“Créez des champions au sein de votre organisation »

Ce 21 juin, dans l’après-midi, les responsables RH et Digital de OneLife, toujours accompagnés de Nicola Doherty de LinkedIn et Alizée Del Mastro de Lynda.com ont présenté aux managers, beta-testers et membres du comité exécutif, dans les moindres détails, le fonctionnement de l’outil proposé par Lynda.com.

Pour Nicola Doherty, dont la mission était de s’assurer que les collaborateurs puissent bénéficier de toute la puissance de la plateforme d’e-learning, « Lynda.com répond aux besoins des Millénials, toujours en quête de nouvelles compétences et formations ». Elle ajoute : « dans de nombreuses sociétés, la nouvelle génération se plaint justement du manque de formation. L’intérêt de Lynda.com est le suivant : les collaborateurs n’auront pas besoin de passer des heures à se former. L’idée est véritablement de maximiser les quelques minutes passées afin d’affiner ses compétences professionnelles ».

 

Communiquer, encourager et partager

La Regional Sales Manager précise également que le succès de ce programme de formation dépend de l’engagement des collaborateurs. Celui-ci doit alors être communiqué : via des newsletters, via la création d’un club intra-entreprise, ou simplement en créer et partageant une playlist des formations qui correspondent potentiellement aux différents membres d’une équipe, ou à tous les employés de OneLife.  « Parlez-en lors de votre lunch, engagez une discussion, créez des habitudes » recommande Nicola Doherty. Les possibilités de communication au sein d’une équipe, et même pour tous les collaborateurs, sont nombreuses : posters, partages d’expériences, ou encore techniques de gamification et récompenses pour les employés les plus assidus. Elle ajoute : « Cet outil vous permet de créer de véritables champions dans votre équipe, votre entreprise. Ils partagent leurs succès et transmettent ainsi leur motivation à leurs collaborateurs. Pourquoi et comment utilisent-ils la plateforme ? Quelles sont leurs formateurs favoris ? Comment leur travail quotidien et leurs missions s’en ressentent-ils ? Partagez vos chiffres ! C’est la manière dont vous allez promouvoir l’outil qui fera son succès. » Les formations, si intégrées dans l’évaluation de performance, permettront également de définir les prochaines étapes d’une carrière : leadership, management, mais également solutions plus techniques, qu’il ne faut pas négliger. Nicola insiste aussi sur l’importance du feedback et de l’expérience utilisateur : auprès des managers, de la direction, mais également auprès des équipes de LinkedIn et Lynda.com. « Ces retours d’expérience doivent être constructifs et permettront à toutes les parties prenantes d’améliorer l’efficacité de la plateforme » insiste l’employé de LinkedIn.

 

Alizée Del Mastro surenchérit : « Managers, créez un cheminement de l’apprentissage au sein de votre équipe ! Les formations disponibles sur la plateforme Lynda.com permettent de rafraichir et mettre vos connaissances à jour. C’est un point crucial dans une société en pleine transformation ». Les vidéos sont affichées selon leur popularité, recommandées et taguées : l’algorithme de Lynda.com propose ainsi les formations qui correspondent le plus à votre profil. Côté technique, les managers jouent le rôle d’administrateur sur la plateforme, leur permettant d’assigner des formations à leurs collaborateurs, et de s’assurer qu’elles ont bien été réalisées, tout en attachant des documents et des messages personnalisés. Le but est alors d’encourager les membres de son équipe mais également d’aligner leurs compétences, afin qu’ils puissent se compléter les uns les autres. Enfin, des rapports peuvent être édités : fréquence de connexion, contenus visionnées, appareils utilisés, et bien plus encore. « Il est important de monitorer les habitudes des collaborateurs lorsqu’on lance ce type de plan de formation. Le manager doit observer, comprendre et ajuster si nécessaire. Le feedback prend alors tout son sens » précise Alizée. Et comme le souligne Nicola, le but de ces rapports est de faciliter à la fois la vie des managers et des collaborateurs qui suivent les formations.

 

Une plateforme d’e-learning flexible

Les beta-testeurs ont par la suite pu partager leur ressenti après quelques semaines d’essais. Pour  Nathalie de Kerchove, du département Compliance & Risk, « la force de cette plateforme d’e-learning réside dans un grand choix de formations, et elle est très facile d’accès ». Elle souligne également la flexibilité de la solution proposée par Lynda.com : il n’est pas nécessaire de passer des heures, voire des jours sur une formation. Même constat pour  Jérôme Lejeune, du département Customer Services : « La scission en chapitres est très pratique, tout comme la possibilité de mettre en pause les formations et vidéos que l’on a débutées ».

Enfin,  Laurence Parison, Chief Human Resources Officer, a conclu en soulignant l’importance de suivre ses propres formations, et pas uniquement celles imposées par les managers : « Les formations obligatoires pourront être réalisés pendant les heures de travail, mais chacun a la responsabilité de développer ses compétences. Voilà tout l’avantage de souscrire à une solutions telle que Lynda.com. Alors, on pourra parler d’une situation win-win pour l’employé ainsi que pour l’employeur ».

 

 

 

Motiver et engager les équipes autour de e-learning

La présentation de la plateforme d’e-learning, disponible pour tous les collaborateurs de OneLife, s’est déroulée avec la présence Nicola Doherty, de LinkedIn, et Alizée Del Mastro de Lynda.com. Les spécialistes de la formation en ligne ont alors présenté en détail les possibilités qui s’offrent désormais aux employés de la compagnie d’assurance-vie. Une première pour un acteur du secteur financier au Luxembourg.

 

L’événement s’est également déroulé en présence de Nicola Doherty, Regional Sales Manager au sein de LinkedIn, qui a débuté son intervention de la sorte : « La mission première du réseau social professionnel est de créer des opportunités économiques pour tous via la mise à disposition d’outils pour trouver un emploi d’un côté, et permettre aux sociétés de trouver les futurs talents ». Mais aujourd’hui, les compétences évoluent et LinkedIn l’a bien compris : le plus grand réseau social professionnel propose désormais une plateforme d’e-learning, via le rachat il y a quelques années de Lynda.com, première plateforme de formation en ligne au monde, fondée il y a plus de 20 ans. « Aujourd’hui, Lynda.com, ce sont les plus grands studios de tournage, après Hollywood. Plus de 30 vidéos sont publiées en langue anglaise chaque semaine, et plus d’une dizaine dans les autres langues » précise Nicola, qui ajoute : « ces vidéos sont créées de manière à ce que l’apprenant puisse mettre tout le temps passé à profit ». Sa présentation a par la suite été complétée par Alizée Del Mastro, en duplex d’Autriche.

 

« Nos formateurs sont des professionnels, des experts dans leur domaine. La solution d’e-learning permet de mettre à jour vos connaissances qu’il s’agisse d’un logiciel, de softskills ou de leadership. Certaines formations vous seront envoyées directement par vos managers, mais c’est également à vous de trouver celles qui peuvent vous permettre de vous développer professionnellement. Soyez curieux » explique Alizée Del Mastro. Les formations peuvent durer de 20 minutes à 5 heures, mais il est possible de sélectionner les chapitres qui concernent directement les intéressés. « Elles sont différentes des formations professionnelles car elles sont beaucoup plus flexibles. Elles sont disponibles à tout moment et peu importe où vous vous trouvez. Elles sont parfois également complétées avec des exercices, et peuvent être téléchargées pour être consultées hors ligne » précise, Anna Lehmann-Bertini, la spécialiste RH. Les formations les plus populaires au sein de la société sont également poussées sur la première page, et les experts de Lynda.com vont travailler main dans la main avec les département RH et Digital de OneLife dans les semaines à venir, afin d’aguiller managers et employés vers les trainings les plus adaptés à leurs besoins. « Certaines pourront être intégrées à votre plan de formation annuelle, à votre équipe, ou peuvent être visualisées en groupes de travail, etc » explique Alizée.

 

 

« Il est important d’essayer de trouver du temps, d’avoir une idée des compétences que l’on souhaite développer, et donc de passer quelques minutes par jour sur la plateforme. Il n’est pas nécessaire de passer 3h par semaine sur Lynda.com, mais quelques sessions d’une dizaine de minutes peuvent suffire » a ajouté Christophe Regnault, Digital Marketing Manager, avant de conclure cette session matinale : « A nous tous de créer un véritable mouvement et engagement autour de Lynda.com. C’est un outil social et vivant. Il doit être partagé : vos formations favorites, vos playlists, et même vos certificats que vous pouvez afficher sur vos profils LinkedIn ».

 

OneLife Academy Learn-Unlearn Relearn OneLife.eu.com

OneLife Academy : l’assureur-vie lance officiellement sa plateforme d’e-learning

Ce 21 septembre, l’équipe digitale et RH de OneLife, représentée par Christophe Regnault et Anna Lehmann-Bertini, a présenté à l’ensemble de ses collaborateurs son nouvel outil de formation en ligne, qui avait été annoncé lors des Digital Days de juin dernier.

 

 

« Quelques mois après vous avoir présenté notre nouvelle stratégie de formation, nous lançons officiellement notre OneLife Academy, en partenariat avec LinkedIn et plus particulièrement Lynda.com » explique Christophe Regnault, Digital Marketing Manager. Ce sont désormais plusieurs milliers de formations qui sont disponibles pour les employés de OneLife. Mais le lancement de cette académie n’est qu’une partie du plan de transformation de la société : de nombreux meetings seront ainsi organisés, à un rythme soutenu, dans le but de présenter les avancées, mais également les nouvelles technologies et futurs projets.

 

Comme le souligne Christophe Regnault, pour apprendre, il est désormais nécessaire de « désapprendre, pour mieux réapprendre à nouveau », comme l’expliquait Alvin Toffler, célèbre futurologue américain. « Dans le passé, nous ne faisions qu’exécuter ce que nous avions appris. Aujourd’hui, dans un monde qui bouge en permanence, il est nécessaire de continuer à se développer » explique le responsable digital. C’est la raison pour laquelle OneLife s’est associé à LinkedIn pour proposer une solution d’e-learning à tous ses employés. Cette plateforme est facile d’accès, ouverte à tous, et permet aux collaborateurs de réaliser les formations disponibles à leur propre rythme. Ils peuvent également être réalisés sur différents PC et appareils mobiles. « La partie sociale est également importante : nous avons tous à apprendre les uns des autres. Le dialogue et la communication sont donc clés dans la réussite d’un tel programme de formation » ajoute Christophe Regnault, qui poursuit : « LinkedIn, et sa solution Lynda.com offrent la meilleure combinaison de formation possible ». En effet, le contenu est réalisé uniquement par des professionnels. Les vidéos sont tournées en Autriche ainsi que dans la Silicon Valley. Elles sont toutes réalisées dans un but bien précis : s’adresser à des professionnels en leur proposant des solutions complètes et concrètes. Chaque expert, ou intervenant, partage ainsi ses connaissances.

 

Pour Anna Lehmann-Bertini, HR Specialist, cette solution d’e-learning proposée par LinkedIn va bénéficier à tous les salariés, managers, membres du comité exécutif, et donc, de manière générale, à la compagnie d’assurance-vie luxembourgeoise. « Aujourd’hui, vous avez tous accès à près de 10 000 formations, où vous voulez et quand vous le souhaitez. Les managers, quant à eux, pourront sélectionner des formations obligatoires pour les membres de leur équipe, afin de maintenir et augmenter les compétences de chaque employé » précise la spécialiste RH. Les formations choisies par les managers devront être suivies durant les heures de travail. Pour ce faire, le département RH met 5 iPads à disposition des membres de la firme, ainsi que la possibilité de réserver ses salles de meeting. Les cartes sont désormais dans les mains des collaborateurs de OneLife : ils ont donc le contrôle sur leur développement professionnel.

 

 

Bonne nouvelle: une planification prudente peut être envisagée! Moins bonne nouvelle : la disparition de la base de remise pour les non domiciliés

Comme la suite tant attendue d’un long-métrage sans relief, la seconde loi de finances de l’année (loi de finances 2017-2019) a été publiée le 8 septembre, sans grande surprise toutefois. Son contenu était en grande partie présent dans le budget publié au printemps qui avait été reporté du fait de la tenue de l’élection générale au mois de juin.

Elle devrait être ratifiée par le Parlement avant les vacances de Noël et portera le nom de « Finance (2) Act 2017 ». Les nouvelles règles (dont la majorité des conseillers a maintenant parfaitement connaissance) s’appliqueront rétroactivement à compter du 6 avril 2017 aux résidents non domiciliés au Royaume-Uni, plus communément appelés « non doms ».

 

Règle relative à la domiciliation réputée

Cette loi a notamment réduit le délai nécessaire à l’obtention de la domiciliation réputée. Les non domiciliés qui ont vécu au Royaume-Uni pendant 15 des 20 dernières années seront maintenant considérés comme domiciliés au Royaume-Uni aux fins de TOUS les impôts. Ils ne pourront plus bénéficier de la base de remise sur les revenus et les plus-values et seront soumis au même régime que les résidents et les personnes domiciliées au Royaume-Uni.

De plus, les personnes nées au Royaume-Uni dont le domicile est, à l’origine, également le Royaume-Uni mais qui, à un moment donné, ont choisi d’élire domicile à l’étranger, ne pourront plus demander le statut de « non domicilié » en cas de retour au Royaume-Uni.

Le statut lié à la domiciliation réputée cessera de s’appliquer au bout de 4 exercices fiscaux consécutifs de non-résidence. Toutefois, les personnes qui font le choix de revenir vivre au Royaume-Uni et de repartir de zéro, seront considérées comme des non-résidents pendant six années consécutives.
Cette mesure démontre clairement la volonté du gouvernement de combler le fossé existant entre les avantages offerts par le régime d’imposition des non domiciliés et ceux dont bénéficient les résidents domiciliés au Royaume-Uni.

 

 

 

Allégement transitoire

Changement de base

À la lumière des nouvelles règles relatives à la domiciliation réputée, la loi de finances instaure un allégement transitoire pour les non domiciliés. Les personnes qui sont réputées domiciliées au Royaume-Uni aux fins de l’impôt sur le revenu et de l’impôt sur les plus-values à compter du 6 avril 2017 seront en mesure de changer de base au regard du montant de leurs actifs situés hors du Royaume-Uni à cette date à condition d’avoir payé la base de remise au moins une fois depuis sa création en 2008. Elles pourront également défiscaliser toutes les plus-values liées à des actifs situés hors du Royaume-Uni après le 6 avril dans la mesure où ces plus-values sont imputables à une période antérieure à cette date.

Fonds mixtes

La loi de finances instaure, pendant deux ans, pour les contribuables s’acquittant de la base de remise une exemption des règles applicables aux fonds mixtes qui leur permet de faire la distinction, sur leurs comptes bancaires, entre le capital généré par leurs revenus et les plus-values. Grâce à cette décision, la fiscalité bénéficie d’une plus grande clarté tout en permettant à tous ceux qui souhaitent investir par la suite de bénéficier d’un capital nouveau.

 

Trusts offshore

La loi de finances confirme que le montant des trusts de biens exclus créés avant qu’un non domicilié n’obtienne la domiciliation réputée continuera de ne pas être pris en compte dans le montant net au titre des droits de succession au Royaume-Uni. De plus, les constituants de ces trusts seront exemptés des règles d’attribution en matière d’impôt sur le revenu et d’impôt sur les plus-values tant que certaines conditions sont remplies. En conséquence, ces actifs n’engendreront aucune charge fiscale à moins d’être transmis à un résident du Royaume-Uni.

Portefeuilles privés en obligations (PPB)

Les règles applicables aux portefeuilles privés en obligations présentes dans la section 520 des règles de 2005 régissant l’impôt sur les sociétés (Income Tax (Trading and Other Income) Act 2005) ont été légèrement modifiées. Ces règles ont été élaborées afin d’empêcher la défiscalisation des actifs privés des personnes résidant au Royaume-Uni investis dans un contrat d’assurance-vie en limitant les types d’investissements susceptibles d’être soumis à un contrat. La loi de finances ajoute trois types d’investissements susceptibles d’être détenus dans un contrat d’assurance-vie sans échapper à la rigoureuse législation anti-abus du Royaume-Uni et sans être soumis à ce qu’on appelle communément la taxe dite « PPB ».

 

Conclusion

Même si la disparition de la base de remise implique un avenir plus sombre pour les non domiciliés, la bonne nouvelle est qu’une planification prudente peut maintenant être envisagée grâce aux éclaircies offertes par de nouvelles certitudes fiscales.

Même si ses évolutions législatives s’ajoutent à l’incertitude créée par le Brexit, les non domiciliés peuvent trouver un certain réconfort dans les formidables possibilités qui, en matière de planification, restent à leur disposition et leur offrent une protection toujours aussi efficace, notamment grâce aux trusts de biens exclus et aux produits d’assurance-vie.

 

 Pour en savoir plus, merci de contacter Paul Pugh. Article écrit par Stacy Lake.

 

Le contenu de la présente lettre d’information est soumis à des restrictions et aux mentions légales présentes sur le site Internet de OneLife.

 

OneLife apporte son pixel à l’édifice

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S’adapter, développer et grandir ensemble

Nicolas Schmit, Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Economie sociale et solidaire, a clôturé ces deux journées de découverte et de formation digitales, en saluant la singularité de l’initiative lancée par OneLife. « Nous discutions encore aujourd’hui- même des impacts de la transformation digitale sur les entreprises et le marché de l’emploi avec les ministres. C’est extrêmement encourageant de voir qu’il ne s’agit pas uniquement de discussions, mais bien de pratique. OneLife s’engage ainsi fortement dans ce processus de transformation » a débuté le ministre Schmit. Il a par la suite souligné que la volonté du gouvernement était de rendre le pays toujours plus compétitif, et de le positionner comme leader digital en Europe.

 

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« Les entreprises luxembourgeoises peuvent se développer et les startups se créer dans cet environnement favorable : elles saisissent d’ores-et-déjà les opportunités du digital » a-t-il ajouté. Pour Nicolas Schmit, il est primordial d’associer toutes les parties prenantes de l’entreprise et de créer un véritable dialogue, qui dépasserait même les frontières de l’entreprise. Le partage d’expérience devient alors la clé de la réussite de cette transformation digitale, bien que chaque société doive définir ses besoins et sa propose vision. « Dans les trois prochains mois, le gouvernement va lancer le ‘Skills Bridge’ qui débute par l’identification des besoins en termes de compétences digitales, et se poursuit par la nécessité d’investir dans ses collaborateurs. Quelle est alors la responsabilité du gouvernement ? » a demandé le Ministre du Travail avant de conclure : « J’apprécie l’approche de OneLife. Les compétences sont fondamentales et doivent être constamment développées, ce sujet doit être pris en compte de manière sérieuse. Nous devons collaborer pour rendre notre pays meilleur. Ensemble, nous y parviendront ».

 

OneLife-Digital-Days-Minister-Cocktail

 

C’est avec un cocktail que se sont terminés ces Digital Days lors desquels tous les collaborateurs de OneLife ont pu découvrir et tester les technologies de demain, mais surtout de s’en imprégner pleinement puisqu’ elles redéfinissent d’ores-et-déjà leurs méthodes de travail, leurs emplois et leur quotidien. Avec ces deux journées riches en expérience, OneLife se positionne comme un leader de la transformation digitale au Grand-Duché de Luxembourg, et continue à mener à bien son carnet de route digital.

 

Je MOOC, tu MOOC, OneLife MOOC…

 

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« Saisir les nombreuses opportunités du digital »

Depuis quelques mois, Nasir Zubairi occupe la fonction de CEO de la LHoFT (Luxembourg House of Financial Technology). Spécialiste mondialement reconnu dans les technologies financières, il fait également partie du Top 100 des experts de la Blockchain. « Nous avons tous un smartphone dans notre poche et nous sommes constamment connectés. Cependant, moins de 1% des transactions financières se font via le smartphone. Pourtant, nos vies se sont clairement adaptées aux technologies, qu’il s’agisse du mobile, de l’ordinateur, ou de l’internet des objets » constate Nasir Zubairi. Selon le CEO de la LHoFT, le monde de la finance ne les utilise pas suffisamment. « Les services financiers sont des ‘facilitateurs, ils permettent d’acheter, car il s’agit bien là du but ultime » précise Nasir Zubairi. Il pense également qu’un changement d’état d’esprit est nécessaire, avec un focus tout particulier sur les problèmes, plutôt qu’orienté directement vers la solution. « Dès lors, tous les collaborateurs deviennent de potentiels fournisseurs de solutions.

« Tous les collaborateurs deviennent de potentiels fournisseurs de solutions. » Nasir Zubairi, CEO de la LHoFT

De plus, cela développe leur engagement auprès de la société » ajoute-t-il. Concernant les services proposés par les sociétés d’assurance, Nasir Zubairi a abordé la valeur ajoutée que peuvent être les données sur la santé, feedback, etc : « Nous devons créer une émotion, faire que les gens aient véritablement envie de souscrire, et qu’à contrario, ils ne le fassent plus uniquement car ils estiment qu’il s’agit d’une obligation ». Pour le spécialiste des FinTechs, « les opportunités sont incroyables, il faut être de ceux qui pensent différemment et qui résolvent les problèmes. L’environnement de OneLife le permet. Alors saisissez ces opportunités ».

 

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Plusieurs milliers de MOOCs pour développer ses compétences

C’est dans cette optique que, sous l’impulsion de Christophe Regnault, le département RH de OneLife, représenté par Nicolas Palau, HR Business Partner, en collaboration de Julien Joly, de LinkedIn Europe (LinkedIn Learning/Lynda.com), a profité des Digital Days pour présenter sa nouvelle offre de formation MOOC – Massive Open Online Course – ouverte à tous les employés de la compagnie d’assurance-vie, et disponible dès septembre. « Les métiers évoluent, et il nous est nécessaire d’embrasser le changement. Les MOOCs permettent une grande flexibilité dans l’apprentissage et sont une approche complémentaire à nos offres de formation existantes » souligne le spécialiste RH, qui a conclu de la sorte : « Soyez motivés, soyez curieux, soyez le pilote de votre propre développement ».

 

C’est pourquoi les collaborateurs de OneLife ont pu assister, en direct, à une première démonstration des possibilités offertes par LinkedIn Europe (LinkedIn Learning/Lynda.com), que Julien Joly décrit comme le « Netflix de la formation ».

 

 

Apprendre – Réapprendre – Recommencer

De la Blockchain à l’Intelligence Artificielle

Pour faire suite à la présentation de Christophe Hermanns de la veille à propos des nouvelles technologies et tendances, les responsables de OneLife ont opté pour une approche plus pragmatique le deuxième jour, avec l’intervention de partenaires évoluant dans les domaines des RegTechs, FinTechs, et bien plus encore.

 

Fabrice Croiseaux, CEO d’InTech, a débuté cette session de workshops par une introduction à la Blockchain. « Internet, et notamment les GAFA (Google Apple Facebook Amazon), sont les places les plus centralisées au monde, leur donnant ainsi une force de frappe certaine » a débuté l’expert IT, précisant alors que le but de la Blockchain est d’offrir ce même type de services sécurisés, sans qu’ils soient centralisés. « Toute l’histoire des transactions est enregistrée, par contre, on ne sait pas qui se trouve derrière l’adresse. Il est important de souligner qu’il ne s’agit pas uniquement de monnaie virtuelle, mais aussi de smart contracts, cadastres, certificats de propriétés, etc ». Pour les compagnies d’assurance-vie, la Blockchain peut notamment servir à centraliser la distribution de fonds.

 

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C’est ensuite David Naramski, Partner chez Nowina Solutions, qui a présenté à l’ensemble des collaborateurs les avantages de l’intégration de la signature électronique dans le monde finance, projet en cours chez OneLife et qui verra le jour à la fin du second semestre 2017. « La signature électronique est un compromis entre une sécurité optimale et une nouvelle expérience utilisateur » explique David Naramski. Une directive existe depuis 1999, mais laissait libre interprétation aux états membres de l’EU. Depuis 2014, un règlement est en place, et a permis l’uniformisation des signatures électroniques. Plusieurs outils coexistent cependant : Advanced Electronic Signature et Qualitative Electronic Signature, permettant selon la signature électronique utilisée, l’usage de son smartphone (via SMS), d’une tablette, ou de sa carte d’identité.

 

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Johann Blais, Head of Software Solutions de la société Ainos, a par la suite partagé les avancées en matière d’intelligence artificielle, « que nous utilisons déjà tous dans notre quotidien, et que nous avons découvert à travers de nombreux films à Hollywood » mais surtout en matière de Chatbot. En collaboration avec OneLife, son équipe est en train de développer un assistant virtuel nommé Olive(R). Celui-ci permettra d’assister les business partners dans le processus de souscription via un chat qui permet de guider le souscripteur et de libérer du temps pour les experts de OneLife en terme de suivi et de personnalisation des services. « Les bots peuvent traiter l’information plus rapidement que les humains ne pourront jamais le faire » a ajouté Johann Blais.

 

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Puis, c’est Luc Maquil, CEO et cofondateur de la startup Luxembourg KYCTech, qui a partagé sa vision avec les collaborateurs de OneLife. Les deux sociétés ont en effet annoncé un Proof of Concept en mai dernier, lors d’ICT Spring. « Les tâches des Compliance & Risk Officers doivent être facilitées. Il ne s’agit pas de révolution, mais plutôt d’analyser les différentes étapes – analyses, recherches, etc – et de les automatiser » précise Luc Maquil, qui ajoute que certains challenges persistent : collecter l’information que l’on retrouve partout et en abondance, la nettoyer et surtout connaitre les besoins des clients et partenaires. « La technologie ne vaut rien si elle n’est pas utilisée de manière optimale. Elle doit avoir une véritable valeur ajoutée » a conclu le CEO de KYCTech.

 

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Pour conclure cette session pratique, Marc Stevens et Christophe Regnault ont accueilli Olivier Gentier, le CEO de la startup française Advize, qui se spécialise dans le conseil en gestion de patrimoine automatisé, ou « robo-advisor ». « Les trois missions, ou piliers, du robo-advisor sont l’expérience utilisateur, le conseil financier et la recherche de la performance. Nous entendons souvent que le client est au centre de la stratégie, mais 97% de la population n’a pas accès à de véritables conseils financiers » explique Olivier Gentier, pour qui le robo-advisor doit être un copilote, qui utilise plusieurs outils. Il cite notamment la connaissance client et le profil épargnant, le conseil financier et l’allocation, puis une souscription facilitée en ligne. A la rentrée 2017, Advize et OneLife lanceront une offre destinée aux CGPI. « Une première au Grand-Duché et une véritable révolution », selon Wim Dieryck, Chief Commercial Officer chez OneLife.

 

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Pitch Time !

OneLife-Digital-Days-pitch

 

Le département RH, sous la houle de Nicolas Palau, a également mis ses collaborateurs à l’épreuve : en équipe, ils ont dû représenter les différentes expériences de la journée dans un schéma, avant de présenter non seulement leurs expériences favorites, mais surtout les impacts de la transformation digitale sur les activités d’une compagnie d’assurance-vie. Et enfin, Dix équipes se sont alors succédées pour définir les prochains challenges de OneLife, devant un jury composé des membres du Comité Exécutif (Marc Stevens, Laurence Parison, Wim Dieryck, Eric Lippert, Cédric Lootvoet, Antonio Corpas), avec des pitchs de 2 minutes. Si certains ont souligné l’importance de la communication et de l’information, l’arrivée de la signature électronique ou encore la valeur ajoutée des applications et de la réalité virtuelle, c’est bien l’aspect humain et l’orientation client présentés par l’équipe de Nathalie Calabrese qui a convaincu les membres du jury.

 

OneLife-Digital-Days-pitch

 

Le digital pour améliorer l’expérience et le service aux clients, partenaires et collaborateurs

Le lendemain de leur victoire, les membres de l’équipe désignée vainqueur de la session de pitch sur l’impact du digital sur les activités de OneLife, ainsi que sur les futurs challenges, ont livré leur témoignage. L’équipe était composée de Nathalie Calabrese, Anna Bertini, Liana Aghabekyan, Steven Cooney, Judith Hooker, Valérie Harm, Pierre Derupty, Melissa Fety, Philippe Polydore et de Michael Hodges.

 

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« Dans le cas de OneLife, le digital va principalement nous permettre de répondre aux requêtes des clients, de manière plus rapide – voire quasi-instantanée – et efficace. Notre compagnie d’assurance-vie est clairement orientée client » débute Nathalie Calabrese. Car si ces Digital Days avaient pour but d’initier la totalité des collaborateurs de OneLife aux nouvelles tendances et pratiques digitales, un long chemin a déjà été parcouru. En effet, comme le rappelle Liana Aghabekyan, la compagnie est d’ores-et-déjà en train d’intégrer la signature digitale, et collabore avec la RegTech Luxembourgeoise KYCTech, main dans la main avec le département Compliance & Risk, pour faciliter le processus d’enregistrement des souscripteurs. « L’année dernière, nous avons également lancé une application mobile. Et depuis 25 ans, nous utilisons Yoya » précise-t-elle, montrant alors cette volonté de longue date de OneLife de figurer parmi les pionniers de l’innovation au Grand-Duché de Luxembourg.

 

OneLife-Digital-Days-winner  

 

Nathalie Calabrese souligne également l’importance de l’aspect humain, qui avait par ailleurs séduit les membres du jury : « Ces technologies permettent encore plus d’interactions et de communications avec nos partenaires, clients, mais également en interne, avec nos collègues. Elles ont une véritable plus-value et facilitent la vie des collaborateurs. Cependant, une vision humaine est nécessaire pour leur intégration et une utilisation optimale ». Humains et technologies se complètent, comme le précise Liana Aghabekyan. « Ces outils nous donnent de nouvelles options en termes d’interaction et d’échanges » surenchérit d’ailleurs Steven Cooney. Philippe Polydore insiste quant à lui sur le fait que ces technologies en cours d’intégration vont augmenter la fiabilité des processus de OneLife, soulignant également l’aspect « sans papier » de la signature électronique.

 

Tous les membres de l’équipe composée à l’occasion de ces Digital Days s’accordent le fait que la transformation des entreprises est rapide et qu’il est dès lors nécessaire de prendre le train de la digitalisation. « Ces deux journées ont donné une belle impulsion et nous ont permis de voir concrètement comment il est possible de lier ces technologies au business de OneLife » soulignent-ils de concert.

 

 

Work hard. Play hard.

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En différents groupes, les équipes de OneLife ont pu assister à une présentation de Christophe Hermanns, CEO de Vigo Universal, et l’un des pionniers belges du développement d’outils de haute technologies pour assister l’homme dans son activité journalière. « Nous avons déjà tous entendu parler de ces nouvelles technologies, dans les médias ou sur les réseaux sociaux. Je pense notamment à la reconnaissance gestuelle, la réalité virtuelle ou encore l’impression 3D. En 2020, nous devrions recenser plus de 50 milliards d’objets connectés. Les montres, nos brosses à dents, etc, tout va devenir connecté » a débuté Christophe Hermanns avec de préciser : « Toutes ces technologies ne sont que l’évolution des instruments qui tiennent aujourd’hui dans notre poche : les smartphones ». Le spécialiste de la technologie précise que les capacités, l’intelligence et la puissance des ordinateurs a évolué très rapidement. En 1965, on pensait que l’ordinateur arriverait à l’intelligence d’un singe en 2030… mais elle atteindra en fait celle d’un humain dès 2025 !

« Désormais, on ne fait plus simplement le métier pour lequel on a été formé. On continue à se développer constamment, et de nouveaux métiers sont créés. A titre d’exemple, lorsqu’un médecin obtient son diplôme, 30% de ses connaissances sont d’ores-et-déjà dépassées » souligne Christophe Hermanns.

Le parallèle avec le monde du travail, et la transformation digitale de tous les secteurs, est alors évidente : les entreprises, et ses collaborateurs doivent sans arrêt se remettre en question, innover et développer leurs compétences. Il est cependent difficile d’anticiper le futur, mais le cabinet Gartner, via son Hype Cycle, permet chaque année de visualiser quelles technologies sont sur le point d’émerger, puis lorsqu’elles entrent dans notre vie de tous les jours : il s’agit du plateau de productivité. Christophe Hermanns est par la suite revenu sur plusieurs technologies sur le point de révolutionner nos méthodes de travail, les façons d’interagir avec nos clients et partenaires, ou encore sur les moyens de promouvoir ses services. Les équipes de OneLife, ont pu, dans les locaux de la société située à Capellen, toucher de près à certaines de ces technologies et vivre ainsi de nouvelles expériences digitales.

 

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Ces technologies qui redéfinissent notre quotidien

« Le secteur de l’impression 3D est en forte croissance. Cette méthode, qui existe depuis 1984, n’a été popularisée qu’au début des années 2010 et la possibilité d’imprimer via internet » a expliqué Christophe Hermanns. Son utilisation ? Des maquettes pour les départements marketing, les architectes, mais également pour la conservation du patrimoine et dans le domaine médical. Certaines de ces utilisations manquent encore d’industrialisation et nécessiteront encore quelques années avant de se démocratiser.

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Comme l’a souligné le CEO de Vigo Universal, on parlait déjà de Réalité Augmentée en 1962. Elle n’a cependant été mise sur le devant de la scène qu’en 2015 avec l’utilisation accrue du smartphone, mais surtout avec le phénomène – éphémère, certes, mais efficace – Pokémon Go. Les capteurs, gyroscope, et autre composantes digitales de nos smartphones permettent aujourd’hui de capter et d’analyser une image, et de sublimer son environnement. « Le papier, de manière ironique, bénéficie aujourd’hui de cette technologie. C’est le cas des brochures marketing auxquelles il est désormais possible d’attacher des PDF, des vidéos, etc. Le papier devient dynamique et interactif » explique M. Hermanns.

La Réalité Virtuelle a quant à elle été popularisée par la saga Matrix, avec des personnages plongés dans un univers complètement synthétique. « Cela se fait avec un casque, et donne une vision différente du monde. Beaucoup de sociétés développent des logiciels destinés au monde de la finance, de la formation, mais pour remonter aux origines de la RV il faut revenir à 1787 avec des projections permettant de créer un univers virtuel » précise-t-il. Cette technologie est déjà utilisée dans le domaine médical afin de soigner certaines phobies ; elle permet également de créer des applications sources de nouvelles expériences pour clients et partenaires.

 

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Les domaines du marketing et de la finance bénéficient également de la Reconnaissance Gestuelle, autre technologie abordée par Christophe Hermanns. Initiée par des startups, préconisée par Microsoft puis popularisée par Apple, elle se développe autant en Europe, qu’en Asie ou aux Etats-Unis. Enfin, le spécialiste des nouvelles technologies s’est attardé sur la Mixed Reality, dont l’avantage par rapport à la réalité virtuelle est le fait que l’on puisse continuer à interagir avec le monde qui nous entoure. « Il s’agit là de la technologie la plus avancée et évoluée. Les caméras de votre casque, lunettes, ou plus tard lentilles, mesurent tout l’environnement qui vous entoure. Cette technologie est remarquable notamment pour le secteur de la formation » a-t-il ajouté.

En guise de conclusion C. Hermanns précise “il faut désormais faire un choix, bien sélectionner les informations qui sont à notre disposition ». Il s’est également voulu rassurant : la technologie et le digital ne brisent en aucun cas la relation de personne à personne, au contraire, elles créent de nouvelles expériences et font tomber les barrières. Elles favorisent les échanges et le partage, qui se font de manière plus intuitive. « Ces nouveaux outils business arrivent dans nos vies de tous les jours et vont clairement bouleverser le secteur de la banque et de l’assurance » a conclu Christophe Hermanns.

 

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Des expériences ludiques

Ces deux journées étaient également l’occasion pour les 150 collaborateurs de OneLife de mettre en pratique les innovations technologiques décrites par le CEO de Vigo Universal. Les équipes de la société belge ont proposé plusieurs ateliers aux employés de l’assureur-vie, à travers un parcours 100% digital dans la zone de réception. Au programme : pilotage de drones, une partie de foot en réalité virtuelle, mais également un saut en parachute ou une session de tir en plein saloon. « Les expériences avec les caques de réalité augmentée et réalité virtuelle étaient vraiment bluffantes : WOW ! » s’exclame Nathalie Calabrese. Steven Cooney ne peut que confirmer : « Je suis surpris, ces technologies sont très réalistes ». Les casques hololens ont notamment permis aux collaborateurs de OneLife de redécouvrir le système solaire grâce à la réalité augmentée. « Le plus intéressant était de pouvoir toucher de près à ces technologies. En tant que développeur informatique, je connais ces technologies, mais n’ai pas forcement l’occasion de les tester » ajoute Philippe Polydore. « Nous ne sommes pas tous des geeks » plaisante Nathalie, avant de poursuivre : « Je pense que 90% d’entre nous n’avons même jamais eu l’opportunité d’essayer ces technologies, et les avions simplement découvertes à la TV ou sur les réseaux sociaux. Maintenant, nous sommes capables de comprendre à quels points elles peuvent être utiles dans notre monde professionnel ». Finalement, un atelier « impression 3D » était proposé.

 

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Pour Liana Aghabekyan, ces deux journées ont eu un fort impact : elles ont sensibilisé tous les collaborateurs qui connaissent maintenant la direction que prend OneLife. Elle ajoute « Maintenant, plus personne ne pourra regarder les décisions du management avec scepticisme ». Les collaborateurs sortent donc grandis de cette première édition des Digital Days. « Le fait que la société ait organisé cet événement interne prouve qu’elle est ouverte aux nouvelles technologies, ce qui est génial pour une compagnie d’assurance-vie, parce que par le passé, cela ne se ressentait par forcément dans le secteur » explique Philippe Polydore. « Toutes ces expériences, mais également les présentations ont été très instructives. Nous avons une vision claire de l’apport du digital dans le métier de l’assurance-vie, et de la vitesse à laquelle notre métier évolue. C’est également très encourageant de voir que tous les collaborateurs ont participé et ont été mis à contribution lors de cette première édition des Digital Days » conclut Nathalie Calabrese.

 

Pourquoi Monsieur le Ministre Nicolas Schmit est-il venu conclure les Digital Days de OneLife ?

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Jeudi 15 Juin, à 18h, OneLife a eu l’honneur d’accueillir M. Nicolas Schmit qui a prononcé un discours pour conclure les OneLife’s Digital Days.

Monsieur le Ministre a souligné par sa présence et par ses mots l’importance d’une initiative telle que celle initiée par OneLife dans le projet plus global que vient de lancer le Gouvernement du Grand-Duché de Luxembourg. L’objectif de ce projet est en effet de combler l’écart qui existe entre la transformation digitale du pays, tout particulièrement dans le secteur financier, et les compétences actuellement disponibles.

 

 « Les compétences sont un investissement. On a tendance à croire qu’il s’agit seulement d’ordinateurs et de matériel informatique, mais même les meilleures machines ne peuvent fonctionner sans personne derrière. » Nicolas Schmit, Ministre du Travail, de l’Emploi, et de l’Economie sociale et solidaire

 

Les Digital Days viennent en effet marquer le lancement d’un programme de formation générale destiné aux membres de l’entreprise, dont une plateforme de formation interne permettant d’acquérir, seul ou en équipe, de nouvelles connaissances nécessaires à cette transformation digitale.

 

OneLife tient donc à exprimer sa reconnaissance à Monsieur Nicolas Schmit pour sa venue et ses encouragements, et espère soutenir dans un avenir proche les initiatives de coopération que proposera le gouvernement entre privé et public, pour une transition digitale efficace et durable. « Ensemble, nous pourrons atteindre notre but ! »

 

OneLife vous propose de découvrir très bientôt un reportage détaillé de ces journées et de ce qu’elles impliquent de transformation au sein de notre entreprise !