Un résident brésilien peut-il détenir une assurance-vie étrangère ?

Les assureurs luxembourgeois se posent souvent la question de savoir si, d’un point de vue règlementaire, un résident brésilien peut détenir une assurance-vie étrangère. Nous pensons qu’il y a lieu de répondre à cette question de manière objective et de présenter le contexte règlementaire et les conséquences fiscales dans cette juridiction.

 

Le cadre règlementaire brésilien

La règle générale veut que les individus et les entités qui résident ou sont domiciliés au Brésil puissent uniquement souscrire des contrats d’assurance auprès de compagnies régies par le droit interne et immatriculées auprès de l’autorité de contrôle et de supervision du marché brésilien de l’assurance (SUSEP). Par conséquent, les compagnies d’assurances étrangères ne peuvent pas exercer, directement ou indirectement, d’activités de vente et de marketing au Brésil ni établir des contrats d’assurance avec des preneurs d’assurance qui résident sur le territoire brésilien. 

Ayant à l’esprit cette règle générale, la loi n’interdit pas que des non-résidents souscrivent une assurance à l’étranger au profit de résidents brésiliens. Sachant que le droit brésilien adopte le principe de légalité, aux termes duquel les individus et les entités sont autorisés à conclure des accords qui ne sont pas interdits par la loi, ce type d’accord devant être considéré comme un accord valablement conclu entre deux entités non brésiliennes dans le plein respect du droit de leur pays de résidence.

Dans ce contexte, de solides arguments justifient le fait qu’une entité étrangère, même si elle est contrôlée par des résidents brésiliens, puisse souscrire une assurance-vie aux termes de laquelle les assurés ou les bénéficiaires sont des résidents brésiliens. La loi brésilienne n’interdit pas cette situation puisque le résident brésilien ne souscrit pas une assurance-vie auprès d’une compagnie étrangère mais représente simplement le risque couvert par l’entité étrangère.

 

 

Il convient de garder à l’esprit qu’actuellement les autorités brésiliennes portent une attention accrue aux opérations réalisées par des structures étrangères au bénéfice de résidents brésiliens et qu’elles peuvent s’en désintéresser si elles considèrent que certaines de ces opérations sont des montages artificiels imaginés par des entités étrangères afin d’échapper aux restrictions imposées aux résidents brésiliens par les législation et règlementation locales.

Il convient donc de mettre en place une solution à la mesure des enjeux afin de réduire les risques de voir, par la suite, les autorités locales contester la structure proposée en privilégiant le fond par rapport à la forme. En ce sens, les assureurs étrangers devraient prendre en compte des facteurs tels que : la préexistence d’une structure dûment déclarée auprès des autorités brésiliennes qui n’a pas été constituée que dans le but de souscrire une assurance-vie, le fait que cette structure soit opérationnelle et/ou possède d’autres types d’investissements, l’objet social de la compagnie étrangère qui est d’agir en tant que holding et société d’investissement, la preuve d’un intérêt assurable pour la structure étrangère sur l’assuré, la compagnie étrangère doit être désignée en tant qu’un des bénéficiaires de l’assurance etc.

Il est important de mentionner que les grands cabinets d’avocats au Brésil ont confirmé que, jusqu’à maintenant, aucune loi, aucun règlement ou précédent faisant autorité ne permettent à la SUSEP d’utiliser l’approche privilégiant le fond par rapport à la forme pour interdire des accords légitimes et des structures régies par le droit de territoires étrangers. En outre, au cours de leurs recherches sur les jurisprudences administrative et judiciaire, aucun n’a pu trouver la moindre décision interdisant une structure similaire, impliquant une entité légale étrangère ou un étranger qui aurait souscrit une assurance étrangère aux termes de laquelle un résident brésilien est l’assuré ou le bénéficiaire.

 

Quels sont les critères à remplir pour être qualifié de police d’assurance-vie au Brésil ?

Sachant que le contrat d’assurance en unités de compte est un contrat international courant en dehors du Brésil, il est important de le comparer avec la conception brésilienne de l’assurance afin de définir les conséquences fiscales et juridiques brésiliennes.

Nous devons insister sur le fait que de telles polices d’assurance hybrides proposées traditionnellement par les compagnies d’assurances basées au Luxembourg ne sont pas communes au Brésil. Au Brésil, le secteur de l’assurance-vie est dominé par les produits d’assurance-vie temporaires (dont la validité peut être d’un an et qui ne permettent pas de capitaliser) ou de produits d’épargne retraite tels que les VGBL (“Vida Gerador de Benefícios Livres”- qui, pour des raisons fiscales, sont considérés comme des assurances-vie). C’est pourquoi, il est primordial de proposer une solution répondant au statut juridique de l’assurance-vie au Brésil afin d’éviter que les autorités fiscales brésiliennes ne requalifient les actifs financiers en revenus générés par un investissement financier étranger.

Les dispositions du Code civil brésilien définissent le contrat d’assurance comme un contrat aux termes duquel la compagnie d’assurances est tenue de couvrir les intérêts du bénéficiaire au titre des risques assurés liés à des personnes ou à des objets, en contrepartie du versement d’une prime. En outre, pour être considéré comme une assurance-vie, le contrat doit garantir le versement d’une indemnisation au titre d’événements futurs et imprévisibles et intégrer une couverture importante du risque de décès qui confirme la nature d’une assurance-vie.

Aussi, si le contrat est conçu sur la base des exigences mentionnées ci-dessus, les produits perçus par les bénéficiaires brésiliens devraient être considérés comme des indemnisations aux termes du droit brésilien.

 

 

Les conséquences de la fiscalité brésilienne

Une fois le statut d’assurance-vie acquis, il est nécessaire d’évoquer les conséquences fiscales éventuelles qui pourraient exister au Brésil.

En cas de décès, le Code civil brésilien prévoit que les prestations décès ne soient pas considérées comme la succession du défunt. C’est pour cette raison que les bénéficiaires brésiliens devraient percevoir ces prestations juste après le décès de l’assuré sans que cela n’implique de procédure de succession internationale. Le délai de règlement ne doit pas dépasser un mois à compter de la date à laquelle la compagnie d’assurances a reçu l’intégralité des documents nécessaires au versement.

D’un point de vue fiscal, ces montants ne seraient pas assujettis à des droits de donation/succession puisque l’événement déclencheur est le transfert de propriété ou de droits résultant de la succession ou de la donation et non une indemnisation au titre d’une assurance-vie. De plus, le Code des impôts brésilien stipule que le capital figurant dans un contrat d’assurance-vie versé à un résident brésilien en qualité de bénéficiaire est exonéré de l’impôt sur le revenu. En outre, les autorités fiscales brésiliennes ont déjà reconnu, en vertu d’une décision, que cette exonération s’applique également aux contrats d’assurance-vie souscrits à l’étranger tant que les caractéristiques obligatoires des contrats d’assurance au Brésil sont respectées à la lettre. Ainsi, si le contrat a été rédigé en bonne et due forme, les prestations décès versées aux bénéficiaires brésiliens ne doivent pas être soumises à des droits de donation et de succession et sont exonérées de l’impôt sur le revenu.

Dans le cas de montants découlant de rachats ou de créances à échéance, puisque le Brésil n’impose pas aux individus de règles relatives aux sociétés étrangères contrôlées, l’imposition ne serait déclenchée qu’une fois les dividendes distribués à l’actionnaire ou la réduction du capital ou la liquidation de la structure à l’étranger. Dans le cadre du premier scénario, l’impôt sur le résultat serait prélevé à hauteur de 27,5%. Dans le cadre du second scénario, les individus doivent évaluer les plus-values obtenues et les soumettre à une imposition progressive allant de 15 % à 22,5 %.

Compte tenu des réglementations en vigueur au Brésil en matière de contrôle des changes, les virements effectués à l’intérieur et à l’extérieur du territoire déclencheraient une imposition au titre de la taxe sur les transactions financières. En règle générale, les clients donnent aux compagnies d’assurances l’instruction de déposer les produits sur leurs comptes bancaires à l’étranger. Si les individus souhaitent rapatrier ces fonds au Brésil, un accord sur le contrôle des changes de devise devrait alors être conclu avec une banque brésilienne pour permettre le retour des fonds disponibles de l’étranger (« retorno de disponibilidade »), ce qui impliquerait alors une imposition de 0,38 % au titre de la taxe sur les transactions financières.

 

Les évolutions de la fiscalité brésilienne

Il convient de souligner que le Brésil est une juridiction qui n’impose pas aux individus les règles relatives aux sociétés étrangères contrôlées et qui n’a pas non plus adopté le principe privilégiant le fond par rapport à la forme. En ce sens, il existe de nombreuses opportunités à explorer en matière de planification fiscale et les Brésiliens structurent majoritairement leur patrimoine via des sociétés d’investissement situées dans des paradis fiscaux. Malgré le manque de volonté politique d’adopter la législation nécessaire, les autorités fiscales brésiliennes prennent de plus en plus pour cible les structures étrangères. Il est donc important d’examiner de quelle manière les autorités administratives et judiciaires interprètent et autorisent les solutions de planification fiscale.

Jusqu’à récemment, les limites de la planification fiscale se fondaient sur le principe de légalité (limites négatives de conduite). Néanmoins, les autorités fiscales ont commencé à imposer l’existence de restrictions supplémentaires concernant l’objet de l’activité (limites positives de conduite) afin de combler les lacunes juridiques. Elles commencent donc à se distancier d’une analyse exclusivement fondée sur la formalité exigée par la législation pour privilégier le fond par rapport à la forme, une approche en vertu de laquelle la forme juridique d’une transaction donne lieu à un prélèvement en fonction de sa réalité économique. En ce sens, si une transaction est menée de manière discutable du fait de son caractère artificiel dans un contexte d’évasion fiscale, les autorités fiscales locales pourraient avoir des motifs de la contester.

Afin de se préparer à ce changement de paradigme, nous conseillons fortement à nos clients de tenir compte de la pertinence de l’objet de l’activité et de la réalité économique lorsqu’ils conçoivent des solutions visant à structurer un patrimoine à long terme.

 

N’hésitez pas à prendre contact avec nous si vous souhaitez que nous vous aidions à trouver une solution pour votre patrimoine.

  Taïza Ferreira

 

Sales Navigator de LinkedIn – une mine de nouveaux clients !

OneLife aime conjuguer marketing traditionnel et marketing digital pour dénicher de nouveaux clients. LinkedIn est un outil particulièrement puissant, qui facilite la localisation de prospects de qualité, qui peuvent ensuite être exploités par l’équipe des ventes pour établir de nouvelles relations commerciales.

 

La nouvelle technique de vente passe par les réseaux sociaux! The OneLife Company prospecte grâce à LinkedIn Sales Navigator

 

Le saviez-vous ? En 2017, 30 % des nouvelles primes de contrats OneLife ont été collectées à l’aide de cette méthodologie, soit près du tiers des nouveaux clients localisés directement (et digitalement) sur LinkedIn ! Il s’agit d’une méthode de travail qui permet d’économiser du temps et de l’argent.

Plusieurs membres de l’équipe OneLife travaillant sur des marchés différents ont participé à cette étude : Nadine Baltus, Cécile Portes, Arnaud Mezergues, Bastien Perrine, Tarja Valkeinen et André Piovezan, sous la direction de Christophe Regnault, responsable du Marketing digital de OneLife.  Sales Navigator, qui repose sur le réseau et le processus de LinkedIn, a réellement contribué à réduire le cycle de vente et à créer de véritables opportunités commerciales. 

 

Qu’avons-nous accompli ? Nous avons le plaisir d’annoncer que OneLife est la première société de gestion de patrimoine au monde à entrer au « Hall of Fame » de LinkedIn, un classement par secteur des meilleures entreprises ayant recours aux techniques de vente modernes. OneLife est dès à présent reconnue par LinkedIn comme un expert en vente sociale et en génération de prospects aux côtés de sociétés aussi prestigieuses que Microsoft, Paypal, SAP … 

 

Comment y sommes-nous parvenus ? Le projet a été lancé en mars 2017 par Christophe Regnault, dans le cadre de son allocution à L’Apéro des Marketers au Luxembourg. Le sceau d’approbation du réseau LinkedIn est une marque forte, qui reconnaît que les actions mises en place avec l’outil Sales Navigator ont produit de réels résultats pour OneLife. La combinaison du réseau LinkedIn, d’Indicateurs Clés de Performance (ICP ou « Key Performance Indicators », KPIs en anglais) clairs et d’une équipe motivée, constitue une formule gagnante !

 

LinkedIn Sales Navigator Case Study OneLife

 

Voir => ici pour le lien vers le Case Study OneLife.

 

Antonio Corpas, Chief Executive Officer de OneLife : « Chez Onelife, nous constatons de visu les avantages que peut offrir l’intégration d’une dimension de vente sociale moderne aux techniques de vente plus traditionnelles. Le succès des solutions de vente LinkedIn réside dans la capacité à cibler des contacts qui ont un intérêt réel pour notre offre de services et donc à répondre rapidement et efficacement, de manière à pouvoir satisfaire leurs besoins ».

 

Christophe Regnault, responsable du Marketing digital chez OneLife : « Ceux qui pensaient que la vente moderne ne pouvait pas s’appliquer à la gestion d’actifs et à l’assurance-vie devront se rendre à l’évidence ! 30 % des actifs de OneLife en Europe proviennent de prospects obtenus via Sales Navigator. Si on applique ce résultat au reste de nos territoires, vous pouvez mesurer l’impact considérable de cette solution ! »

 

Et après ? Grâce à ces solides fondations, OneLife est maintenant prête à construire et à développer davantage cette dynamique pour les équipes de front-end chez OneLife ainsi que pour ses actionnaires.

Deux actions principales doivent être mises en œuvre :

  • continuer d’accroître le nombre de participants en interne, afin d’étendre progressivement la portée de la marque sur les principaux facteurs de différenciation de OneLife ;
  • intégrer davantage nos actionnaires, en organisant des ateliers externes avec nos partenaires, non seulement afin d’obtenir un effet multiplicateur et un alignement en termes de transmission de la portée de notre marque, mais également pour générer de la valeur à partir de nos prospects.

 

OneLife entend poursuivre son travail fondé sur les techniques de vente moderne et tient à féliciter toutes les personnes qui ont participé à cette expérience !

 

Notre vision du Service Client de demain

Consciente que l’expérience client doit être au cœur de ses préoccupations, la compagnie a mis en œuvre plusieurs initiatives ces dernières années afin d’améliorer ses services et répondre aux attentes actuelles de ses partenaires et clients. Et les projets sont encore nombreux. Résolument tournée vers la digitalisation, OneLife souhaite mettre les nouvelles technologies au service de tous ses partenaires et clients tout en proposant des échanges qualitatifs de proximité et humains.

Organisé autour de 40 collaborateurs, le Service Client de OneLife traite chaque année 22.000 appels téléphoniques, 30.000 opérations et 40.000 emails.

 

 

Proposer une relation client multicanal

A l’heure du digital, OneLife souhaite proposer des canaux de communication adaptés à chacun: l’allergique à la technologie, le social media addict, le client fidèle ou plus volatile, l’autonome qui préfère se débrouiller seul ou celui qui désire un accompagnement… Une relation client sans coutures !

Actuellement, les courriers, e-mails et appels téléphoniques sont les canaux de communication les plus courants. Cependant, en parallèle, nos sites web sécurisés youroffice pour nos partenaires et yourassets pour nos clients ainsi que notre appli mobile OneLife OneApp offrent déjà à notre clientèle la possibilité de rester connectée avec nous 24h/24 et 7j/7. Ces canaux digitaux leur permettent de suivre l’actualité du marché et de notre société ainsi que de gérer leurs portefeuilles, mener certaines transactions, et consulter le statut des opérations en cours.

=> Téléchargez « OneLife OneApp »!

Disponible sur Play Store ou Apple Store.

 

 

A l’avenir, OneLife ajoutera encore plus de possibilités avec la mise à disposition de documents en ligne (dématérialisation), l’implémentation progressive de la signature électronique et la souscription en ligne. Grâce à ces nouveaux outils, la compagnie espère en premier lieu accompagner ses partenaires pour qui la complexité administrative de certains dossiers, en partie causée par le renforcement continu des règlementations (MiFID, CRS, PRIIPS…) peut constituer un frein à la mise en place de nos solutions.

Nous réfléchissons également en parallèle à l’implémentation d’un agent conversationnel qui permettra à tous nos partenaires et clients d’obtenir très rapidement et à tout moment des informations sur des questions spécifiques relatives aux nouvelles réglementations, à nos pratiques administratives, nos processus de connexion en ligne… et ce, sans même décrocher leur téléphone.

 

=> Vous êtes un partenaire de OneLife?  

Découvrez les nombreuses possibilités offertes par notre portail sécurisé youroffice !

=> Cliquez sur le lien ci-dessous.

 

Automatiser le traitement des volumes pour consacrer du temps à l’humain

Au Service Client, nos collaborateurs passent beaucoup de temps à interagir avec les différentes applications du système d’information. Pour réaliser leur mission, ils sont très souvent amenés à effectuer de nombreuses re-saisies ou vérifications d’informations issues de plusieurs applications. Cette situation peut générer des erreurs et les empêche de consacrer du temps à leurs objectifs principaux tels que l’accompagnement de nos partenaires et clients ou la formation continue afin d’augmenter le socle de compétences de chacun et délivrer un meilleur service.

Dans quelques années, un grand nombre de processus seront automatisés sur les volumes. En tant que point de contact unique de nos partenaires et clients, nous pourrons ainsi nous consacrer toujours plus à la relation que nous entretenons avec eux, à l’accompagnement et au suivi des dossiers, surtout dans les cas complexes qui sont de plus en plus nombreux. Dans ce contexte, notre plus-value résidera surtout dans nos connaissances et notre savoir-faire.Thomas Sainz, Customer Services Department Manager

Par conséquent, OneLife s’est lancée récemment dans l’automatisation robotisée de certaines tâches récurrentes à volume et peu de valeur ajoutée. Cette initiative consiste à développer et implémenter des « robots logiciels » qui effectuent le parcours entre les différents systèmes à la place des collaborateurs, avec pour effet un gain de temps et un meilleur focus sur les opérations à valeur ajoutée pour nos partenaires et clients.

 

= > Vous êtes client chez OneLife?

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Former continuellement nos collaborateurs

Le secteur de l’assurance-vie est très vaste. Pour délivrer un service de qualité, nos collaborateurs, doivent non seulement être conscients et informés des dernières réglementations en vigueur au Luxembourg mais également sur tous les marchés sur lesquels nous opérons, en Europe et au-delà. 

En outre, ces fonctions requièrent des connaissances techniques et financières qui doivent être sans cesse mises à jour.

 « Les évolutions réglementaires constantes au niveau national, européen ou international, ainsi que la sophistication des clients fortunés, par ailleurs de plus en plus mobiles, exigent une véritable expertise de la part des acteurs transfrontaliers spécialisés dans l’assurance-vie tels que OneLife. Le savoir-faire de nos collaborateurs, associé à une approche digitale pragmatique et adaptée à chacun sont les éléments déterminants d’une expérience client réussie, basée sur la qualité et la confiance, deux priorités au sein de nos équipes. » Eric Lippert, Chief Operations Officer.

Dans ce cadre, OneLife organise régulièrement des formations afin d’assurer que les connaissances de ses employés soient les plus complètes et à jour possible.

 

 

Contacter notre Service Client

  • Pour toute nouvelle demande d’opération (nouvelle souscription, versement complémentaire, arbitrage, rachat,…) et tout nouveau changement administratif sur un contrat (changement de bénéficiaire, d’adresse,…), cliquez => ici;
  • Pour toute question et demande d’information, cliquez => ici.

 

 

Tout ce que vous devez savoir sur le RGPD

Pourquoi me demande-t-on tous les jours de rester en contact ?

A compter du 25 mai 2018, le RGPD entre en vigueur et de nouvelles obligations s’appliquent à la collecte, le traitement et la détention de données personnelles

Combien d’emails avez-vous reçus ces derniers mois vous demandant de renouveler votre consentement à recevoir des newsletters en tout genre? A moins de ne pas avoir d’adresse email et de vivre dans une grotte, vous devriez en avoir reçu une bonne demi-douzaine. Votre banquier, votre assureur, votre conseiller financier, tous semblent s’être donné le mot !? d’où vient subitement ce regain d’intérêt pour votre avis?

La réponse tient en quatre lettres : RGPD ou Règlement Général pour la Protection des Données personnelles.

 

RGPD, de quoi s’agit-il ?

Ce nouveau règlement européen entre en vigueur à compter du 25 mai 2018. Il a pour but d’unifier la façon de collecter et de traiter les données des consommateurs à travers l’Union européenne tout en renforçant leurs droits, le tout assorti de sanctions pour le moins dissuasives en cas de non-conformité (les cas les plus graves prévoient jusqu’à 4% du chiffre d’affaire mondial d’une entreprise ou 20 millions d’euros d’amende). Il s’applique à toutes les entreprises qui traitent les données personnelles, du banquier au garagiste, du club sportif aux géants des télécommunications.

 

RGPD pourquoi ?

Ces dernières années la digitalisation de notre société a entrainé de grands changements dans notre façon d’interagir sur le web et l’économie en ligne est en grande partie alimentée par les données personnelles que nous y semons sans trop y réfléchir. Vous vous êtes sans doute demandé pourquoi vous receviez des emails de sociétés que vous n’aviez jamais contactées ? Les politiques de confidentialité des sociétés restaient jusqu’à aujourd’hui assez vagues sur l’usage qui allait être fait des données qui vous sont demandées ce qui permettait à des sociétés peu scrupuleuses de les utiliser pour une ou plusieurs finalités et de les transférer voire de les vendre à des tiers sans s’inquiéter particulièrement du consentement des personnes concernées.

 

Aujourd’hui, grâce à l’entrée en vigueur du RGPD, les citoyens vont gagner différents droits tels que :

  • le droit à plus de transparence quant aux finalités des traitements auxquels leurs données personnelles seront soumises
  • le droit d’accéder à leurs données personnelles et de les rectifier
  • le droit de demander la limitation de leur traitement ou leur effacement par exemple si la personne concernée a retiré son consentement au traitement, si le traitement est illicite ou si les données ne sont pas nécessaires aux finalités du traitement.
  • le droit de transférer leurs données vers d’autres opérateurs

Les entreprises seront tenues de faciliter l’exercice de ces droits en nommant entre autres un Délégué à la Protection des Données ou DPD (DPO en anglais) qui va être leur point de contact unique pour toute demande en matière de protection des données personnelles.

 

OneLife a désigné un DPD qui peut être contacté à l’adresse : dpo@onelife.com.

Les défis pour les assureurs et leurs partenaires

Pour les différents acteurs de le place financière il s’agira non seulement de mettre en place les différents principes qui sont à la base de tout traitement des données personnelles tels que le principe de licéité des traitements, de transparence et d’accès aux données mais également d’être en mesure de balancer adroitement collecte de données nécessaires pour remplir leurs différentes obligations règlementaires et principe de minimisation et de rétention des données.

En effet des réglementations telles que la Directive sur la Distribution d’Assurances (DDA ou IDD en anglais) qui s’appliquera dès octobre 2018 aux intermédiaires en assurances ainsi que la loi du 13 février 2018 en matière de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme demandent de collecter un grand nombre de données personnelles concernant les investisseurs, à des fins bien définies et légitimes afin de satisfaire la connaissance de l’investisseur.

 

Cependant cette collecte sera balisée par les principe du RGPD tels que :

  • la minimisation des données: il incombera au courtier ou à l’assureur de définir avec prudence là où s’arrête le besoin légitime de récolter ces informations afin de ne pas récolter plus de données que nécessaire
  • la limitation du traitement des données collectées aux seules fins prévues par ces règlementations, en d’autres termes ces données ne pourront pas être utilisées à des fins commerciales sans le consentement de l’investisseur
  • la rétention de l’information qui oblige à ne pas conserver les données personnelles plus longtemps que nécessaire
  • le traitement des données avec le plus grand soin en appliquant des règles de sécurités robustes afin qu’elles ne souffrent aucune violation

OneLife se tient aux côtés de ses partenaires pour les accompagner et les guider dans la mise en œuvre de ces nouvelles obligations et de ses clients pour répondre à leurs demandes et pour faciliter leurs droits.

 

 

La complémentaire combinaison de l’humain et du digital

Après une année 2017 synonyme de croissance et de développement de ses talents en interne, les équipes de OneLife entament 2018 de la meilleure des manières : nouvel élan, projets innovants et partenariats exclusifs. Wim Dieryck, Chief Commercial Officer, revient sur les ambitions digitales de l’assureur-vie luxembourgeois en annonçant notamment un partenariat avec une FinTech française 100% digitale, redéfinissant les standards de l’assurance-vie.

 

Après le lancement de l’application mobile OneLife à la fin de l’année 2016, une agrégation des flux de data, l’année 2017 s’est notamment déroulée sous le signe du « social selling ». « Avec un SSI – Social Selling Index – supérieur à 50%, nous progressons plus rapidement que l’industrie de l’assurance-vie au Grand-Duché. Puis, quand on voit que 30% de l’activité commerciale tire son origine des réseaux sociaux, on se doit d’investir dans ces nouvelles méthodes de commercialisation » explique le CCO qui précise que le social selling ne doit pas être opposé à autres façons de travailler. « Au contraire, tous doivent être imbriqués et sont intégrées pour aller dans une seule et même direction. Chez OneLife, le digital donne à chacun de nouvelles possibilités de démarcher et de prospecter ». Les traditionnels roadshows, visant à promouvoir les produits différenciant de OneLife sur les marché espagnols, portugais et en Amérique Latine, seront donc également à l’agenda des équipes de Wim Dieryck.

En combinant ces opérations, et l’arrivée de nouveaux outils digitaux, l’idée est de proposer aux clients finaux et aux partenaires cette opportunité de choisir leur canal de communication et d’interaction favori : l’interchangeabilité « humain-digital-humain » est dès lors rendue possible. Pour le Chief Commercial Officer, « il reste de nombreux sujets qui requièrent un contact humain, une rencontre, mais le digital apporte une véritable valeur ajoutée, et permet de répondre aux différents besoins du client/partenaire. »

 

 

De nouvelles annonces digitales

Dans les prochaines semaines, une phase test de souscription digitale, intégrant la signature électronique et donnant la possibilité d’effectuer des opérations sur ses contrats d’assurance-vie, sera lancée en Belgique. « Une forte demande sur le marché : tout le monde – clients finaux et partenaires – cherche à se faciliter la vie et à se servir des outils qui découlent de l’utilisation d’un smartphone » précise Wim Dieryck.

Dans le prolongement de cette initiative, l’assureur-vie annonce son partenariat avec Advize, une plateforme de gestion de l’épargne en ligne. « Ma Sentinelle Lux de OneLife sera donc le premier produit luxembourgeois distribué sur le marché français via un canal 100% digital. Advize propose une distribution à travers plusieurs partenaires en mettant à disposition un outil totalement intégré » explique le CCO. Dès le lancement prévu le premier semestre 2018, plusieurs configurations seront disponibles : la définition du profil du client avec un investissement dans une combinaison de fonds limités basés sur des ETF, ou, la définition du projet du client, en fonction du délai et montant. La sélection des fonds est quant à elle combinée avec un robo-advisor. « Nous répondons ainsi aux évolutions en termes d’ETF tracker avec une gestion bien plus innovante : une combinaison très attractive » souligne M. Dieryck.

 

 

OneLife prouve ainsi sa capacité à digitaliser l’entièreté de ses processus, possible grâce à l’engagement des collaborateurs et leur volonté de prendre une part active à la transformation (digitale) du secteur de l’assurance-vie.

« Nous investissons massivement dans la formation de nos gens. Et si aujourd’hui nous arrivons à délivrer sur ces sujets, c’est bien parce que nous avons embarqué toute l’organisation sur ce chemin de la digitalisation. L’e-learning, par exemple, contribue au succès de ces évolutions stratégiques et permet d’intégrer une nouvelle dynamique. J’en suis convaincu : #Digital, it’s ALL about people ! » ajoute le Chief Commercial Officer.

 

≠Réussir son ≠Expatriation: les attentes des NHW expatriés

Saviez-vous que la majorité des HNWI de moins de 35 ans souhaite pouvoir bénéficier d’une assurance-vie dans le cadre d’une proposition de gestion de patrimoine internationale ?

 

 

C’est l’un des services clés que les investisseurs européens attendent d’une proposition de gestion de patrimoine internationale.

Les banques en ligne arrivent en tête de la liste des envies des expatriés qui souhaitent gérer leur patrimoine depuis différents endroits. Les conseils fiscaux sont également importants pour les HNW mobiles qui peuvent se retrouver confrontés à un régime fiscal déroutant et souvent contradictoire selon les pays. Les gestionnaires de patrimoine doivent proposer des solutions qui allient les différences juridictionnelles et les priorités fiscales de leurs clients.

 

Pour en savoir plus : cliquez ici.

 

≠Réussir son ≠Expatriation: la réalité de l’expatriation

Le chemin qui mène à l’expatriation peut être long et semé d’embûches, mais les futurs expatriés ont souvent l’impression d’être parfaitement préparés à vivre pleinement leurs aventures à l’étranger.

 

Leurs attentes sont conformes aux expériences réellement vécues par leurs prédécesseurs qui ont déjà emprunté ce chemin.

 

49 % des futurs expatriés espèrent découvrir de nouvelles cultures et, en effet, 45 % d’entre eux confirment que leur déménagement leur a ouvert les portes d’un tout nouveau monde d’expériences culturelles !

L’osmose entre les espoirs et la réalité vécue par les HNW qui se sont expatriés montre bien que le parcours de l’expatriation peut être particulièrement enrichissant sur le plan du développement personnel et de la qualité de vie globale.

 

Pour en savoir plus sur la manière dont les HNW vivent leur parcours d’expatriation (ou de quelle manière ils pensent l’avoir vécu !), cliquez ici pour télécharger l’e-book sur le parcours de l’expatriation.

 

≠Réussir son ≠Expatriation: place à la nouveauté !

Les gestionnaires modernes de patrimoine doivent proposer plus qu’une simple relation forte à leurs clients. Pour les fidéliser, ils doivent disposer des connaissances précises leur permettant de répondre aux besoins et aux objectifs internationaux de leurs clients.

 

Nous avons constaté que ce sont plus particulièrement les personnes fortunés de moins de 35 ans qui sont les plus susceptibles de changer de gestionnaire de patrimoine en cas de départ à l’étranger. Absence de fidélité ?

Absence d’attachement ?

Pas forcément ! Beaucoup des membres fortunés de la génération Y ont tout simplement l’impression que leur gestionnaire dans leur pays d’origine ne sera pas en mesure de comprendre toute la complexité de leurs objectifs internationaux. Il est intéressant de constater que 65 % des Baby-Boomers expatriés ne changeront pas de gestionnaire de patrimoine. Ils pensent qu’une nouvelle relation créée à l’étranger ne sera jamais aussi forte que celle qu’ils ont actuellement.

 

Retrouvez les conclusions de notre toute dernière étude : «≠Réussir son ≠Expatriation: le parcours de l’expatriation.» 

 

Marc Stevens et Wim Dieryck, respectivement CEO et CCO de OneLife, posent la question de l’avenir de la distribution d’assurances-vie à la conférence organisée par Wolters Kluwer

 

OneLife était sponsor de la 5ième édition de la BIC (Belgian Insurance Conference) organisée par Wolters Kluwer au Aula Magna à Louvain-la-Neuve en Belgique le 21 novembre dernier à laquelle s’étaient enregistrés quasi 500 participants.

 

Marc Stevens et Wim Dieryck, respectivement Chief Executive Officer et Chief Commercial Officer de OneLife, y ont également présenté : « Digitalisation et conseil personnalisé, l’avenir de la distribution d’assurances-vie ».

 

Les biographies des orateurs, le programme complet ainsi que les photos de cet évènement sont disponibles sur https://belgian-insurance-conference.wolterskluwer.be/fr/

 

 

≠Réussir son ≠Expatriation: manuel du patrimoine international

 

Les HNW européens savent ce qu’ils veulent, en particulier pour tout ce qui touche à la gestion de leur patrimoine. Confiance, sécurité et stabilité sont indispensables. Ces éléments revêtent une importance encore plus grande pour les HNW qui s’installent dans un pays étranger avec une législation fiscale différente.

 

Afin de mieux comprendre leurs préférences, nous avons demandé à des Européens expatriés et non expatriés quelles étaient les caractéristiques qu’ils estiment ou estimaient nécessaires dans une proposition de gestion de patrimoine. Dans les deux groupes, la qualité du service s’est révélée être le facteur le plus important dans les relations avec une société de gestion de patrimoine.

 

Il est intéressant de noter que les baroudeurs fortunés ont tendance à plus rechercher des offres connectées que leurs homologues qui prennent la décision de rester vivre dans leur pays d’origine. Par opposition, les non expatriés recherchent des sociétés qui proposent des services de suivi des performances des investissements de première qualité.

 

Plus de données en cliquant sur le lien : ici.