Marc Stevens et Wim Dieryck, respectivement CEO et CCO de OneLife, posent la question de l’avenir de la distribution d’assurances-vie à la conférence organisée par Wolters Kluwer

 

OneLife était sponsor de la 5ième édition de la BIC (Belgian Insurance Conference) organisée par Wolters Kluwer au Aula Magna à Louvain-la-Neuve en Belgique le 21 novembre dernier à laquelle s’étaient enregistrés quasi 500 participants.

 

Marc Stevens et Wim Dieryck, respectivement Chief Executive Officer et Chief Commercial Officer de OneLife, y ont également présenté : « Digitalisation et conseil personnalisé, l’avenir de la distribution d’assurances-vie ».

 

Les biographies des orateurs, le programme complet ainsi que les photos de cet évènement sont disponibles sur https://belgian-insurance-conference.wolterskluwer.be/fr/

 

 

≠Réussir son ≠Expatriation: manuel du patrimoine international

 

Les HNW européens savent ce qu’ils veulent, en particulier pour tout ce qui touche à la gestion de leur patrimoine. Confiance, sécurité et stabilité sont indispensables. Ces éléments revêtent une importance encore plus grande pour les HNW qui s’installent dans un pays étranger avec une législation fiscale différente.

 

Afin de mieux comprendre leurs préférences, nous avons demandé à des Européens expatriés et non expatriés quelles étaient les caractéristiques qu’ils estiment ou estimaient nécessaires dans une proposition de gestion de patrimoine. Dans les deux groupes, la qualité du service s’est révélée être le facteur le plus important dans les relations avec une société de gestion de patrimoine.

 

Il est intéressant de noter que les baroudeurs fortunés ont tendance à plus rechercher des offres connectées que leurs homologues qui prennent la décision de rester vivre dans leur pays d’origine. Par opposition, les non expatriés recherchent des sociétés qui proposent des services de suivi des performances des investissements de première qualité.

 

Plus de données en cliquant sur le lien : ici.

 

Le feu d’artifice digital de fin d’année de OneLife !

 

En 2016, OneLife s’est lancée dans une transformation digitale. Elle fait donc partie des précurseurs dans un domaine où l’interaction entre l’Homme et la machine s’intensifie pour améliorer l’expérience client. Depuis, plusieurs projets ont été réalisés conformément à cette feuille de route, d’autres suivront dans les prochains mois et d’autres encore en sont au stade de preuve de concept et devraient voir le jour début 2018.

Après le lancement des Digital Days en juin 2017 dans le but d’impliquer pleinement le personnel, le petit-déjeuner Digital Days du 30 novembre sera l’occasion de mettre en avant les résultats obtenus cette année et de définir les futurs projets. Les collaborateurs issus des différents départements de OneLife participent à la mise en œuvre de l’innovation digitale afin d’améliorer l’expérience des partenaires et des clients et, ce faisant, apprennent les techniques qui leur permettront d’être compétitifs dans le monde de demain.

Chez OneLife, la formation et le développement sont également entrés dans l’ère du numérique avec le lancement en septembre de la plateforme de formation Lynda.com de LinkedIn. Cet outil qui propose plus de 10 000 formations en ligne, encourage les collaborateurs à suivre régulièrement des cours dans toutes les disciplines avec une certification à la clef.

 

  1. Il était une fois une année digitale. Quels résultats ont-été obtenus ?

Agrégation des données

OneLife a collaboré étroitement avec Harvest, le leader français de l’agrégation de données, afin de proposer à ses conseillers financiers indépendants en France ce nouveau service qui présente l’avantage de leur offrir une vue d’ensemble des positions en portefeuille de chacun de leurs clients. Cette initiative s’inscrit dans une démarche digitale globale à laquelle viendront s’ajouter d’autres projets d’agrégation de données. OneLife est maintenant en mesure de supporter entièrement le format Penelop, ce qui nous permettra dans les prochaines semaines d’étendre notre partenariat avec d’autres agrégateurs présents sur le marché. De plus, nous avons récemment mis en place un service de B2B qui permet à nos partenaires de se connecter en temps réel à notre plateforme afin de consulter l’ensemble des informations disponibles sur leur portefeuille respectif.

Ce projet a été réalisé en un temps record grâce à une collaboration particulièrement fructueuse entre OneLife et Harvest. C’est ce qui nous a permis d’intégrer ces nouveaux flux pour étendre encore l’intégration des contrats luxembourgeois dans O2S. L’intégration de ces flux s’inscrit dans un dispositif juridique et technique qui garantit la sécurité et la confidentialité des données à caractère personnel (masquage des données clients, protocole de transfert sécurisé, chiffrement des communications, clé d’authentification etc.).

Automatisation des processus standards

Identifier les étapes d’un processus bien défini, ce qui peut être réalisé aussi bien par des moyens automatisés, et même en améliorant les délais, la fiabilité et les rapports, est un élément essentiel qui fait partie intégrante des priorités de l’entreprise. L’automatisation de certaines parties de l’espace de travail de OneLife n’est qu’un exemple parmi d’autres. La création de courriers électroniques automatiques pour confirmer des transactions, demander des documents manquants et gérer les contrats d’assurance-vie laisse, en effet, plus de temps au Service client de la société pour traiter les questions plus complexes posées en direct par les clients et ainsi mieux gérer la relation avec nos partenaires et clients.

 

 

  1. Il était une fois une année digitale. Qu’est-ce qui va se passer dans un avenir proche ?

Plusieurs initiatives digitales devraient être lancées dans les prochaines semaines.

Pour les états des portefeuilles en fin d’année 2017, la société a mis en place un processus de dématérialisation, qui permet au preneur d’un contrat d’assurance et à son intermédiaire de les consulter directement sur le portail sécurisé de la société, youroffice, au lieu de les recevoir au format papier par courrier. Le fichier PDF peut être téléchargé et conservé à titre de référence par la suite. L’état du portefeuille ainsi dématérialisé a la même valeur juridique que le formulaire imprimé. Efficacité, sécurité et rapidité sont donc les maîtres mots de ce nouveau procédé sans papier.

 

L’accélération du processus d’intégration des clients via l’automatisation des contrôles KYC (Know Your Customer – Connaître Son Client) et AML (Anti Money Laundering – Lutte Contre le Blanchiment d’argent) a passé la phase d’essai et devrait être lancée sous peu. La RegTech, plus largement connue sous le nom de technologie réglementaire, fournit à l’équipe Compliance/Conformité un outil efficace pour gérer les contrôles puis élaborer une recommandation. L’équipe peut ensuite intervenir pour procéder à d’autres contrôles ou intégrer les clients. Tout cela accélère nettement le processus par rapport à l’époque où toutes les étapes étaient effectuées manuellement. OneLife s’est également associée à KYCTech, une start-up luxembourgeoise, afin d’élaborer une preuve de concept pour cette plateforme. Le service sera déployé en février.

OneLife a également lancé une application OneLife OneApp pour ses partenaires en Belgique en 2016, puis l’a mise à disposition de ses autres partenaires en août 2017. La prochaine étape sera de la proposer à tous les clients OneLife à partir de décembre. Cette application permet d’accéder en temps réel à tous les portefeuilles en ligne dans un environnement sécurisé et de suivre les opérations et les éléments en suspens. Les partenaires et clients de OneLife ont ainsi la certitude de pouvoir suivre leur portefeuille et d’y accéder 24 heures/24 et 7J/7.

Dernier volet de la digitalisation de son processus d’intégration et de son offre de services, OneLife lancera une fonction de signature électronique au premier trimestre 2018. Il permettra à nos partenaires et clients disposant d’un accès à youroffice et yourassets de signer électroniquement, ce qui supprimera le processus fastidieux de signature physique sur les changements et compléments dans un premier temps avant d’être par la suite appliqué à d’autres opérations.

 

  1. Il était une fois une année digitale. Que va-t-il se passer l’année prochaine ?

OneLife innove également dans le domaine de la RPA (Robotic Process Automation – Automatisation Robotique des Processus). Des Bots ont déjà été lancés en 2017 et servent déjà l’entreprise.  Un déploiement à plus grande échelle est prévu pour 2018.

En tant que pionnier du digital, OneLife utilise son approche AGILE interne pour identifier et mettre en œuvre rapidement le changement au sein de son entreprise. Du concept à la réalisation, la transformation digitale de la société n’est pas une simple promesse, mais une réalité. Nous vous invitons à consulter cet espace ultérieurement pour de plus amples informations.

 

≠Réussir son ≠Expatriation: l’esprit d’un HNW expatrié

Les besoins financiers d’un HNW évoluent en permanence en fonction de ses objectifs personnels. Si vous y ajoutez un départ à l’étranger, le mélange peut devenir détonant. Les gestionnaires de patrimoine doivent s’assurer qu’ils s’adaptent aux objectifs individuels et évitent ainsi d’adopter une approche universelle lorsqu’ils proposent des solutions à leurs clients.

 

Au cours de nos récentes études, nous avons identifié plusieurs personnalités types chez les individus fortunés. En comprenant les caractéristiques spécifiques, les traits de caractère et les objectifs financiers qui différencient un investisseur fortuné d’un autre, nous avons pu déterminer de quelles façons les gestionnaires de patrimoine peuvent fournir des solutions sur-mesure à toute leur clientèle.

 

 

 

 

Nous avons demandé à des investisseurs européens de quelle manière ils résumeraient leur dernière expatriation. Leurs réponses ont été à la fois positives et négatives.

Les HNW européens ont déclaré que leur déménagement à l’étranger avait été une expérience à la fois enthousiasmante, stimulante et audacieuse. En gardant bien ceci à l’esprit, quel ton les gestionnaires de patrimoine doivent-ils adopter dans la communication et quelles solutions spécifiques doivent-ils proposer afin de s’adapter aux obstacles auxquels les clients expatriés ne manqueront pas d’être confrontés à l’étranger ? Comment conserver la relation qui a été tissée avec les clients lorsqu’ils quittent leur pays d’origine ?

 

Plus d’informations dans les conclusions de notre étude… ici.

 

L’ISF est mort, vive l’IFI?

 

Entre le 17 octobre et le 10 novembre 2017, l’Assemblée Nationale a examiné le projet de loi de finances pour 2018. Celui-ci introduit un nouveau Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) pour tous les livrets et placements financiers mobiliers, en ce compris l’assurance-vie, de façon rétroactive à compter du 27 Septembre 2017.

Le terme de PFU vient de l’anglicisme « Flat Tax », assez répandu en Grande Bretagne et aux Etats Unis. En France, le PFU est une méthode d’imposition innovatrice appliquant un taux uniforme à une large catégorie de situations différentes et de sources de revenus.

Le système français personnalise habituellement l’imposition à la situation individuelle et selon le type de revenu. Il s’agit donc ici d’un changement important dans l’approche fiscale présent dans le programme présidentiel d’Emmanuel Macron.

L’idée sous-jacente est de simplifier la taxation du capital des résidents français par l’application d’un taux unique applicable à une palette complète de livrets, d’investissements et de revenus :

  • par l’application d’un taux unique à tous les revenus financiers
  • pour éviter la complexité de l’application de l’impôt sur le revenu pour différentes catégories de revenus financiers (intérêts, dividendes, plus-values…)

Le taux du PFU est fixé à 30% soit :

  • 14,5% de prélèvement forfaitaire et 15,5% de prélèvements sociaux jusqu’au 31 décembre 2017 et
  • 12,8% de prélèvement forfaitaire et 17,2% de prélèvements sociaux à compter du 1er janvier 2018

 

 

 

Ce PFU est applicable à tous les placements financiers détenus par des résidents français à compter du 1er janvier 2018 et pour l’assurance-vie, rétroactivement, à partir du 27 septembre 2017.

Cependant, ne sont pas concernés par ce PFU :

  • Les livrets réglementés (livret A, livret développement durable et solidaire) ainsi que les produits d’épargne exonérés d’impôt sur le revenu (plan d’épargne entreprise, plan d’épargne retraite…)
  • Les placements fortement investis en actions comme le plan d’épargne en actions (PEA). Une exception qui s’inscrit en cohérence avec un des objectifs du gouvernement qui est de favoriser l’investissement dans l’économie réelle
  • Les revenus fonciers qui sont cependant impactés par le projet de réforme de l’impôt sur la fortune en un impôt sur la fortune immobilière

Ainsi ni l’assurance-vie ni les livrets bancaires (PEL y compris) ne sont exemptés du PFU.

Du fait d’un imbroglio gouvernemental et du peu de clarté du projet de loi, les contribuables et les titulaires de contrats d’assurance-vie craignaient d’être confrontés à une taxation plus élevée pour les contrats existants. L’imposition forfaitaire de 30% était censée s’appliquer aux contrats d’assurance-vie de plus de 150 000€ pour une personne seule et 300 000€ pour un couple.

 

 

Heureusement, deux amendements gouvernementaux sont venus préciser le régime PFU.

Ainsi concernant l’assurance-vie, tous les contrats souscrits avant le 27 septembre 2017, seront imposés aux taux en vigueur, suivant la durée de détention du contrat. Si le titulaire fait des versements complémentaires, le PFU sera applicable et le taux de 24,7 % pourra être appliqué dès le 1er janvier 2018 pour la part de primes payées sous les 150 000 € pour une personne seule et 300 000 € pour un couple. Les contrats souscrits après le 27 septembre 2017 seront soumis au PFU peu importe la durée ou la valeur du contrat.

Jusqu’à présent, l’application de l’impôt sur les prélèvements pour les contrats d’assurance-vie, dépendait de la durée de détention du contrat et si le titulaire optait pour un prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) ou pour l’impôt sur le revenu. Le taux de prélèvement diminuait en fonction de la durée de la manière suivante:

  • Application d’un taux de 50,5% de PFL avant 4 ans de détention (35% de prélèvement et 15,5% de contributions sociales)
  • Application d’un taux de 30,5% de PFL entre 4 ans et 8 ans de détention (15% de prélèvement et 15,5% de contributions sociales)
  • Application d’un taux de 23% de PFL après 8 ans de détention (7,5% de prélèvement et 15,5% de contributions sociales)

Ces taux vont augmenter respectivement à 52,2%, 32,2% et 24,7% à compter du 1er janvier 2018 en raison de l’augmentation du taux des contributions sociales.

Il est donc à noter que le nouveau régime fiscal du PFU est plus favorable à court terme que le régime du PFL sauf pour les contrats de plus de 8 ans.

Il est conseillé de garder les contrats existants jusqu’au terme des 8 ans de détention, sans faire de nouveaux versements complémentaires à ceux-ci après le 27 septembre 2017. Les nouveaux contrats devraient être souscrits après le 27 septembre 2017 pour toute nouvelle prime versée, afin que les titulaires bénéficient des taux d’imposition les plus bas possibles couvrant toutes les primes qu’ils ont investies dans des contrats d’assurance-vie de plus de 150 000 € pour une personne seule et de 300 000 € pour un couple.

Cela permettra de bénéficier à la fois de la plus faible taxation sous l’ancien régime et de la plus faible taxation sous le nouveau régime. OneLife serait heureux de vous accompagner dans ce changement.

 

 

 

Remplacement de l’ISF par l’IFI

Adopté en première lecture à l’Assemblée Nationale, le projet de loi de finances viendrait remplacer l’ISF (Impôt de Solidarité sur la Fortune) par un Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI). Tour d’horizon.

L’ISF taxe les patrimoines de plus de 1,3 million d’euros selon un taux progressif lié à la fortune. L’IFI viendrait remplacer l’ISF avec les mêmes seuils et taux que l’ISF.

La base taxable (les actifs faisant l’objet de l’impôt) serait par contre profondément modifiée!

Exit donc tous les actifs financiers (dont les assurances-vie), mais aussi forêts, œuvres d’art, actifs immobiliers liés à l’activité professionnelle et locations meublées (mais uniquement sous le régime du loueur en meuble professionnel). Par contre, et malheureusement, les parts de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) ou OPCI (Organisme de Placement Collectif en Immobilier), mêmes détenues sur un contrat d’assurance-vie et tous les autres actifs immobiliers, sont inclus dans le périmètre de ce nouvel impôt!

Heureusement, l’abattement de 30% de la valeur de la résidence principale serait maintenu. Revers de la médaille : l’usufruitier et le nu propriétaire seraient désormais redevables à hauteur de leur part fiscale respective et non plus l’usufruitier seulement.

Le projet a été transmis au Sénat qui ne voit pas forcément ces changements d’un bon œil, un rapport du 9 novembre 2017 ayant titré ce changement d’incohérent et favorisant une stratégie anti-économique!

Il s’agirait pourtant d’une économie non négligeable d’impôt pour nombre de foyers fortunés français mais viendrait faire pâtir un secteur qui crée 18% de la richesse nationale et 8% des emplois! Autant dire que les débats ne sont pas finis entre une Assemblée acquise au projet du président élu et un Sénat majoritairement opposé à celui-ci.

Ce changement viendrait encore renforcer l’intérêt inégalable de l’assurance-vie luxembourgeoise pour des résidents français et OneLife tiendra ses partenaires informés des évolutions en la matière afin de guider leurs clients à travers ces changements.

 

 Article écrit par Jean-Nicolas Grandhaye 

 

≠Réussir son ≠Expatriation: les confidents des HNW

Le stress et l’inquiétude vont inévitablement de pair avec un changement important. Pour les expatriés qui bouleversent leurs vies en déménageant à l’étranger, il est essentiel d’être bien accompagnés. Parmi les 280 expatriés européens que nous avons interrogés, 44 % demandent conseil à leurs collègues.

Toutefois, beaucoup ont indiqué que les conseils les plus utiles avaient été ceux donnés par la famille.

 

 

L’expatriation doit permettre aux gestionnaires de patrimoine de tisser des liens forts avec leurs clients. Néanmoins, ils sont, pour le moment, largement absents du processus.

Seuls 25 % des HNW qui s’expatrient demandent conseil à leurs gestionnaires de patrimoine et à peine 8 % d’entre eux les considèrent comme l’aide la plus précieuse dans ce domaine. Pour renforcer leur influence lors de ce processus, ils doivent fournir à leurs clients, qui se lancent dans une telle aventure, à la fois des conseils techniques et un accompagnement de tous les instants.

 

Plus d’informations sur notre récente étude: ici.

 

 

≠Réussir son ≠Expatriation: Ressenti des HNW face à l’expatriation

La décision de s’expatrier n’est pas facile à mettre en pratique, surtout sans l’aide d’un spécialiste.

Il faut tenir compte des aspects logistiques du déménagement, la planification financière, les répercussions fiscales et les conséquences sur les réseaux sociaux et professionnels. Pour certains, cela suffit à remettre en cause tout le projet d’expatriation !

 

 

Dans l’étude que nous avons récemment réalisée intitulée «≠Réussir son ≠Expatriation: le parcours de l’expatriation», nous avons demandé à des Européens fortunés qui se sont expatriés ou qui envisagent de le faire leurs véritables impressions sur l’idée de repartir à zéro dans un nouveau pays.

Ils s’accordent généralement pour dire que l’expatriation est une opportunité qui implique une certaine flexibilité. Alors que ceux qui envisagent un départ à l’étranger pensent que l’expatriation n’aura pas d’impact sur leur potentiel de création de richesses, les expatriés que nous avons interrogés étaient généralement plus fortunés que ceux qui n’étaient jamais partis.

 

Pour plus d’informations sur ce que pensent les expatriés fortunés, cliquez = >  ici.

 

« Coté, non coté » – la gestion de portefeuilles particulièrement diversifiés incluant des actifs non traditionnels

Les portefeuilles de placement sont actuellement à l’image des modes de vie souvent internationaux et complexes des HNW et de leurs proches. Les actifs non traditionnels tels que l’immobilier, le capital-investissement (réglementé ou non) et les instruments de titrisation à l’échelle internationale sont de moins en moins une exception et de plus en plus la norme en matière de gestion de patrimoine international.

 

OneLife réunit toutes les compétences nécessaires pour investir dans ces actifs non traditionnels et pour les valoriser dans le cadre d’un contrat d’assurance-vie en les intégrant à la solution de gestion de patrimoine international d’un client quel que soit le degré de diversification de son portefeuille. Cela a pour avantage d’offrir à nos clients et à leurs conseillers une vue d’ensemble claire sur un portefeuille regroupant à la fois des actifs traditionnels et non traditionnels.

 

Notre équipe dédiée d’experts en produits non cotés analyse soigneusement chaque actif d’un portefeuille pour bien s’assurer qu’il répond aux obligations fiscales et réglementaires en vigueur. La solide compréhension des questions juridictionnelles transfrontalières dont nous disposons nous permet d’évaluer les risques liés à tout un éventail d’actifs.

 

Cette approche s’inscrit parfaitement dans la stratégie de OneLife visant à proposer des solutions de gestion de patrimoine globales, flexibles et modernes à ses partenaires et à ses clients. L’expertise de OneLife est également renforcée par la réglementation luxembourgeoise en matière d’assurance qui non seulement autorise tout un éventail d’investissements sous-jacents dans des fonds internes mais met à jour et enrichit également l’arsenal des outils liés aux produits non cotés tels que les fonds d’assurance spécialisés (SPIF), une solution en autogestion, ainsi que d’autres structures. L’approche pragmatique adoptée par le régulateur offre des possibilités intéressantes et flexibles en matière de planification patrimoniale aux particuliers soumis à plusieurs législations fiscales en tenant compte des avantages et des risques potentiels que cela implique.

 

 

 

Les actifs non traditionnels étaient au programme du 10e Forum de l’investissement qui s’est tenu le 19 octobre à Bruxelles. L’édition spéciale organisée cette année a réuni plus de 550 visiteurs, 40 maisons de fonds… et a vu se tenir 38 séances de travail sur différents thèmes.

 

Anthony Lorrain, directeur des actifs non traditionnels, et Liana Aghabekyan, analyste des actifs financiers, de OneLife ont effectué une présentation devant un public international sur des thèmes d’actualité tels que Pourquoi l’assurance-vie luxembourgeoise est particulièrement adaptée aux produits non cotés ? Comment intégrer des actifs non traditionnels dans des contrats d’assurance-vie ? Produits non cotés dans des environnements réglementés et non réglementés : risques associés aux actifs non traditionnels.

 

OneLife est membre de la Luxembourg Private Equity & Venture Capital Association (#LPEA). Avec plus de 120 membres, la LPEA joue un rôle majeur dans la discussion et l’élaboration d’un cadre d’investissement et promeut activement le secteur au-delà des frontières nationales.

 

  Pour en savoir plus, merci de contacter Anthony Lorrain ou Liana Aghabekyan.

 

 

#Réussir son #Expatriation: motivation pour l’expatriation des HNW

Les Européens fortunés sont de plus en plus mobiles à l’international et plus d’un quart d’entre eux planifient déjà leur prochain déménagement. Malgré la généralisation des envies d’expatriation, les motivations spécifiques à chaque décision de déménagement à l’étranger sont diverses et variées.

Pour 37 % des expatriés HNW, l’évolution de carrière est le facteur déterminant, suivi de près par des considérations liées au mode de vie. Pour 42 % des femmes, l’épanouissement professionnel est important, tout comme la volonté d’offrir de meilleures opportunités à leurs enfants. À l’opposé, la principale motivation des hommes est une retraite plus confortable.

 

Les expatriés HNW n’envisagent pas leur expatriation seulement sur la base de considérations financières, les opportunités professionnelles et l’amélioration du mode de vie sont également à l’origine d’une telle décision. Il est donc primordial que les gestionnaires de patrimoine comprennent les expatriés HNW afin de leur proposer des services adaptés à leurs envies de départ à l’étranger.

 

Dans notre dernière étude, vous découvrirez les raisons qui poussent les Européens fortunés à déménager à l’étranger : ici.

 

 

#Réussir son #Expatriation : L’agenda de l’international

L’expatriation, que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles, peut être une période particulièrement stressante pour les particuliers fortunés (HNW). Notre dernière étude analyse leurs objectifs, leurs comportements et leurs attentes alors qu’un départ à l’étranger se profile à l’horizon. Leurs préoccupations et leurs sources de motivation sont diverses et variées et, pour la plupart, elles ne se bornent pas aux seules questions financières.

En cette période de grands changements, pour garantir l’efficacité des solutions de gestion du patrimoine, les prestataires de services financiers doivent adopter une approche globale impliquant la prise en compte de multiples facteurs financiers pour répondre à l’évolution des besoins des HNW. Face à ces attentes, les conseillers doivent éviter toute opinion préconçue en matière de conseils transfrontaliers.

Pour comprendre les complexités financières d’une expatriation, nous avons demandé à des Européens fortunés de nous parler de leur expérience en matière d’expatriation. Pour bon nombre d’entre eux, nouveau pays est synonyme de nouvelles opportunités. Plus de la moitié d’entre eux expliquent ainsi que l’ouverture d’un nouveau compte en banque était arrivée en tête de la liste de leurs priorités juste devant les questions d’ordre fiscal.

 

 

Vous souhaitez en savoir plus ? Préparez-vous à la publication de notre nouvelle étude sur les expatriés fortunés!