Le feu d’artifice digital de fin d’année de OneLife !

 

En 2016, OneLife s’est lancée dans une transformation digitale. Elle fait donc partie des précurseurs dans un domaine où l’interaction entre l’Homme et la machine s’intensifie pour améliorer l’expérience client. Depuis, plusieurs projets ont été réalisés conformément à cette feuille de route, d’autres suivront dans les prochains mois et d’autres encore en sont au stade de preuve de concept et devraient voir le jour début 2018.

Après le lancement des Digital Days en juin 2017 dans le but d’impliquer pleinement le personnel, le petit-déjeuner Digital Days du 30 novembre sera l’occasion de mettre en avant les résultats obtenus cette année et de définir les futurs projets. Les collaborateurs issus des différents départements de OneLife participent à la mise en œuvre de l’innovation digitale afin d’améliorer l’expérience des partenaires et des clients et, ce faisant, apprennent les techniques qui leur permettront d’être compétitifs dans le monde de demain.

Chez OneLife, la formation et le développement sont également entrés dans l’ère du numérique avec le lancement en septembre de la plateforme de formation Lynda.com de LinkedIn. Cet outil qui propose plus de 10 000 formations en ligne, encourage les collaborateurs à suivre régulièrement des cours dans toutes les disciplines avec une certification à la clef.

 

  1. Il était une fois une année digitale. Quels résultats ont-été obtenus ?

Agrégation des données

OneLife a collaboré étroitement avec Harvest, le leader français de l’agrégation de données, afin de proposer à ses conseillers financiers indépendants en France ce nouveau service qui présente l’avantage de leur offrir une vue d’ensemble des positions en portefeuille de chacun de leurs clients. Cette initiative s’inscrit dans une démarche digitale globale à laquelle viendront s’ajouter d’autres projets d’agrégation de données. OneLife est maintenant en mesure de supporter entièrement le format Penelop, ce qui nous permettra dans les prochaines semaines d’étendre notre partenariat avec d’autres agrégateurs présents sur le marché. De plus, nous avons récemment mis en place un service de B2B qui permet à nos partenaires de se connecter en temps réel à notre plateforme afin de consulter l’ensemble des informations disponibles sur leur portefeuille respectif.

Ce projet a été réalisé en un temps record grâce à une collaboration particulièrement fructueuse entre OneLife et Harvest. C’est ce qui nous a permis d’intégrer ces nouveaux flux pour étendre encore l’intégration des contrats luxembourgeois dans O2S. L’intégration de ces flux s’inscrit dans un dispositif juridique et technique qui garantit la sécurité et la confidentialité des données à caractère personnel (masquage des données clients, protocole de transfert sécurisé, chiffrement des communications, clé d’authentification etc.).

Automatisation des processus standards

Identifier les étapes d’un processus bien défini, ce qui peut être réalisé aussi bien par des moyens automatisés, et même en améliorant les délais, la fiabilité et les rapports, est un élément essentiel qui fait partie intégrante des priorités de l’entreprise. L’automatisation de certaines parties de l’espace de travail de OneLife n’est qu’un exemple parmi d’autres. La création de courriers électroniques automatiques pour confirmer des transactions, demander des documents manquants et gérer les contrats d’assurance-vie laisse, en effet, plus de temps au Service client de la société pour traiter les questions plus complexes posées en direct par les clients et ainsi mieux gérer la relation avec nos partenaires et clients.

 

 

  1. Il était une fois une année digitale. Qu’est-ce qui va se passer dans un avenir proche ?

Plusieurs initiatives digitales devraient être lancées dans les prochaines semaines.

Pour les états des portefeuilles en fin d’année 2017, la société a mis en place un processus de dématérialisation, qui permet au preneur d’un contrat d’assurance et à son intermédiaire de les consulter directement sur le portail sécurisé de la société, youroffice, au lieu de les recevoir au format papier par courrier. Le fichier PDF peut être téléchargé et conservé à titre de référence par la suite. L’état du portefeuille ainsi dématérialisé a la même valeur juridique que le formulaire imprimé. Efficacité, sécurité et rapidité sont donc les maîtres mots de ce nouveau procédé sans papier.

 

L’accélération du processus d’intégration des clients via l’automatisation des contrôles KYC (Know Your Customer – Connaître Son Client) et AML (Anti Money Laundering – Lutte Contre le Blanchiment d’argent) a passé la phase d’essai et devrait être lancée sous peu. La RegTech, plus largement connue sous le nom de technologie réglementaire, fournit à l’équipe Compliance/Conformité un outil efficace pour gérer les contrôles puis élaborer une recommandation. L’équipe peut ensuite intervenir pour procéder à d’autres contrôles ou intégrer les clients. Tout cela accélère nettement le processus par rapport à l’époque où toutes les étapes étaient effectuées manuellement. OneLife s’est également associée à KYCTech, une start-up luxembourgeoise, afin d’élaborer une preuve de concept pour cette plateforme. Le service sera déployé en février.

OneLife a également lancé une application OneLife OneApp pour ses partenaires en Belgique en 2016, puis l’a mise à disposition de ses autres partenaires en août 2017. La prochaine étape sera de la proposer à tous les clients OneLife à partir de décembre. Cette application permet d’accéder en temps réel à tous les portefeuilles en ligne dans un environnement sécurisé et de suivre les opérations et les éléments en suspens. Les partenaires et clients de OneLife ont ainsi la certitude de pouvoir suivre leur portefeuille et d’y accéder 24 heures/24 et 7J/7.

Dernier volet de la digitalisation de son processus d’intégration et de son offre de services, OneLife lancera une fonction de signature électronique au premier trimestre 2018. Il permettra à nos partenaires et clients disposant d’un accès à youroffice et yourassets de signer électroniquement, ce qui supprimera le processus fastidieux de signature physique sur les changements et compléments dans un premier temps avant d’être par la suite appliqué à d’autres opérations.

 

  1. Il était une fois une année digitale. Que va-t-il se passer l’année prochaine ?

OneLife innove également dans le domaine de la RPA (Robotic Process Automation – Automatisation Robotique des Processus). Des Bots ont déjà été lancés en 2017 et servent déjà l’entreprise.  Un déploiement à plus grande échelle est prévu pour 2018.

En tant que pionnier du digital, OneLife utilise son approche AGILE interne pour identifier et mettre en œuvre rapidement le changement au sein de son entreprise. Du concept à la réalisation, la transformation digitale de la société n’est pas une simple promesse, mais une réalité. Nous vous invitons à consulter cet espace ultérieurement pour de plus amples informations.

 

≠Réussir son ≠Expatriation: l’esprit d’un HNW expatrié

Les besoins financiers d’un HNW évoluent en permanence en fonction de ses objectifs personnels. Si vous y ajoutez un départ à l’étranger, le mélange peut devenir détonant. Les gestionnaires de patrimoine doivent s’assurer qu’ils s’adaptent aux objectifs individuels et évitent ainsi d’adopter une approche universelle lorsqu’ils proposent des solutions à leurs clients.

 

Au cours de nos récentes études, nous avons identifié plusieurs personnalités types chez les individus fortunés. En comprenant les caractéristiques spécifiques, les traits de caractère et les objectifs financiers qui différencient un investisseur fortuné d’un autre, nous avons pu déterminer de quelles façons les gestionnaires de patrimoine peuvent fournir des solutions sur-mesure à toute leur clientèle.

 

 

 

 

Nous avons demandé à des investisseurs européens de quelle manière ils résumeraient leur dernière expatriation. Leurs réponses ont été à la fois positives et négatives.

Les HNW européens ont déclaré que leur déménagement à l’étranger avait été une expérience à la fois enthousiasmante, stimulante et audacieuse. En gardant bien ceci à l’esprit, quel ton les gestionnaires de patrimoine doivent-ils adopter dans la communication et quelles solutions spécifiques doivent-ils proposer afin de s’adapter aux obstacles auxquels les clients expatriés ne manqueront pas d’être confrontés à l’étranger ? Comment conserver la relation qui a été tissée avec les clients lorsqu’ils quittent leur pays d’origine ?

 

Plus d’informations dans les conclusions de notre étude… ici.

 

≠Réussir son ≠Expatriation: les confidents des HNW

Le stress et l’inquiétude vont inévitablement de pair avec un changement important. Pour les expatriés qui bouleversent leurs vies en déménageant à l’étranger, il est essentiel d’être bien accompagnés. Parmi les 280 expatriés européens que nous avons interrogés, 44 % demandent conseil à leurs collègues.

Toutefois, beaucoup ont indiqué que les conseils les plus utiles avaient été ceux donnés par la famille.

 

 

L’expatriation doit permettre aux gestionnaires de patrimoine de tisser des liens forts avec leurs clients. Néanmoins, ils sont, pour le moment, largement absents du processus.

Seuls 25 % des HNW qui s’expatrient demandent conseil à leurs gestionnaires de patrimoine et à peine 8 % d’entre eux les considèrent comme l’aide la plus précieuse dans ce domaine. Pour renforcer leur influence lors de ce processus, ils doivent fournir à leurs clients, qui se lancent dans une telle aventure, à la fois des conseils techniques et un accompagnement de tous les instants.

 

Plus d’informations sur notre récente étude: ici.

 

 

#Réussir son #Expatriation: motivation pour l’expatriation des HNW

Les Européens fortunés sont de plus en plus mobiles à l’international et plus d’un quart d’entre eux planifient déjà leur prochain déménagement. Malgré la généralisation des envies d’expatriation, les motivations spécifiques à chaque décision de déménagement à l’étranger sont diverses et variées.

Pour 37 % des expatriés HNW, l’évolution de carrière est le facteur déterminant, suivi de près par des considérations liées au mode de vie. Pour 42 % des femmes, l’épanouissement professionnel est important, tout comme la volonté d’offrir de meilleures opportunités à leurs enfants. À l’opposé, la principale motivation des hommes est une retraite plus confortable.

 

Les expatriés HNW n’envisagent pas leur expatriation seulement sur la base de considérations financières, les opportunités professionnelles et l’amélioration du mode de vie sont également à l’origine d’une telle décision. Il est donc primordial que les gestionnaires de patrimoine comprennent les expatriés HNW afin de leur proposer des services adaptés à leurs envies de départ à l’étranger.

 

Dans notre dernière étude, vous découvrirez les raisons qui poussent les Européens fortunés à déménager à l’étranger : ici.

 

 

#Réussir son #Expatriation : L’agenda de l’international

L’expatriation, que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles, peut être une période particulièrement stressante pour les particuliers fortunés (HNW). Notre dernière étude analyse leurs objectifs, leurs comportements et leurs attentes alors qu’un départ à l’étranger se profile à l’horizon. Leurs préoccupations et leurs sources de motivation sont diverses et variées et, pour la plupart, elles ne se bornent pas aux seules questions financières.

En cette période de grands changements, pour garantir l’efficacité des solutions de gestion du patrimoine, les prestataires de services financiers doivent adopter une approche globale impliquant la prise en compte de multiples facteurs financiers pour répondre à l’évolution des besoins des HNW. Face à ces attentes, les conseillers doivent éviter toute opinion préconçue en matière de conseils transfrontaliers.

Pour comprendre les complexités financières d’une expatriation, nous avons demandé à des Européens fortunés de nous parler de leur expérience en matière d’expatriation. Pour bon nombre d’entre eux, nouveau pays est synonyme de nouvelles opportunités. Plus de la moitié d’entre eux expliquent ainsi que l’ouverture d’un nouveau compte en banque était arrivée en tête de la liste de leurs priorités juste devant les questions d’ordre fiscal.

 

 

Vous souhaitez en savoir plus ? Préparez-vous à la publication de notre nouvelle étude sur les expatriés fortunés!

 

KYC Tech et OneLife : une collaboration fructueuse

Milenko Keserovic (Responsable conformité chez OneLife) et Luc Maquil (Cofondateur de KYC Tech) ont vécu les premières étapes de la collaboration entre leurs deux entreprises lors du RegTech Summit qui a eu lieu dans le quartier de Kirchberg à Luxembourg le 12 octobre. « Un clic, un rapport KYC » est la meilleure manière de décrire leur projet commun de Conformité (ou Reg) et de Technologie (ou Tech).

 

« La Technologie améliore l’efficacité en matière de conformité. Elle simplifie les tâches administratives et permet aux salariés de travailler sur des projets collectifs à forte valeur ajoutée, a expliqué Luc Maquil, cofondateur, avec Thierry André, de KYC Tech, dont l’objectif est d’aider les entreprises à répondre aux défis de plus en plus nombreux que posent les contraintes réglementaires. Nous avons adopté une approche symbiotique dans la mesure où nous essayons d’appliquer notre solution RegTech d’une manière efficace dans le monde de l’entreprise, a expliqué M. Maquil. » Cette solution possède de nombreuses composantes : en premier lieu des données brutes (listes de PPE, de terroristes, de sanctions…) qui peuvent être extraites d’internet, des réseaux sociaux, etc. Le flux de travail est également une étape primordiale : qui entreprend l’action ? Que faut-il faire ? L’échange et la collaboration sont ici la clé. Ensuite vient l’architecture, à savoir l’identification, la sélection, la connexion et la conformité.

 

« Gagner du temps et se concentrer sur la valeur ajoutée »

Milenko Keserovic a ensuite pris la parole pour présenter la collaboration entre OneLife et KYC Tech. « Lorsqu’un nouveau client nous rejoint, nous sommes confrontés à un certain nombre de contraintes réglementaires. Il faut d’abord contrôler son nom, au sens large, car ce client peut tout aussi bien être une personne morale, pas forcément le preneur du contrat, a commencé par expliquer le Responsable conformité. Ces tâches sont à l’heure actuelle réalisées manuellement. KYC Tech dispose d’une solution entièrement automatisée : lorsque nous enregistrons un client dans la base de données, le système envoie directement une requête à la plate-forme et les résultats reviennent en quelques secondes, continue-t-il. » L’équipe responsable de la conformité peut alors facilement décider si elle accepte ou non ce nouveau client. « Les résultats sont positifs. Les clients sont classés dans la bonne catégorie et l’outil est facile à utiliser. Les avantages sont nombreux puisque l’absence d’intervention humaine diminue le risque d’erreur, a expliqué Milenko. »

KYC Tech a également fourni à OneLife une solution de vigilance renforcée (EDD/Enhanced Due Diligence). De nouveau, le travail était réalisé manuellement et les experts passaient beaucoup de temps à collecter des informations et des documents. « La start-up RegTech est capable de nous fournir un rapport EDD que nous avons testé : nous envoyons la demande et recevons un rapport détaillé sous 48 heures. Il ne nous reste plus qu’à analyser le fichier, a ajouté le Responsable conformité qui a expliqué que ce rapport était précis, utile et riche en informations. » L’outil est automatisé, simple, immédiat et rentable. De plus, les deux experts développent actuellement des solutions permettant de simplifier les tâches des équipes de conformité relatives aux polices dormantes.

Milenko Keserovic a fini en expliquant que d’un côté, ce projet avait été géré avec souplesse grâce aux échanges entre les équipes de KYC Tech et celles de OneLife et que de l’autre côté, la start-up RegTech avait fait tout son possible pour comprendre la méthode de travail des salariés de OneLife, leurs activités et les procédures utilisées. Milenko Keserovic et Luc Maquil ne pouvaient qu’être d’accord sur ce formidable projet : « nous avons tous les deux réalisé que les technologies peuvent être très utiles car elles peuvent permettre aux salariés de gagner un temps précieux qu’ils peuvent ensuite consacrer à d’autres tâches nécessitant l’intervention du jugement d’un être humain. »

 

 

InsurTech : la technologie pour transformer l’expérience client

Le 12 octobre dernier, lors de la deuxième édition du InsurTech Summit qui s’est déroulée au Novotel Kirchberg, le CEO de OneLife, Marc Stevens, a pris part à une discussion lors d’une table ronde qui réunissait ses homologues luxembourgeois. Les experts de l’assurance-vie ont alors abordé les thématiques de l’innovation et des investissements dans le domaine des InsurTechs.

 

La session était modérée par Geoffroy Gailly, Partner chez KPMG, qui s’est tout d’abord attardé sur le retour sur investissement dans le domaine des InsurTechs. « Quels sont les montants qui ont été investis ? Comment mesurez-vous le ROI ? » s’est interrogé M. Gailly.

 

Pour Marc Stevens, mesurer le ROI end-to-end est tout simplement impossible : « Il est préférable de définir un champ d’application, et de s’intéresser à certains process ». Le CEO de OneLife a par la suite partagé plusieurs exemples avec les participants : l’utilisation de robots pour l’e-mail management, avec un investissement de deux jours, pour gagner 20 jours-homme par année, et également la prospection sur les réseaux sociaux et notamment LinkedIn. Cet investissement, piloté par Christophe Regnault, Digital Marketing Manager de l’assureur-vie situé à Capellen, porte d’ores et déjà ses fruits. Comme le précise Marc Stevens, le coût est 10 fois moins lourd qu’en utilisant les méthodes de prospection traditionnelle, et le ratio est 3 fois plus élevé. Cependant, selon le CEO, des questions subsistent : « Comment peut-on convertir ces prospects en véritables partenaires ? En effet, ils évoluent dans un environnement digital, votre société est-elle capable d’évoluer dans ce même univers ? »

Chez OneLife, ces investissements technologiques coïncident également avec une nouvelle façon de gérer les projets, avec un management Agile comme voulu par Éric Lippert, le CIO de la compagnie d’assurance-vie. « Nous sommes désormais capables de livrer de nouveaux produits et services en un temps bien plus court, comme le prouve notre app développée l’an dernier. S’il est difficile d’évaluer le retour sur investissement de A à Z, de nombreux éléments peuvent être calculés et ils prouvent bien que nous allons dans la bonne direction » ajoute Marc Stevens, qui poursuit :  » Spending is easy, Smart spending is way more difficult ».

 

 

Les experts de l’assurance-vie luxembourgeois ont par la suite abordé la transformation digitale de leurs sociétés respectives. Marc Stevens a débuté son intervention en partageant l’exemple d’un site de comparaison d’offres d’assurance non-vie, lancé il y a plus de 20 ans aux Pays-Bas : « Aujourd’hui, 60 % de la distribution des produits passe par ce site. Par contre le même concept, mais pour les assurances-vie n’a pas fonctionné ». À travers cet exemple, M. Stevens a ainsi souligné l’importance de l’interchangeabilité des contacts humains et digitaux : « Certains ne veulent plus de contact par téléphone ou physique, car ils ont des habitudes totalement digitales. Mais dans notre domaine, certains privilégient encore le contact humain. Un des challenges est alors d’intégrer cette interchangeabilité des process ».

L’expérience client – et partenaire – est clé, et la technologie peut désormais permettre d’atteindre un niveau optimal d’échange et créer de nouvelles relations. « Il y a trente ans, la technologie n’était pas mature. Aujourd’hui, nous sommes ancrés dans un processus de changement avec de nombreuses opérations de marketing digital, des outils RH… nous sommes embarqués dans un voyage, sans véritablement connaître la destination finale. Mais une chose est sûre, l’expérience client en bénéficiera, tout comme, in fine, nos collaborateurs, partenaires et clients » a conclu Marc Stevens.

 

 

Le RGPD et l’assurance-vie : contraintes et opportunités

Le 12 octobre, plus de 200 professionnels de la Fintech mondiale se sont réunis au Novotel Kirchberg pour la première édition du RegTech Summit. Alors que des experts internationaux et locaux se concentraient sur les opportunités que le recours à des solutions de RegTech peut offrir ou sur l’importance de la sécurisation des données à l’ère du big data, Éric Lippert, COO de OneLife, a effectué une présentation sur le futur Règlement général sur la protection des données. Quel impact va-t-il avoir sur le secteur de l’assurance ?

 

Les entreprises ne sont pas encore en conformité.

Le COO de OneLife a commencé par présenter des statistiques concernant le futur RGPD et le degré de préparation des entreprises : « En octobre 2016, 97 % des entreprises en Europe ne disposaient pas de stratégie en matière de RGPD. 23 % s’attendent à se voir infliger des sanctions puisqu’elles n’étaient pas prêtes. Plus de 50 % admettaient qu’elles ne seraient pas totalement en conformité. » Pourtant, Éric Lippert pense que le Luxembourg est en bonne voie car il bénéficie d’un avantage certain par rapport à d’autres pays européens, notamment grâce aux lois relatives à la protection des données à caractère personnel en vigueur dans les secteurs de la banque et de l’assurance et grâce à des autorités telles que la CSSF et la CNPD. « La protection des données est un sujet sur lequel nous travaillons depuis plusieurs années, a-t-il ajouté. »

 

 

Le nouveau règlement va changer les règles du jeu pour les compagnies d’assurances-vie.

Éric Lippert a poursuivi en énumérant les différences avec les politiques actuellement en vigueur : en cas de violation des données, les entreprises disposeront de 72 heures pour transmettre à la CNPD tous les documents pertinents et l’amende infligée pourra aller jusqu’à 20 millions d’euros ou jusqu’à 4 % du chiffre d’affaires. « Les conséquences seront lourdes pour les entreprises qui ne respectent pas les nouvelles directives du RGPD, a-t-il expliqué. Un autre aspect important du nouveau règlement européen sera le consentement : en effet, l’utilisation des données par les entreprises nécessitera le consentement exprès du client. Elles devront également être en mesure de prouver que celui-ci a été bien été donné à tout moment. Enfin, le « droit à l’oubli » va changer la donne dans la mesure où les clients pourront désormais demander à l’assureur d’effacer toutes les données les concernant. Le concept de portabilité va également avoir des répercussions : les assureurs seront ainsi tenus de faciliter le transfert des données si le client en fait la demande « La plus grosse contrainte sera dans le domaine administratif avec la formalisation des nouvelles règles. » Ces dernières imposent la nomination d’un délégué à la protection des données et la réalisation d’audits annuels sur les procédures et règles mises en œuvre afin de garantir la conformité de l’entreprise.

 

Éric Lippert a conclu sa présentation sur une note plus positive en expliquant que le RGPD offrait également de nouvelles opportunités pour les compagnies d’assurances-vie puisque ces dernières vont pouvoir reprendre le contrôle de leur conformité, tisser, avec leurs clients, des liens plus forts qui reposeront sur la confiance, améliorer la qualité de leurs données et renforcer leur marketing numérique. « Les opportunités offertes en Europe en matière de KYC centralisé sont immenses, a-t-il ajouté ».

 

 

#Réussir son #Expatriation : Expatriation des HNW – Ce que vous devez savoir

L’expatriation est une expérience enrichissante, quoique parfois trépidante (!), qui bouleverse la vie des particuliers fortunés (HNW) qui décident de se lancer dans une telle aventure. Près d’un quart des HNW a déjà sauté le pas et 13 % ont prévu de faire de même.

Alors que de plus en plus de HNW font le choix de partir vivre à l’étranger, leurs besoins financiers et les attentes placées dans leurs prestataires de services financiers connaissent une véritable mutation. La capacité des prestataires de services de gestion du patrimoine à leur proposer des produits et des solutions dynamiques qui répondent à l’évolution des besoins de ces expatriés fortunés revêt donc une importance de plus en plus grande.

 

Notre prochaine étude consacrée à l’expatriation analyse tout un éventail de faits, de sources de motivation et de préoccupations des HNW ainsi que les décisions financières qu’ils doivent prendre du fait de ce départ à l’étranger.

 

Vous souhaitez en savoir plus ? Préparez-vous à la publication de notre nouvelle étude sur les expatriés fortunés!

 

 

Se concentrer sur l’Essentiel. OneLife est prêt pour le règlement financier PRIIPs !

Apprenez-en davantage sur le champ d’application du nouveau règlement, ses objectifs et ses exigences et comment OneLife se prépare aux changements.

Tout ce que vous devez savoir sur le nouveau règlement dans cette courte vidéo:

 

Nous prenons tous de bonnes résolutions pour la nouvelle année, notamment celle d’être prêts pour les défis à venir.

Le règlement PRIIPs, règlement sur les produits d’investissement packagés de détail et fondés sur l’assurance, est un nouveau règlement de l’UE qui doit entrer en vigueur le 1er janvier 2018.

Il a pour objectif d’améliorer la transparence et la comparabilité grâce à une meilleure information aux clients. Pour ce faire, les assureurs doivent fournir aux investisseurs des chiffres et des faits clés concernant les produits, leurs objectifs, les coûts associés et les risques potentiels avant que ces derniers n’investissent; le tout grâce à un document standardisé obligatoire intitulé « Document d’informations clés (KID) ».

Une vision nouvelle et une approche proactive sont les fondements de OneLife. Informez-vous sur l’initiative PRIIPs à travers cette courte vidéo !