Tout ce que vous devez savoir sur le RGPD

Pourquoi me demande-t-on tous les jours de rester en contact ?

A compter du 25 mai 2018, le RGPD entre en vigueur et de nouvelles obligations s’appliquent à la collecte, le traitement et la détention de données personnelles

Combien d’emails avez-vous reçus ces derniers mois vous demandant de renouveler votre consentement à recevoir des newsletters en tout genre? A moins de ne pas avoir d’adresse email et de vivre dans une grotte, vous devriez en avoir reçu une bonne demi-douzaine. Votre banquier, votre assureur, votre conseiller financier, tous semblent s’être donné le mot !? d’où vient subitement ce regain d’intérêt pour votre avis?

La réponse tient en quatre lettres : RGPD ou Règlement Général pour la Protection des Données personnelles.

 

RGPD, de quoi s’agit-il ?

Ce nouveau règlement européen entre en vigueur à compter du 25 mai 2018. Il a pour but d’unifier la façon de collecter et de traiter les données des consommateurs à travers l’Union européenne tout en renforçant leurs droits, le tout assorti de sanctions pour le moins dissuasives en cas de non-conformité (les cas les plus graves prévoient jusqu’à 4% du chiffre d’affaire mondial d’une entreprise ou 20 millions d’euros d’amende). Il s’applique à toutes les entreprises qui traitent les données personnelles, du banquier au garagiste, du club sportif aux géants des télécommunications.

 

RGPD pourquoi ?

Ces dernières années la digitalisation de notre société a entrainé de grands changements dans notre façon d’interagir sur le web et l’économie en ligne est en grande partie alimentée par les données personnelles que nous y semons sans trop y réfléchir. Vous vous êtes sans doute demandé pourquoi vous receviez des emails de sociétés que vous n’aviez jamais contactées ? Les politiques de confidentialité des sociétés restaient jusqu’à aujourd’hui assez vagues sur l’usage qui allait être fait des données qui vous sont demandées ce qui permettait à des sociétés peu scrupuleuses de les utiliser pour une ou plusieurs finalités et de les transférer voire de les vendre à des tiers sans s’inquiéter particulièrement du consentement des personnes concernées.

 

Aujourd’hui, grâce à l’entrée en vigueur du RGPD, les citoyens vont gagner différents droits tels que :

  • le droit à plus de transparence quant aux finalités des traitements auxquels leurs données personnelles seront soumises
  • le droit d’accéder à leurs données personnelles et de les rectifier
  • le droit de demander la limitation de leur traitement ou leur effacement par exemple si la personne concernée a retiré son consentement au traitement, si le traitement est illicite ou si les données ne sont pas nécessaires aux finalités du traitement.
  • le droit de transférer leurs données vers d’autres opérateurs

Les entreprises seront tenues de faciliter l’exercice de ces droits en nommant entre autres un Délégué à la Protection des Données ou DPD (DPO en anglais) qui va être leur point de contact unique pour toute demande en matière de protection des données personnelles.

 

OneLife a désigné un DPD qui peut être contacté à l’adresse : dpo@onelife.com.

Les défis pour les assureurs et leurs partenaires

Pour les différents acteurs de le place financière il s’agira non seulement de mettre en place les différents principes qui sont à la base de tout traitement des données personnelles tels que le principe de licéité des traitements, de transparence et d’accès aux données mais également d’être en mesure de balancer adroitement collecte de données nécessaires pour remplir leurs différentes obligations règlementaires et principe de minimisation et de rétention des données.

En effet des réglementations telles que la Directive sur la Distribution d’Assurances (DDA ou IDD en anglais) qui s’appliquera dès octobre 2018 aux intermédiaires en assurances ainsi que la loi du 13 février 2018 en matière de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme demandent de collecter un grand nombre de données personnelles concernant les investisseurs, à des fins bien définies et légitimes afin de satisfaire la connaissance de l’investisseur.

 

Cependant cette collecte sera balisée par les principe du RGPD tels que :

  • la minimisation des données: il incombera au courtier ou à l’assureur de définir avec prudence là où s’arrête le besoin légitime de récolter ces informations afin de ne pas récolter plus de données que nécessaire
  • la limitation du traitement des données collectées aux seules fins prévues par ces règlementations, en d’autres termes ces données ne pourront pas être utilisées à des fins commerciales sans le consentement de l’investisseur
  • la rétention de l’information qui oblige à ne pas conserver les données personnelles plus longtemps que nécessaire
  • le traitement des données avec le plus grand soin en appliquant des règles de sécurités robustes afin qu’elles ne souffrent aucune violation

OneLife se tient aux côtés de ses partenaires pour les accompagner et les guider dans la mise en œuvre de ces nouvelles obligations et de ses clients pour répondre à leurs demandes et pour faciliter leurs droits.

 

 

Un franc succès pour la 1ière édition des roadshows OneLife!

L’équipe d’experts de OneLife s’est associée avec 17 orateurs de renommée internationale pour présenter devant plus de 150 participants (banquiers, asset managers, conseillers en gestion de fortune …) les solutions qu’offrent l’assurance-vie pour les clients ibériques et d’Amérique latine.

 

Le 1er roadshow s’est tenu à Zurich le 13 mars 2018 et le 2ième à Genève le 14 mars 2018. Après l’introduction par Wim Dieryck, Chief Commercial Officer de OneLife, la journée s’est divisée en panels par marché.

  • La matinée fut principalement consacrée à l’Amérique latine : Abril Rodriguez d’EY, Eduardo Valenzuela de Chevez et Abel Francisco Mejía de Sanchez Devanny ont présenté les particularités du Mexique.
  • Ensuite Camilo Cortes de Dentons, Juan David Velasco de Posse Herrera & Ruis et Lucas Morena de Brigard & Urrutia ont enchaîné avec la Colombie.
  • Robert Jarvis de Charles Monat Associates, Fernando Núñez de Hernandez & Cía et Roberto Cores d’EY, ont quant à eux parlé des solutions pour le Pérou.

Après une pause bien méritée, ce fut au tour de l’Espagne et du Portugal, avec des spécialistes en la matière : Javier Seijo (EY), Enrique López de Ceballos (Eversheds Sutherland Nicea), Carlos Ferrer (Cuatrecasas), Fabricio González (Anaford), Filipe Romão (Uría Menendez), Joao Espanha (Espanha Associados), Sara Zad (Carnegie) et Marta Duarte (Cuatrecasas).

Enfin, un panel consacré au Brésil et mené de main de maître par Priscila Stela Mariano da Silva (Pinheiro Neto) et Filipe Romão (Uría Menendez) qui ont donné des cas concrets tels que celui d’une famille déménageant du Brésil au Portugal et qui retourne ensuite vivre au Brésil, a clôturé cette journée riche en informations.

Le programme du 3ième roadshow qui s’est tenu à Luxembourg le 15 mars 2018 tournait également autour de l’Espagne et du Portugal. Carlos Ferrer de Cuatrecasas et Joao Espanha de Espanha Associados étaient à nouveau au rendez-vous. Ils ont expliqué avec des exemples concrets quelle était la situation dans ces deux pays au niveau de la gestion de patrimoine ainsi que les avantages d’un contrat d’assurance-vie luxembourgeois pour les clients résidant en Espagne et au Portugal.

 

Pour Marc Stevens, Chief Executive Officer de OneLife, lui aussi présent : “Les familles actuelles et la composition de celles-ci, les différents endroits géographiques où vivent les membres de ces familles et la nature du patrimoine familial ont changé au fil des ans. Ces changements perdurent. Ce qui signifie que pour gérer et protéger les fortunes de ces familles, une nouvelle approche et d’autres techniques ainsi que la flexibilité et l’internationalisation sont nécessaires et deviennent de plus en plus importantes. Pour maîtriser cette complexité, il faut désormais avoir une approche multi-disciplinaire entre banquiers, avocats, fiscalistes, family offices, gestionnaires, assureurs et autres. L’assurance-vie apporte une solution pour gérer les fortunes familiales tout en les protégeant efficacement. »

 

Vous voulez vous aussi en savoir plus ?

L’équipe d’experts de OneLife et ses orateurs vous convient d’ores et déjà aux 4ièmeet 5ième (derniers) roadshows: le 10 avril 2018 à Lisbonne pour tout savoir sur les solutions d’assurance-vie pour les clients portugais et le 11 avril 2018 à Madrid pour les clients espagnols!

 

 Pour de plus amples informations, suivez-nous sur LinkedIn .

 

 

Nouvelle date de transposition

La Commission a confirmé le délai accordé pour la transposition nationale au 1er juillet 2018.

Néanmoins, la date d’application reste inchangée : 1er octobre 2018.

Étant donné que le Parlement européen et le Conseil ne devraient pas adopter la directive avant mars 2018, le délai s’appliquera rétroactivement à compter du 23 février 2018.

Pour en savoir plus et retenir l’essentiel au sujet de cette directive, et comment OneLife se prépare aux changements en collaboration avec ses partenaires, visionnez cette vidéo.

 

L’assurance-vie en unités de compte, une solution de planification patrimoniale pour les investisseurs espagnols

Un produit en « unités de compte » est un contrat d’assurance aux termes duquel le preneur assume l’intégralité du risque d’investissement des actifs financiers sous-jacents du contrat. En conséquence, dans le cas des produits « en unités de compte », les rendements des investissements ne sont pas garantis par la compagnie d’assurances, que ce soit à court, à moyen ou à long terme.

 

Ces produits permettent aux preneurs d’associer de manière efficace, les planifications financière, successorale et fiscale dans un seul et même contrat qui respecte par défaut le cadre juridique et fiscal du pays dans lequel le preneur réside afin d’éviter le risque de requalification juridique ou fiscal.

 

Dans le cas de l’Espagne, les produits en « unités de compte » sont principalement réglementés par la loi 50/1980 sur l’assurance et, du point de vue fiscal, par les réglementations fiscales concernant les revenus, la fortune, les droits de succession et de donation.

 

Quelles sont les principales caractéristiques d’un contrat d’assurance en unités de compte ?

Les principales caractéristiques d’un contrat d’assurance espagnol en unités de compte sont les suivantes :

  • Preneur(s) d’assurance: Investisseur qui souscrit, signe et verse la prime d’assurance. Peut être un particulier ou une entreprise.
  • Assuré(s): Élément de risque couvert par le contrat d’assurance. Peut être une ou plusieurs personnes.
  • Bénéficiaire(s): Particulier ou entreprise qui percevra l’indemnisation en cas de survenance de l’événement assuré.
  • Gestionnaire d’actifs: Professionnel dûment agréé dans son pays d’origine afin de mener des activités de gestion de portefeuille. L’assureur peut confier au gestionnaire d’actifs la gestion des actifs financiers de manière discrétionnaire conformément aux termes du contrat d’assurance sur la base de la stratégie d’investissement choisie par le preneur d’assurance lors de sa souscription.
  • Banque dépositaire : Établissement financier qui fournit des services de dépôt au regard des actifs financiers détenus dans le cadre d’un ou de plusieurs contrats.

 

Quels sont les principaux avantages liés à la souscription d’un produit en unités de compte auprès d’un assureur luxembourgeois ?

Les principaux avantages liés aux contrats d’assurance en unités de compte émis par des assureurs luxembourgeois sont les suivants :

  • Protection des actifs: Les autorités luxembourgeoises, et plus spécifiquement le Commissariat aux Assurances (CAA) au Luxembourg, a créé un régime spécifique aux termes duquel les actifs des preneurs d’assurance figurent hors bilan dans la comptabilité de l’assureur et de la banque dépositaire. En conséquence, en cas d’insolvabilité ou de faillite de l’assureur ou de la banque dépositaire, les actifs du preneur d’assurance sont totalement protégés des revendications des créanciers ordinaires.
  • Confidentialité : Les assureurs luxembourgeois et les professionnels qui y travaillent sont soumis à des règles strictes en matière de secret professionnel qui garantissent une confidentialité totale pour les preneurs et les possibles bénéficiaires.
  • Flexibilité de l’investissement: La législation luxembourgeoise en matière d’investissement offre une grande flexibilité quant au type d’actifs financiers dans lesquels la prime versée par le preneur d’assurance peut être investie. Il n’est pas rare de voir les gestionnaires investir dans des fonds alternatifs ou des fonds spéculatifs (hedge funds) et du capital-investissement (private equity) par l’intermédiaire de contrats d’assurance-vie luxembourgeois afin d’obtenir de meilleurs rendements.

 

 

À quel régime fiscal les produits en unités de compte sont-ils soumis pour les investisseurs espagnols ?

Aux fins de l’impôt sur le revenu, les preneurs d’assurance qui résident en Espagne sont assujettis à l’impôt sur le revenu espagnol (c’est-à-dire l’impôt sur le revenu de l’épargne au taux marginal de 23 %) sur les plus-values réalisées en cas de rachat total ou partiel du contrat. Seule la plus-value (le cas échéant) sera imposable, pas l’intégralité du montant du rachat.

Aux fins de l’impôt sur la fortune, les preneurs d’assurance qui résident en Espagne doivent s’acquitter de l’impôt sur la fortune sur le montant du rachat de leur contrat en fin d’année. Il convient de bien garder à l’esprit que le montant final de l’impôt peut varier de manière significative en fonction de la région d’Espagne dans laquelle le preneur d’assurance réside. En effet, certaines régions disposent d’exonérations et de déductions fiscales importantes. Pour les investisseurs souhaitant optimiser leur impôt sur la fortune, il est essentiel de mentionner que les contrats d’assurance en unités de compte permettent de bénéficier de solutions conformes aux différentes législations pour atteindre cet objectif.

Pour ce qui est des droits de donation et de succession, la législation espagnole est particulièrement complexe puisque chaque région est dotée de vastes compétences pour exercer des pouvoirs législatifs dans ce domaine. Cela étant dit et pour résumer, les contrats d’assurance en unités de compte ne seront pas soumis à des taux spécifiques de droits de donation et de succession par rapport à d’autres produits ou actifs financiers. Toutefois, la flexibilité offerte par les contrats d’assurance en tant qu’outil de planification successorale, à condition d’avoir été mis en place en bonne et due forme, permet de planifier ou de retarder l’assujettissement à l’impôt dans le plus strict respect de la législation fiscale espagnole.

 

Si vous souhaitez en savoir plus sur les produits en unités de compte à destination des investisseurs qui résident en Espagne, n’hésitez pas à prendre contact avec nos représentants commerciaux :

LinkedIn_logo_Small José Manuel Tara, Regional Director Iberia & Latam, chez OneLife

LinkedIn_logo_Small Luis De La Infiesta, Regional Sales Director Iberia & Latam, chez OneLife

LinkedIn_logo_Small Gonzalo Garcia-Perez, Wealth Planner Manager for Iberia and Latam markets, chez OneLife

 

Le géant endormi d’Amérique latine

En Amérique latine, le Brésil est le géant de la région. Sa prédominance est le fruit de différents facteurs tels que la superficie du continent, la diversité des ressources naturelles, un immense réservoir de consommateurs et la liste est longue. Dans les années 2000, son économie a bénéficié de la croissance mondiale et de la forte demande concernant ses matières premières. Cette prospérité a été mise à mal en 2008 à cause de la crise financière internationale, même si le pays a été en mesure de partiellement limiter ses répercussions. Malheureusement, le Brésil n’a pas saisi l’opportunité offerte par l’envolée des prix de ses matières premières pour résoudre des problèmes majeurs qui nuisent à la pérennité de sa croissance économique depuis des décennies. Au contraire, le pays n’a pas su tourner la page de politiques inefficaces. Il n’a ainsi pas procédé aux réformes fiscales et politiques nécessaires et n’a pas investi dans ses infrastructures.

 

En outre, le pays est secoué depuis le début de l’année 2015 par un scandale de corruption endémique qui a fait la une des journaux du monde entier et touché des personnes évoluant au plus haut niveau du monde des affaires et de la politique, y compris les anciens présidents Lula et Rousseff. Ce scandale de corruption galopante éprouve les limites démocratiques et institutionnelles du Brésil. Nombreux sont donc les experts à avoir affirmé que le pays avait connu sa pire période de récession. Même si tout porte à croire que la reprise est en cours, la qualité de vie ne s’est pas améliorée pour les Brésiliens. Le taux de chômage reste élevé et les crimes violents sont en augmentation à cause des activités liées à la drogue et de la corruption massive au sein des forces de police. L’accès aux services publics tels que l’éducation et la santé reste à ce jour encore un défi de taille. Malgré son potentiel et sa grandeur, le Brésil est un géant endormi englué dans ses problèmes socio-économiques et ses affaires de corruption.

 

 

Le Portugal comme refuge pour les Brésiliens fortunés

Face à cette incertitude politique et économique, une diaspora brésilienne s’est développée ces dernières années et l’une des destinations privilégiées jusqu’à maintenant est le Portugal, notamment du fait d’atouts tels que l’exceptionnelle qualité de vie, l’absence de barrière de la langue, la proximité culturelle et le faible coût de la vie. De plus, le Portugal est très en vogue en ce moment et même Madonna a chanté les louanges de la douceur de la vie dans la capitale la plus ensoleillée d’Europe ! De plus, le gouvernement a encouragé la mobilité entrante en créant le programme « golden visa » et le régime de résident non habituel qui a tout particulièrement séduit les Brésiliens fortunés.

 

Une fois qu’ils s’expatrient au Portugal, ils évaluent le meilleur outil pour structurer un patrimoine qui est généralement géré en Suisse, au Luxembourg, au Panama et dans les Caraïbes. Il est fréquent que les principaux objectifs de cette niche de clients soient liés à la flexibilité des investissements, l’optimisation fiscale et la planification successorale transfrontalière. L’assurance-vie a donc très largement été qualifiée de structure la plus populaire pour atteindre ces objectifs.

 

 

Principaux avantages de l’assurance-vie en unités de compte pour les bénéficiaires résidant au Brésil

L’assurance-vie est une structure totalement reconnue et conforme à la législation portugaise. Elle offre une grande flexibilité en termes d’investissement et un régime fiscal très attractif pour les preneurs et les bénéficiaires qui résident sur le territoire portugais. Néanmoins, puisque les Brésiliens fortunés expatriés laissent généralement derrière eux des membres de leur famille dans leur pays d’origine, il est essentiel de souligner les avantages qu’offre l’assurance-vie du point de vue de la succession transfrontalière. Il est fréquent ce que ces clients aient besoin d’une solution qui sécurise les investissements et simplifie les procédures de succession qui touchent souvent plusieurs pays, ce qui peut se révéler très coûteux et chronophage. Du fait de leur statut international, ils doivent bénéficier d’une structure à la fois efficace et conforme aux législations en vigueur non seulement pour les membres de leur famille vivant au Portugal, mais aussi pour ceux qui sont restés au Brésil.

 

D’un point de vue juridique, le Code civil brésilien prévoit que les prestations décès découlant d’un contrat d’assurance-vie ne sont pas considérées comme la succession du défunt. C’est pour cette raison que les bénéficiaires brésiliens seraient en capacité de percevoir ces prestations juste après le décès de l’assuré sans lancer de procédure de succession internationale. Le délai de règlement ne doit pas dépasser un mois à compter de la date à laquelle la compagnie d’assurances a reçu l’intégralité des documents nécessaires au versement.

 

D’un point de vue fiscal, ces montants ne seraient pas assujettis à des droits de donation/succession puisque l’événement déclencheur est le transfert de propriété ou de droits résultant de la succession ou de la donation et non une indemnisation au titre d’une assurance-vie. De plus, le Code des impôts brésilien stipule que le capital figurant dans un contrat d’assurance-vie versé à un résident brésilien en qualité de bénéficiaire est exonéré de l’impôt sur le revenu. Les autorités fiscales brésiliennes ont déjà reconnu que cette exonération s’applique également aux contrats d’assurance-vie souscrits à l’étranger tant que les caractéristiques obligatoires concernant les aspects réglementaires des contrats d’assurance au Brésil sont respectées à la lettre. Ainsi, si le contrat a été rédigé en bonne et due forme, les prestations versées aux bénéficiaires brésiliens suite au décès de l’assuré au Portugal peuvent être exonérées à la fois de l’impôt sur le revenu et des droits de donation et de succession.

 

Toutefois, il convient de souligner qu’une structure solide doit être définie afin d’éviter que les autorités fiscales brésiliennes ne requalifient le contrat en investissement financier étranger. Pour conserver le statut d’assurance-vie, la solution choisie doit garantir le versement d’une indemnisation au titre d’événements futurs et imprévisibles et intégrer une couverture du risque de décès raisonnable. OneLife a acquis une solide expérience en aidant nos clients brésiliens fortunés dans leurs parcours d’expatriation vers le Portugal et en leur fournissant une solution sur-mesure qui répond à leurs besoins et objectifs personnels. N’hésitez pas à prendre contact avec nous si vous souhaitez que nous vous accompagnions dans cette aventure.

 

Article écrit par LinkedIn_logo_Small  Taiza Ferreira, Senior Wealth Planner chez OneLife

 

 

KYC Tech et OneLife : une collaboration fructueuse

Milenko Keserovic (Responsable conformité chez OneLife) et Luc Maquil (Cofondateur de KYC Tech) ont vécu les premières étapes de la collaboration entre leurs deux entreprises lors du RegTech Summit qui a eu lieu dans le quartier de Kirchberg à Luxembourg le 12 octobre. « Un clic, un rapport KYC » est la meilleure manière de décrire leur projet commun de Conformité (ou Reg) et de Technologie (ou Tech).

 

« La Technologie améliore l’efficacité en matière de conformité. Elle simplifie les tâches administratives et permet aux salariés de travailler sur des projets collectifs à forte valeur ajoutée, a expliqué Luc Maquil, cofondateur, avec Thierry André, de KYC Tech, dont l’objectif est d’aider les entreprises à répondre aux défis de plus en plus nombreux que posent les contraintes réglementaires. Nous avons adopté une approche symbiotique dans la mesure où nous essayons d’appliquer notre solution RegTech d’une manière efficace dans le monde de l’entreprise, a expliqué M. Maquil. » Cette solution possède de nombreuses composantes : en premier lieu des données brutes (listes de PPE, de terroristes, de sanctions…) qui peuvent être extraites d’internet, des réseaux sociaux, etc. Le flux de travail est également une étape primordiale : qui entreprend l’action ? Que faut-il faire ? L’échange et la collaboration sont ici la clé. Ensuite vient l’architecture, à savoir l’identification, la sélection, la connexion et la conformité.

 

« Gagner du temps et se concentrer sur la valeur ajoutée »

Milenko Keserovic a ensuite pris la parole pour présenter la collaboration entre OneLife et KYC Tech. « Lorsqu’un nouveau client nous rejoint, nous sommes confrontés à un certain nombre de contraintes réglementaires. Il faut d’abord contrôler son nom, au sens large, car ce client peut tout aussi bien être une personne morale, pas forcément le preneur du contrat, a commencé par expliquer le Responsable conformité. Ces tâches sont à l’heure actuelle réalisées manuellement. KYC Tech dispose d’une solution entièrement automatisée : lorsque nous enregistrons un client dans la base de données, le système envoie directement une requête à la plate-forme et les résultats reviennent en quelques secondes, continue-t-il. » L’équipe responsable de la conformité peut alors facilement décider si elle accepte ou non ce nouveau client. « Les résultats sont positifs. Les clients sont classés dans la bonne catégorie et l’outil est facile à utiliser. Les avantages sont nombreux puisque l’absence d’intervention humaine diminue le risque d’erreur, a expliqué Milenko. »

KYC Tech a également fourni à OneLife une solution de vigilance renforcée (EDD/Enhanced Due Diligence). De nouveau, le travail était réalisé manuellement et les experts passaient beaucoup de temps à collecter des informations et des documents. « La start-up RegTech est capable de nous fournir un rapport EDD que nous avons testé : nous envoyons la demande et recevons un rapport détaillé sous 48 heures. Il ne nous reste plus qu’à analyser le fichier, a ajouté le Responsable conformité qui a expliqué que ce rapport était précis, utile et riche en informations. » L’outil est automatisé, simple, immédiat et rentable. De plus, les deux experts développent actuellement des solutions permettant de simplifier les tâches des équipes de conformité relatives aux polices dormantes.

Milenko Keserovic a fini en expliquant que d’un côté, ce projet avait été géré avec souplesse grâce aux échanges entre les équipes de KYC Tech et celles de OneLife et que de l’autre côté, la start-up RegTech avait fait tout son possible pour comprendre la méthode de travail des salariés de OneLife, leurs activités et les procédures utilisées. Milenko Keserovic et Luc Maquil ne pouvaient qu’être d’accord sur ce formidable projet : « nous avons tous les deux réalisé que les technologies peuvent être très utiles car elles peuvent permettre aux salariés de gagner un temps précieux qu’ils peuvent ensuite consacrer à d’autres tâches nécessitant l’intervention du jugement d’un être humain. »

 

 

InsurTech : la technologie pour transformer l’expérience client

Le 12 octobre dernier, lors de la deuxième édition du InsurTech Summit qui s’est déroulée au Novotel Kirchberg, le CEO de OneLife, Marc Stevens, a pris part à une discussion lors d’une table ronde qui réunissait ses homologues luxembourgeois. Les experts de l’assurance-vie ont alors abordé les thématiques de l’innovation et des investissements dans le domaine des InsurTechs.

 

La session était modérée par Geoffroy Gailly, Partner chez KPMG, qui s’est tout d’abord attardé sur le retour sur investissement dans le domaine des InsurTechs. « Quels sont les montants qui ont été investis ? Comment mesurez-vous le ROI ? » s’est interrogé M. Gailly.

 

Pour Marc Stevens, mesurer le ROI end-to-end est tout simplement impossible : « Il est préférable de définir un champ d’application, et de s’intéresser à certains process ». Le CEO de OneLife a par la suite partagé plusieurs exemples avec les participants : l’utilisation de robots pour l’e-mail management, avec un investissement de deux jours, pour gagner 20 jours-homme par année, et également la prospection sur les réseaux sociaux et notamment LinkedIn. Cet investissement, piloté par Christophe Regnault, Digital Marketing Manager de l’assureur-vie situé à Capellen, porte d’ores et déjà ses fruits. Comme le précise Marc Stevens, le coût est 10 fois moins lourd qu’en utilisant les méthodes de prospection traditionnelle, et le ratio est 3 fois plus élevé. Cependant, selon le CEO, des questions subsistent : « Comment peut-on convertir ces prospects en véritables partenaires ? En effet, ils évoluent dans un environnement digital, votre société est-elle capable d’évoluer dans ce même univers ? »

Chez OneLife, ces investissements technologiques coïncident également avec une nouvelle façon de gérer les projets, avec un management Agile comme voulu par Éric Lippert, le CIO de la compagnie d’assurance-vie. « Nous sommes désormais capables de livrer de nouveaux produits et services en un temps bien plus court, comme le prouve notre app développée l’an dernier. S’il est difficile d’évaluer le retour sur investissement de A à Z, de nombreux éléments peuvent être calculés et ils prouvent bien que nous allons dans la bonne direction » ajoute Marc Stevens, qui poursuit :  » Spending is easy, Smart spending is way more difficult ».

 

 

Les experts de l’assurance-vie luxembourgeois ont par la suite abordé la transformation digitale de leurs sociétés respectives. Marc Stevens a débuté son intervention en partageant l’exemple d’un site de comparaison d’offres d’assurance non-vie, lancé il y a plus de 20 ans aux Pays-Bas : « Aujourd’hui, 60 % de la distribution des produits passe par ce site. Par contre le même concept, mais pour les assurances-vie n’a pas fonctionné ». À travers cet exemple, M. Stevens a ainsi souligné l’importance de l’interchangeabilité des contacts humains et digitaux : « Certains ne veulent plus de contact par téléphone ou physique, car ils ont des habitudes totalement digitales. Mais dans notre domaine, certains privilégient encore le contact humain. Un des challenges est alors d’intégrer cette interchangeabilité des process ».

L’expérience client – et partenaire – est clé, et la technologie peut désormais permettre d’atteindre un niveau optimal d’échange et créer de nouvelles relations. « Il y a trente ans, la technologie n’était pas mature. Aujourd’hui, nous sommes ancrés dans un processus de changement avec de nombreuses opérations de marketing digital, des outils RH… nous sommes embarqués dans un voyage, sans véritablement connaître la destination finale. Mais une chose est sûre, l’expérience client en bénéficiera, tout comme, in fine, nos collaborateurs, partenaires et clients » a conclu Marc Stevens.

 

 

Le RGPD et l’assurance-vie : contraintes et opportunités

Le 12 octobre, plus de 200 professionnels de la Fintech mondiale se sont réunis au Novotel Kirchberg pour la première édition du RegTech Summit. Alors que des experts internationaux et locaux se concentraient sur les opportunités que le recours à des solutions de RegTech peut offrir ou sur l’importance de la sécurisation des données à l’ère du big data, Éric Lippert, COO de OneLife, a effectué une présentation sur le futur Règlement général sur la protection des données. Quel impact va-t-il avoir sur le secteur de l’assurance ?

 

Les entreprises ne sont pas encore en conformité.

Le COO de OneLife a commencé par présenter des statistiques concernant le futur RGPD et le degré de préparation des entreprises : « En octobre 2016, 97 % des entreprises en Europe ne disposaient pas de stratégie en matière de RGPD. 23 % s’attendent à se voir infliger des sanctions puisqu’elles n’étaient pas prêtes. Plus de 50 % admettaient qu’elles ne seraient pas totalement en conformité. » Pourtant, Éric Lippert pense que le Luxembourg est en bonne voie car il bénéficie d’un avantage certain par rapport à d’autres pays européens, notamment grâce aux lois relatives à la protection des données à caractère personnel en vigueur dans les secteurs de la banque et de l’assurance et grâce à des autorités telles que la CSSF et la CNPD. « La protection des données est un sujet sur lequel nous travaillons depuis plusieurs années, a-t-il ajouté. »

 

 

Le nouveau règlement va changer les règles du jeu pour les compagnies d’assurances-vie.

Éric Lippert a poursuivi en énumérant les différences avec les politiques actuellement en vigueur : en cas de violation des données, les entreprises disposeront de 72 heures pour transmettre à la CNPD tous les documents pertinents et l’amende infligée pourra aller jusqu’à 20 millions d’euros ou jusqu’à 4 % du chiffre d’affaires. « Les conséquences seront lourdes pour les entreprises qui ne respectent pas les nouvelles directives du RGPD, a-t-il expliqué. Un autre aspect important du nouveau règlement européen sera le consentement : en effet, l’utilisation des données par les entreprises nécessitera le consentement exprès du client. Elles devront également être en mesure de prouver que celui-ci a été bien été donné à tout moment. Enfin, le « droit à l’oubli » va changer la donne dans la mesure où les clients pourront désormais demander à l’assureur d’effacer toutes les données les concernant. Le concept de portabilité va également avoir des répercussions : les assureurs seront ainsi tenus de faciliter le transfert des données si le client en fait la demande « La plus grosse contrainte sera dans le domaine administratif avec la formalisation des nouvelles règles. » Ces dernières imposent la nomination d’un délégué à la protection des données et la réalisation d’audits annuels sur les procédures et règles mises en œuvre afin de garantir la conformité de l’entreprise.

 

Éric Lippert a conclu sa présentation sur une note plus positive en expliquant que le RGPD offrait également de nouvelles opportunités pour les compagnies d’assurances-vie puisque ces dernières vont pouvoir reprendre le contrôle de leur conformité, tisser, avec leurs clients, des liens plus forts qui reposeront sur la confiance, améliorer la qualité de leurs données et renforcer leur marketing numérique. « Les opportunités offertes en Europe en matière de KYC centralisé sont immenses, a-t-il ajouté ».

 

 

Se concentrer sur l’Essentiel. OneLife est prêt pour le règlement financier PRIIPs !

Apprenez-en davantage sur le champ d’application du nouveau règlement, ses objectifs et ses exigences et comment OneLife se prépare aux changements.

Tout ce que vous devez savoir sur le nouveau règlement dans cette courte vidéo:

 

Nous prenons tous de bonnes résolutions pour la nouvelle année, notamment celle d’être prêts pour les défis à venir.

Le règlement PRIIPs, règlement sur les produits d’investissement packagés de détail et fondés sur l’assurance, est un nouveau règlement de l’UE qui doit entrer en vigueur le 1er janvier 2018.

Il a pour objectif d’améliorer la transparence et la comparabilité grâce à une meilleure information aux clients. Pour ce faire, les assureurs doivent fournir aux investisseurs des chiffres et des faits clés concernant les produits, leurs objectifs, les coûts associés et les risques potentiels avant que ces derniers n’investissent; le tout grâce à un document standardisé obligatoire intitulé « Document d’informations clés (KID) ».

Une vision nouvelle et une approche proactive sont les fondements de OneLife. Informez-vous sur l’initiative PRIIPs à travers cette courte vidéo !

 

“Créez des champions au sein de votre organisation »

Ce 21 juin, dans l’après-midi, les responsables RH et Digital de OneLife, toujours accompagnés de Nicola Doherty de LinkedIn et Alizée Del Mastro de Lynda.com ont présenté aux managers, beta-testers et membres du comité exécutif, dans les moindres détails, le fonctionnement de l’outil proposé par Lynda.com.

Pour Nicola Doherty, dont la mission était de s’assurer que les collaborateurs puissent bénéficier de toute la puissance de la plateforme d’e-learning, « Lynda.com répond aux besoins des Millénials, toujours en quête de nouvelles compétences et formations ». Elle ajoute : « dans de nombreuses sociétés, la nouvelle génération se plaint justement du manque de formation. L’intérêt de Lynda.com est le suivant : les collaborateurs n’auront pas besoin de passer des heures à se former. L’idée est véritablement de maximiser les quelques minutes passées afin d’affiner ses compétences professionnelles ».

 

Communiquer, encourager et partager

La Regional Sales Manager précise également que le succès de ce programme de formation dépend de l’engagement des collaborateurs. Celui-ci doit alors être communiqué : via des newsletters, via la création d’un club intra-entreprise, ou simplement en créer et partageant une playlist des formations qui correspondent potentiellement aux différents membres d’une équipe, ou à tous les employés de OneLife.  « Parlez-en lors de votre lunch, engagez une discussion, créez des habitudes » recommande Nicola Doherty. Les possibilités de communication au sein d’une équipe, et même pour tous les collaborateurs, sont nombreuses : posters, partages d’expériences, ou encore techniques de gamification et récompenses pour les employés les plus assidus. Elle ajoute : « Cet outil vous permet de créer de véritables champions dans votre équipe, votre entreprise. Ils partagent leurs succès et transmettent ainsi leur motivation à leurs collaborateurs. Pourquoi et comment utilisent-ils la plateforme ? Quelles sont leurs formateurs favoris ? Comment leur travail quotidien et leurs missions s’en ressentent-ils ? Partagez vos chiffres ! C’est la manière dont vous allez promouvoir l’outil qui fera son succès. » Les formations, si intégrées dans l’évaluation de performance, permettront également de définir les prochaines étapes d’une carrière : leadership, management, mais également solutions plus techniques, qu’il ne faut pas négliger. Nicola insiste aussi sur l’importance du feedback et de l’expérience utilisateur : auprès des managers, de la direction, mais également auprès des équipes de LinkedIn et Lynda.com. « Ces retours d’expérience doivent être constructifs et permettront à toutes les parties prenantes d’améliorer l’efficacité de la plateforme » insiste l’employé de LinkedIn.

 

Alizée Del Mastro surenchérit : « Managers, créez un cheminement de l’apprentissage au sein de votre équipe ! Les formations disponibles sur la plateforme Lynda.com permettent de rafraichir et mettre vos connaissances à jour. C’est un point crucial dans une société en pleine transformation ». Les vidéos sont affichées selon leur popularité, recommandées et taguées : l’algorithme de Lynda.com propose ainsi les formations qui correspondent le plus à votre profil. Côté technique, les managers jouent le rôle d’administrateur sur la plateforme, leur permettant d’assigner des formations à leurs collaborateurs, et de s’assurer qu’elles ont bien été réalisées, tout en attachant des documents et des messages personnalisés. Le but est alors d’encourager les membres de son équipe mais également d’aligner leurs compétences, afin qu’ils puissent se compléter les uns les autres. Enfin, des rapports peuvent être édités : fréquence de connexion, contenus visionnées, appareils utilisés, et bien plus encore. « Il est important de monitorer les habitudes des collaborateurs lorsqu’on lance ce type de plan de formation. Le manager doit observer, comprendre et ajuster si nécessaire. Le feedback prend alors tout son sens » précise Alizée. Et comme le souligne Nicola, le but de ces rapports est de faciliter à la fois la vie des managers et des collaborateurs qui suivent les formations.

 

Une plateforme d’e-learning flexible

Les beta-testeurs ont par la suite pu partager leur ressenti après quelques semaines d’essais. Pour  Nathalie de Kerchove, du département Compliance & Risk, « la force de cette plateforme d’e-learning réside dans un grand choix de formations, et elle est très facile d’accès ». Elle souligne également la flexibilité de la solution proposée par Lynda.com : il n’est pas nécessaire de passer des heures, voire des jours sur une formation. Même constat pour  Jérôme Lejeune, du département Customer Services : « La scission en chapitres est très pratique, tout comme la possibilité de mettre en pause les formations et vidéos que l’on a débutées ».

Enfin,  Laurence Parison, Chief Human Resources Officer, a conclu en soulignant l’importance de suivre ses propres formations, et pas uniquement celles imposées par les managers : « Les formations obligatoires pourront être réalisés pendant les heures de travail, mais chacun a la responsabilité de développer ses compétences. Voilà tout l’avantage de souscrire à une solutions telle que Lynda.com. Alors, on pourra parler d’une situation win-win pour l’employé ainsi que pour l’employeur ».