prochaine!

Vivez le Forum International de l’Investissement de OneLife de l’intérieur grâce à notre => vidéo et à nos => photos !

Vous voulez en savoir plus sur les investissements ? Téléchargez notre => e-book #Réussir ses #Investissements et sa => checklist. Et découvrez de quelle manière les actifs non traditionnels peuvent vous aider à tirer le meilleur de vos investissements !

 

La famille Van Dewael opte pour la titrisation

La famille Van Dewael a travaillé dur pendant des décennies. À présent, elle est prête à investir son épargne dans des investissements moins traditionnels, comme les sociétés FinTech. Dans cette optique, leur gestionnaire de patrimoine leur a conseillé de souscrire un contrat d’assurance-vie et d’utiliser un véhicule de titrisation pour structurer efficacement leurs investissements et assurer leur portabilité d’un pays à un autre.

Grâce à cette solution personnalisée, Geert et Inge peuvent investir aussi bien dans des actifs non cotés que dans des actifs plus traditionnels.

Sa flexibilité est telle que Geert et Inge peuvent l’utiliser comme un outil de planification successorale et d’investissement intégré. Accessoirement, si le couple décide de prendre sa retraite à l’étranger, le contrat d’assurance-vie peut être personnalisé pour leur faire profiter d’avantages fiscaux. Ce facteur rentrera en ligne de compte lorsque les bénéficiaires recevront leur héritage, en leur permettant de bénéficier d’abattements sur les droits de succession liés au contrat d’assurance-vie.

Depuis plus 25 ans, OneLife fournit des solutions d’assurance-vie luxembourgeoises dont l’efficacité n’a encore jamais été démentie. Qu’il s’agisse de planification successorale, de portabilité internationale ou d’investissements dédiés, notre équipe d’experts est là pour trouver la meilleure solution adaptée à votre situation personnelle et familiale.

Pour en savoir plus sur la solution d’investissement utilisée par la famille Van Dewael , téléchargez notre e-book => ici et consultez notre Checklist des investissements = > ici !

 

Faites connaissance avec la famille Van Dewael

Geert et Inge s’intéressent tout particulièrement aux sociétés FinTech et souhaiteraient investir une partie de leur épargne pour soutenir la croissance de ces entreprises. Dans l’idéal, les investissements généreraient un rendement suffisant pour leur permettre de prendre leur retraite et de laisser un héritage confortable à leurs enfants.

Leur gestionnaire de patrimoine leur a conseillé de souscrire un contrat d’assurance-vie luxembourgeois et d’utiliser un véhicule de titrisation pour structurer efficacement leurs investissements. Ils ont ainsi la latitude de personnaliser la solution en fonction de leurs besoins et peuvent également multiplier les actifs investis, tout en isolant le risque. Pendant toute la durée du contrat, Geert et Inge seront non seulement en conformité sur le plan fiscal dans toutes les juridictions concernées, mais leurs enfants pourront également bénéficier d’un transfert de patrimoine fiscalement avantageux.


En optant pour la titrisation, il est possible de réaliser des investissements hautement personnalisés, combinés à un large éventail de permutations de rendement, de risque et de maturité. Le cadre réglementaire du Luxembourg offre une approche flexible et variée de la structuration de ces véhicules, ce qui signifie que l’investisseur peut cibler des transactions distinctes, tout en isolant le risque des actifs. Ce qui pouvait sembler complexe au départ se révèle au final assez simple.

Pour découvrir la solution utilisée par la famille Van Dewael, téléchargez notre e-book = > ici !

Introduction aux investissements non traditionnels

Le monde d’une personne fortunée peut à bien des égards être compliqué, qu’il s’agisse des questions de planification patrimoniale et successorale, de la gestion de la fiscalité à travers plusieurs juridictions ou ne serait-ce que pour concilier les aspects d’un mode de vie mobile. Pourtant, investir dans des actifs non traditionnels n’est pas aussi compliqué qu’il y paraît !

Avec la solution OneLife, les actifs non traditionnels peuvent être intégrés dans votre contrat d’assurance-vie et couvrir des investissements dans le Private Equity, l’immobilier, les véhicules de titrisation, les participations financières ainsi que la gestion du transfert de patrimoine à vos enfants.

* FIS = Fonds d’investissement spécialisé

RAIF = Reserved Alternative Investment Fund / FIAR = Fonds d’investissement alternatif réservé

SCS = Sociétés en commandite simple
SCA = Sociétés en commandite par actions

S.àr.l. = Société à responsabilité limitée
S.A. = Société anonyme

Étant donné les niveaux élevés de personnalisation et de flexibilité qu’offrent un contrat d’assurance-vie luxembourgeois, OneLife travaille avec vous afin de trouver la solution d’investissement qui vous convient le mieux. Celle qui vous permet de libérer votre potentiel de croissance et de diversifier votre portefeuille, le tout dans le cadre sécurisé de l’assurance-vie luxembourgeoise.


Les investissements non traditionnels peuvent également être combinés à des investissements traditionnels, et vous donner ainsi la possibilité de profiter d’un large éventail de classes d’actifs. Et si vous décidez de vous expatrier une ou plusieurs fois, la portabilité de votre contrat vous permet de répondre aux exigences internationales. Si vous souhaitez transmettre votre patrimoine à vos enfants selon les modalités que vous aurez définies, le faire fructifier tout en le protégeant et adopter un mode de vie mobile, un contrat d’assurance-vie OneLife est la solution idéale !

Pour découvrir comment vous pouvez investir dans des actifs non traditionnels, cliquez sur => ce lien!

Les contrats d’assurance-vie en unités de compte et les actifs non traditionnels

Saviez-vous que les contrats d’assurance-vie luxembourgeoise donnent accès à de vastes possibilités d’investissement ?

Ce qui signifie que vous pouvez définir votre propre plan d’investissement, comprenant des actifs traditionnels et non traditionnels tels que des fonds OPCVM, des fonds d’investissement alternatif, du Private Equity, de l’immobilier ou de la titrisation. Les actifs non traditionnels vous permettent de diversifier votre portefeuille, de minimiser votre risque et d’investir dans des actifs à plus haut rendement.

En fonction de vos passions et des entreprises dont vous souhaitez suivre la croissance rapide, vous pouvez choisir parmi des secteurs et des actifs qui vous intéressent particulièrement.

 Ceci dans un seul et même contrat d’assurance-vie OneLife – flexible, sécurisé, personnalisé!

 

Pour en savoir plus sur les avantages des actifs non traditionnels, => regardez notre vidéo!

 

 

Un résident brésilien peut-il détenir une assurance-vie étrangère ?

Les assureurs luxembourgeois se posent souvent la question de savoir si, d’un point de vue règlementaire, un résident brésilien peut détenir une assurance-vie étrangère. Nous pensons qu’il y a lieu de répondre à cette question de manière objective et de présenter le contexte règlementaire et les conséquences fiscales dans cette juridiction.

 

Le cadre règlementaire brésilien

La règle générale veut que les individus et les entités qui résident ou sont domiciliés au Brésil puissent uniquement souscrire des contrats d’assurance auprès de compagnies régies par le droit interne et immatriculées auprès de l’autorité de contrôle et de supervision du marché brésilien de l’assurance (SUSEP). Par conséquent, les compagnies d’assurances étrangères ne peuvent pas exercer, directement ou indirectement, d’activités de vente et de marketing au Brésil ni établir des contrats d’assurance avec des preneurs d’assurance qui résident sur le territoire brésilien. 

Ayant à l’esprit cette règle générale, la loi n’interdit pas que des non-résidents souscrivent une assurance à l’étranger au profit de résidents brésiliens. Sachant que le droit brésilien adopte le principe de légalité, aux termes duquel les individus et les entités sont autorisés à conclure des accords qui ne sont pas interdits par la loi, ce type d’accord devant être considéré comme un accord valablement conclu entre deux entités non brésiliennes dans le plein respect du droit de leur pays de résidence.

Dans ce contexte, de solides arguments justifient le fait qu’une entité étrangère, même si elle est contrôlée par des résidents brésiliens, puisse souscrire une assurance-vie aux termes de laquelle les assurés ou les bénéficiaires sont des résidents brésiliens. La loi brésilienne n’interdit pas cette situation puisque le résident brésilien ne souscrit pas une assurance-vie auprès d’une compagnie étrangère mais représente simplement le risque couvert par l’entité étrangère.

 

 

Il convient de garder à l’esprit qu’actuellement les autorités brésiliennes portent une attention accrue aux opérations réalisées par des structures étrangères au bénéfice de résidents brésiliens et qu’elles peuvent s’en désintéresser si elles considèrent que certaines de ces opérations sont des montages artificiels imaginés par des entités étrangères afin d’échapper aux restrictions imposées aux résidents brésiliens par les législation et règlementation locales.

Il convient donc de mettre en place une solution à la mesure des enjeux afin de réduire les risques de voir, par la suite, les autorités locales contester la structure proposée en privilégiant le fond par rapport à la forme. En ce sens, les assureurs étrangers devraient prendre en compte des facteurs tels que : la préexistence d’une structure dûment déclarée auprès des autorités brésiliennes qui n’a pas été constituée que dans le but de souscrire une assurance-vie, le fait que cette structure soit opérationnelle et/ou possède d’autres types d’investissements, l’objet social de la compagnie étrangère qui est d’agir en tant que holding et société d’investissement, la preuve d’un intérêt assurable pour la structure étrangère sur l’assuré, la compagnie étrangère doit être désignée en tant qu’un des bénéficiaires de l’assurance etc.

Il est important de mentionner que les grands cabinets d’avocats au Brésil ont confirmé que, jusqu’à maintenant, aucune loi, aucun règlement ou précédent faisant autorité ne permettent à la SUSEP d’utiliser l’approche privilégiant le fond par rapport à la forme pour interdire des accords légitimes et des structures régies par le droit de territoires étrangers. En outre, au cours de leurs recherches sur les jurisprudences administrative et judiciaire, aucun n’a pu trouver la moindre décision interdisant une structure similaire, impliquant une entité légale étrangère ou un étranger qui aurait souscrit une assurance étrangère aux termes de laquelle un résident brésilien est l’assuré ou le bénéficiaire.

 

Quels sont les critères à remplir pour être qualifié de police d’assurance-vie au Brésil ?

Sachant que le contrat d’assurance en unités de compte est un contrat international courant en dehors du Brésil, il est important de le comparer avec la conception brésilienne de l’assurance afin de définir les conséquences fiscales et juridiques brésiliennes.

Nous devons insister sur le fait que de telles polices d’assurance hybrides proposées traditionnellement par les compagnies d’assurances basées au Luxembourg ne sont pas communes au Brésil. Au Brésil, le secteur de l’assurance-vie est dominé par les produits d’assurance-vie temporaires (dont la validité peut être d’un an et qui ne permettent pas de capitaliser) ou de produits d’épargne retraite tels que les VGBL (“Vida Gerador de Benefícios Livres”- qui, pour des raisons fiscales, sont considérés comme des assurances-vie). C’est pourquoi, il est primordial de proposer une solution répondant au statut juridique de l’assurance-vie au Brésil afin d’éviter que les autorités fiscales brésiliennes ne requalifient les actifs financiers en revenus générés par un investissement financier étranger.

Les dispositions du Code civil brésilien définissent le contrat d’assurance comme un contrat aux termes duquel la compagnie d’assurances est tenue de couvrir les intérêts du bénéficiaire au titre des risques assurés liés à des personnes ou à des objets, en contrepartie du versement d’une prime. En outre, pour être considéré comme une assurance-vie, le contrat doit garantir le versement d’une indemnisation au titre d’événements futurs et imprévisibles et intégrer une couverture importante du risque de décès qui confirme la nature d’une assurance-vie.

Aussi, si le contrat est conçu sur la base des exigences mentionnées ci-dessus, les produits perçus par les bénéficiaires brésiliens devraient être considérés comme des indemnisations aux termes du droit brésilien.

 

 

Les conséquences de la fiscalité brésilienne

Une fois le statut d’assurance-vie acquis, il est nécessaire d’évoquer les conséquences fiscales éventuelles qui pourraient exister au Brésil.

En cas de décès, le Code civil brésilien prévoit que les prestations décès ne soient pas considérées comme la succession du défunt. C’est pour cette raison que les bénéficiaires brésiliens devraient percevoir ces prestations juste après le décès de l’assuré sans que cela n’implique de procédure de succession internationale. Le délai de règlement ne doit pas dépasser un mois à compter de la date à laquelle la compagnie d’assurances a reçu l’intégralité des documents nécessaires au versement.

D’un point de vue fiscal, ces montants ne seraient pas assujettis à des droits de donation/succession puisque l’événement déclencheur est le transfert de propriété ou de droits résultant de la succession ou de la donation et non une indemnisation au titre d’une assurance-vie. De plus, le Code des impôts brésilien stipule que le capital figurant dans un contrat d’assurance-vie versé à un résident brésilien en qualité de bénéficiaire est exonéré de l’impôt sur le revenu. En outre, les autorités fiscales brésiliennes ont déjà reconnu, en vertu d’une décision, que cette exonération s’applique également aux contrats d’assurance-vie souscrits à l’étranger tant que les caractéristiques obligatoires des contrats d’assurance au Brésil sont respectées à la lettre. Ainsi, si le contrat a été rédigé en bonne et due forme, les prestations décès versées aux bénéficiaires brésiliens ne doivent pas être soumises à des droits de donation et de succession et sont exonérées de l’impôt sur le revenu.

Dans le cas de montants découlant de rachats ou de créances à échéance, puisque le Brésil n’impose pas aux individus de règles relatives aux sociétés étrangères contrôlées, l’imposition ne serait déclenchée qu’une fois les dividendes distribués à l’actionnaire ou la réduction du capital ou la liquidation de la structure à l’étranger. Dans le cadre du premier scénario, l’impôt sur le résultat serait prélevé à hauteur de 27,5%. Dans le cadre du second scénario, les individus doivent évaluer les plus-values obtenues et les soumettre à une imposition progressive allant de 15 % à 22,5 %.

Compte tenu des réglementations en vigueur au Brésil en matière de contrôle des changes, les virements effectués à l’intérieur et à l’extérieur du territoire déclencheraient une imposition au titre de la taxe sur les transactions financières. En règle générale, les clients donnent aux compagnies d’assurances l’instruction de déposer les produits sur leurs comptes bancaires à l’étranger. Si les individus souhaitent rapatrier ces fonds au Brésil, un accord sur le contrôle des changes de devise devrait alors être conclu avec une banque brésilienne pour permettre le retour des fonds disponibles de l’étranger (« retorno de disponibilidade »), ce qui impliquerait alors une imposition de 0,38 % au titre de la taxe sur les transactions financières.

 

Les évolutions de la fiscalité brésilienne

Il convient de souligner que le Brésil est une juridiction qui n’impose pas aux individus les règles relatives aux sociétés étrangères contrôlées et qui n’a pas non plus adopté le principe privilégiant le fond par rapport à la forme. En ce sens, il existe de nombreuses opportunités à explorer en matière de planification fiscale et les Brésiliens structurent majoritairement leur patrimoine via des sociétés d’investissement situées dans des paradis fiscaux. Malgré le manque de volonté politique d’adopter la législation nécessaire, les autorités fiscales brésiliennes prennent de plus en plus pour cible les structures étrangères. Il est donc important d’examiner de quelle manière les autorités administratives et judiciaires interprètent et autorisent les solutions de planification fiscale.

Jusqu’à récemment, les limites de la planification fiscale se fondaient sur le principe de légalité (limites négatives de conduite). Néanmoins, les autorités fiscales ont commencé à imposer l’existence de restrictions supplémentaires concernant l’objet de l’activité (limites positives de conduite) afin de combler les lacunes juridiques. Elles commencent donc à se distancier d’une analyse exclusivement fondée sur la formalité exigée par la législation pour privilégier le fond par rapport à la forme, une approche en vertu de laquelle la forme juridique d’une transaction donne lieu à un prélèvement en fonction de sa réalité économique. En ce sens, si une transaction est menée de manière discutable du fait de son caractère artificiel dans un contexte d’évasion fiscale, les autorités fiscales locales pourraient avoir des motifs de la contester.

Afin de se préparer à ce changement de paradigme, nous conseillons fortement à nos clients de tenir compte de la pertinence de l’objet de l’activité et de la réalité économique lorsqu’ils conçoivent des solutions visant à structurer un patrimoine à long terme.

 

N’hésitez pas à prendre contact avec nous si vous souhaitez que nous vous aidions à trouver une solution pour votre patrimoine.

  Taïza Ferreira

 

L’expatrié britannique et l’ «Offshore Bond»

Depuis l’annonce du Brexit, un nombre croissant de Britanniques s’empressent d’obtenir un permis de résidence en dehors du Royaume-Uni ; une tendance, qui semble-t-il, n’est pas seulement limitée aux retraités désireux de prendre leur retraite au soleil. Au contraire, les moins de 55 ans et les Millenials regardent eux aussi vers le Vieux Continent, à la recherche d’un meilleur style de vie, d’un coût de la vie plus faible et d’une plus grande liberté financière.

Indépendamment de l’âge et des motivations, une planification transfrontalière efficace est essentielle pour une expatriation réussie. Par ailleurs, les clients mobiles sur le plan international ont besoin que leurs investissements soient portables et fiscalement efficaces et que leurs plans patrimoniaux s’exécutent sans entraves.

Un investissement en particulier paraît offrir toutes ces caractéristiques, sans pour autant faire appel à des montages compliqués ni s’accompagner d’une administration pesante: l’ « Offshore Bond ».

 

L’ « Offshore Bond »

L’ « Offshore Bond » est un produit d’investissement assurantiel (« wrapper »), qui offre au preneur d’assurance une gamme diverse d’options d’investissement ainsi que la flexibilité de s’adapter aux changements des situations individuelles, comme le pays de résidence et les attitudes face au risque.

Ce contrat bénéficie d’une large reconnaissance dans le monde entier, contrairement à d’autres structures patrimoniales comme les trusts, et le droit ainsi que les réglementations qui lui sont applicables sont plus simples en comparaison, ce qui en fait une solution de gestion de patrimoine portable efficace.

 

Avantages

L’«Offshore Bond» comporte également un certain nombre d’avantages fiscaux et possède notamment la particularité de ne pas produire de revenus. Il bénéficie donc d’un report d’impôt (« gross roll up ») complet jusqu’à son rachat (ou tout autre fait générateur de taxe), date à laquelle il deviendra assujetti aux règles de l’impôt sur le revenu du pays de résidence du preneur d’assurance. Cette caractéristique unique peut donner au preneur d’assurance une flexibilité et un contrôle sans précédent, afin de déterminer quand et où il s’acquittera d’un impôt sur l’«Offshore Bond». Des arbitrages peuvent être effectués vers les fonds sous-jacents sans impôt sur les plus-values. En résumé, l’«Offshore Bond», en plus de bénéficier d’un report d’impôt, n’est pas assujetti à l’impôt sur les plus-values.

Il constitue également un outil de planification patrimoniale efficace. En fonction du pays de résidence du preneur d’assurance, il est possible de réaliser des cessions par le biais d’une donation, de détenir l’«Offshore Bond» dans un trust ou de souscrire un contrat de capitalisation qui peut être transmis à la génération suivante.

 

 

Expatriation

Cet outil de succession et de planification patrimoniale peut également se révéler utile en cas de déménagement à l’étranger, par exemple, en Espagne, où une communauté importante de citoyens britanniques réside principalement dans les zones de bord de mer. Comme au Royaume-Uni, l’Espagne a mis en place un cadre fiscal, légal et réglementaire spécifique autour de l’ « Offshore Bond », qui est pleinement respecté par les assureurs et les investisseurs, afin d’assurer que le produit est conforme, efficace et en ligne avec les objectifs convenus au début de la planification.

À cet égard, il convient de mentionner que de nombreux expatriés rencontrent des difficultés avec leurs « Offshore Bonds » pendant qu’ils résident en Espagne et que les tribunaux locaux ont à plusieurs reprises rendu des décisions sur ces produits favorables aux demandes des investisseurs. Par exemple, l’une des dernières affaires en date concernait un assureur offshore qui n’était pas dûment agréé pour distribuer ses produits sur le territoire espagnol et aux résidents espagnols (au nombre desquels figurent les expatriés britanniques résidant en Espagne).

Chez OneLife, nous savons que les « Offshore Bonds » doivent être pleinement conformes aux différents pays dans lesquels nos clients résident. Pour cette raison, nous travaillons avec des avocats aptes à exercer sur les marchés locaux, pour personnaliser nos « Offshore Bonds », afin de garantir leur conformité dans les juridictions concernées. Les expatriés britanniques déménageant à l’étranger ne font pas exception, puisque OneLife offre la solution la plus adaptée et conforme au cas par cas, notamment en tenant compte des critères de résidence et de nationalité. Par ailleurs, OneLife met à la disposition de sa clientèle d’expatriés britanniques une gamme complète de services, qui comprennent une équipe des ventes, des fiscalistes, des experts juridiques ainsi que des chargés de clientèle anglophones.

 

Retour au Royaume-Uni

Si au bout d’un certain temps, un expatrié britannique décide de revenir au Royaume-Uni, il lui sera possible de retirer chaque année 5 % sur la base d’un report d’imposition et de bénéficier d’un abattement en fonction du temps écoulé au moment du rachat. Cet abattement assure qu’au moment du rachat, l’ « Offshore Bond » est uniquement soumis à l’impôt sur le revenu britannique en fonction des jours de résidence au Royaume-Uni au cours de la durée de vie du contrat.

Nous offrons une expertise juridique, des contrats personnalisés et un soutien complémentaire lorsque le client s’expatrie, afin de garantir que l’ « Offshore Bond » reste conforme d’un pays à l’autre.

 

Pour de plus amples informations sur ce thème, contactez nos experts.

 Stacy Lake

 

Taux d’intérêt à la hausse : une menace ?

La hausse des taux d’intérêt est une crainte pour les investisseurs depuis quelques années maintenant, sans que elle se soit réellement manifestée dans les mouvements de marché. Cette année, nous avons constaté des taux à la hausse, comme on pouvait s’y attendre des niveaux de départ très bas.

Faisons le point.

 


Surtout aux Etats-Unis, où les taux à 10 ans ont bougé de 2.40% fin 2017 vers 2.86% à la fin du mois de mai, avec un pic intermédiaire à 3.11%, ce qui fait tout de même une amplitude de 0.71% en 5 mois, nous avons vu de la volatilité, mais avec une tendance claire, et probablement pas terminée, à la hausse. Le marché prévoit en effet encore 3 ou 4 hausses des taux courts par la Federal Reserve cette année. Celles-ci auront inévitablement une influence sur les taux longs, même si une partie sera absorbée par un considérable aplatissement de la courbe (indiquant que la différence entre les taux à court terme et ceux à long terme diminue). La plupart des investisseurs en taux américains semblent actuellement positionnés dans des avoirs à durée plutôt courte, ou à taux variables, qui pourraient même profiter d’une hausse graduelle des taux. Les indices de référence qui ont tendance à avoir une durée très longue, ont probablement beaucoup plus souffert que les portefeuilles réels.

L’image est différente au coeur de l’Europe : le taux 10 ans sur le Bund allemand débuta l’année à 0.43%, monta ensuite de façon assez impressionnante vers 0.77% début février, avant de redescendre doucement vers des niveaux entre 0.50% et 0.60%. Mais à partir de mi-mai, sous l’influence de la fuite vers les valeurs de qualité des investisseurs inquiétés par les aléas de la politique italienne, la chute fut vertigineuse et eut pour résulta un niveau plus bas qu’en début d’année : 0.34%.

Comme il y a bon nombre de gérants de portefeuilles qui les utilisent pour améliorer leur rendement de base, nous ne pouvons laisser hors considération les taux dits “périphériques”, surtout représentés par la dette souveraine italienne. Le taux 10 ans sur ces BTP (Buoni del Tesoro Poliennali – bons du Trésor poly-annuelles) a suivi un tout autre parcours : juste au-dessus des 2% en début d’année, il resta plutôt stable jusque mi-mars, pour ensuite descendre vers 1.72% à la mi-avril. A partir de la deuxième semaine de mai, c’est la politique qui a commencé à donner le ton et le taux 10 ans monta comme une fusée vers 3.16%, pour finalement terminer le mois à 2.80%.

Pour être complet : les obligations étatiques japonaises, même si en quantité elles forment un marché énorme, ne sont que très rarement utilisées par nos plus importants gérants, à cause du niveau microscopique de leurs rendements. Le taux 10 ans japonais était à 0.05% en début d’année, doubla vers 0.10% avant de retomber vers 0.04% à fin mai. Pas vraiment un investissement d’intérêt pour des investisseurs non-japonais.

Maintenant regardons ce qu’a été l’influence de ces changements dans les taux sur les portefeuilles réels de nos clients. Nous avons pris en considération le top 8 des fonds flexibles dans notre gamme de fonds externes, afin d’avoir une vue diversifiée sur ce que différents types et styles d’allocateurs et de gérants flexibles ont pu faire sur les 5 premiers mois de l’année.

 

Qu’est-ce que ces chiffres et surtout le timing des plus hauts et plus bas, peuvent nous apprendre sur la corrélation avec les taux d’intérêts ? Assez surprenant, il semblerait y avoir une corrélation presque négative entre la plupart des fonds flexibles et les prix des obligations souveraines allemandes, même si leurs portefeuilles sont souvent largement investis en instruments de type obligataire.

Les pics observés vers fin janvier (sur 6 des 8 fonds) coïncident avec les taux les plus élevés sur les 10 ans allemands depuis le début d’année. Cela est probablement la conséquence de l’extrême confiance qui régnait sur les marchés à ce moment, augmentant les chances que les banques centrales se dirigent vers des taux plus hauts puisque les économies pouvaient se le permettre sans trop de soucis. Mais au moment où cet appétit pour le risque chute, pour n’importe quelle raison, nous voyons 2 phénomènes : les marchés pensent que les banques centrales pourraient diminuer le rythme de hausse des taux pour éviter de trop freiner l’économie, combiné à un retrait des investisseurs, délaissant les actifs à risque comme les actions pour se replier sur des valeurs sûres comme la dette allemande. Les 2 phénomènes feront évidemment baisser les taux longs.

De nos jours par contre, les portefeuilles ne sont pas forcément investis comme les indices de référence : nous observons beaucoup plus de risque de crédit, que ce soit en dette d’entreprises ou de pays périphériques, qu’en benchmarks d’obligations souveraines standards. Et la durée aussi est très différente dans les portefeuilles, comparé aux grands indices obligataires. Personne ne semble oser investir dans la partie très longue de la courbe, là où une petite erreur de jugement sur l’évolution des taux peut avoir de lourdes conséquences sur les performances.

Un domaine où quelques fonds semblent malheureusement montrer plus de corrélation fut la débâcle politique italienne. Plusieurs de nos partenaires en fonds, surtout français, étaient assez largement exposés au différentiel de taux italiens. Résultat : des portefeuilles en chute libre pendant la seconde quinzaine de mai, pendant laquelle les marché actions rétrogradaient également en réaction à la nervosité sur fond de politique italienne.

 

En conclusion nous pouvons constater que même pour des portefeuilles qui ont souvent une exposition maximale à hauteur de 50% aux actions, les performances sont aujourd’hui beaucoup plus en ligne avec celles des indices boursiers qu’avec les benchmarks obligataires. Le fait que les gérants ne sont plus prêts à tenir de grandes positions en longue durée sur du papier “core” européen comme ils le faisaient il y a 10 ans, les protègera d’un côté des effets négatifs que pourrait avoir une hausse des taux.
D’un autre côté, leurs portefeuilles ne pourront pas bénéficier de l’effet d’amortissement du risque qu’ils montraient auparavant, quand les actifs à risque, y inclus les crédits et les dettes périphériques qui semblent aujourd’hui prendre une place importante dans les poches non-actions, commenceront à souffrir d’une aversion aux risques qui regagne les marchés.
Pour l’année en cours il semblerait que les gérants disposant des plus grands budgets de risque en termes de volatilité, aient le mieux tiré leur épingle du jeu, réalisant de meilleurs rendements par un timing actif de leur allocation au risque. Mais il faut avoir l’estomac solide pour subir une volatilité nettement plus prononcée et des chutes intermédiaires parfois violentes.
Les gérants plus prudents dans la maîtrise du risque, qui s’appuient plus sur les parties non-actions de leurs portefeuilles, pourraient éprouver des difficultés à réaliser de bons rendements dans des marchés instables surtout quand la nervosité soudaine s’attaque aux deux parties de leur allocation.

 

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   Ruben De Roover

 

 

 

#Réussir sa #Succession : 2ième partie – Voici la famille Willems

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Source: OneLife & Scorpio Partnership